Heureusement que les députés européens n'ont aucun pouvoir sur rien. Ces tanches relaient les intérêts américains tout en sabordant sciemment (mais de concert) les intérêts des pays européens.
Dans la série des choses que l'Union Européenne sait mieux que vous, je suis tombé par hasard sur une énième obligation à respecter dans les logements, en lisant cet article de QueChoisir.
En effet, à partir du 1er janvier 2027, il sera obligatoire dans tous les bâtiments (et a fortiori dans les logements privés), de disposer d'un thermostat réglable pouvant modifier l'état du système de chauffage (que celui-ci produise du chaud ou du froid).
La directive de l'Union Européenne donnant toutes les modalités est ici : RÈGLEMENT (UE) N o 813/2013 DE LA COMMISSION du 2 août 2013.
Et sa transposition intégrale dans le droit français est ici : Décret n° 2023-444 du 7 juin 2023 relatif aux systèmes de régulation de la température des systèmes de chauffage et de refroidissement et au calorifugeage des réseaux de distribution de chaleur et de froid.
L'opération qui consiste à mettre en place un système centralisé de régulation de la température n'est pas donnée puisqu'il faut compter plusieurs centaines d'euros voire plusieurs milliers, s'il est nécessaire de changer les radiateurs par exemple.
Alors on pourrait se dire que c'est bon, on s'en fout. De toute façon le gouvernement n'ira jamais vérifier dans tous les logements si chacun a installé ce système.
Déjà, vu l'intrusion de plus en plus profonde qui a déjà lieu dans la vie privée des gens, je n'en suis pas si sûr. Ensuite, l'état n'a pas du tout besoin de procéder à cette vérification lui-même. Il peut très bien se servir des mouchards qu'il a créés il y a quelques années, et déléguer la tâche. Je veux parler des entreprises qui réalisent les DPE. Rien n'empêche de penser qu'au 1er janvier 2027, ceux qui voudront vendre leur logement (ou mettre un logement en location), verront apparaitre dans leur DPE une notification leur "conseillant" d'installer un tel système de contrôle, sans quoi la vente ne pourrait avoir lieu (un genre de condition suspensive comme on en voit dans les promesses de vente chez le notaire).
Une autre forme d'incitation (ou d'extorsion), pourrait venir de l'assurance habitation par exemple. Celle-ci appliquant un malus si le propriétaire ne peut produire une facture ou une attestation de présence de ce système de régulation.
Bref. Il s'agit encore une fois d'une norme à la con, qui selon toute vraissemblance est issue d'un accord (pour ne pas parler de corruption) entre des bureaucrates non-élus (et probablement même pas citoyens français) et des groupes d'influence représentant des entreprises désireuses de vendre leurs produits. Le tout directement transposé en droit français par des députés godillots totalement inutiles (voire vendus).
La mise oeuvre de l'euro numérique pourrait être bien plus rapide qu'on ne le pense.
J'en avais parlé dans ce post, en disant qu'il faudrait sans doute forcer la main des gens par exemple en supprimant l'argent liquide.
Mais ça pourrait être bien plus simple. Un scenario en quelques étapes comprendrait :
On atteindrait alors une masse critique de personnes obligées de se servir de cette monnaie numérique pour leurs achats du quotidien. Il faudrait alors peu d'efforts à l'UE pour faire en sorte que le reste des populations se soumette, à coup d'interdictions (magasins ou services accessibles uniquement grâce à la monnaie numérique) ou d'incitations (convaincre les jeunes via des subventions diverse en monnaie numérique par exemple).
Et en quelques années le tour serait joué.
La Commission Européenne fait très fort. En effet, la quasi-totalité des organismes de protection des droits de l'Homme dénoncent ce projet comme une attaque directe à l'essence même de la vie privée (même les sénateurs français, c'est dire).
Une raison de plus (s'il en fallait) de se séparer très vite de cet organisation dictatoriale.
Alors, vous n'êtes toujours pas convaincu ?
L'intérêt géostratégique de l'Allemagne passera toujours avant celui de la France, tant que nous resterons dans l'Union Européenne. Macron va sans doute, encore une fois, se mettre à genoux devant l'Allemagne, et vendre les intérêts du pays au plus offrant (qui en l'occurrence n'offre rien du tout).
Et pendant ce temps-là, la Grande-Bretagne retrouve la capacité de décider de son propre avenir.
La ministre en plein exercice de provocation. No comment.
Non, ce qu'il fallait retenir de cet article, c'est ceci :
"Si l'âge pivot reste dans la loi, c'est non, c'est clair", a déclaré ce 9 janvier à l’AFP le chef de la CFDT, Laurent Berger.
D'abord, rien à battre que l'âge pivot soit abandonné. C'est la réforme au complet qu'il faut dénoncer et arrêter. Il s'agit en réalité d'une subtilité de langage : cette simple phrase fait passer Laurent Berger pour un opposant à la réforme, alors qu'il cible un point spécifique de cette réforme. Mais pourquoi cette ambiguïté ?
Je suis désolé d'en remettre une couche, mais il semble que cela soit nécessaire pour les durs de la feuille (et autres légumes contemplatifs) :
La Confédération Européenne des Syndicats finance ces syndicats. Autrement dit, l'Union Européenne finance ces syndicats. La même Union Européenne qui demande instamment à la France de poursuivre la réforme des retraites.
Laurent Berger est une ordure à la tête d'un syndicat qui n'oppose qu'une résistance de façade à la réforme des retraites. Il a tout intérêt à pourrir le mouvement social, afin de continuer à toucher ses subventions. Et même s'il s'agit de lui ici, les quatre autres sont à mettre dans le même panier.
Vous voulez vous opposer à cette réforme ? C'est très bien. Mais ne vous laissez pas manipuler par des corrompus et des menteurs.
Les informations sont disponibles publiquement sur des sites officiels. Il suffit d'être curieux et d'avoir un esprit critique.
La SNCF, nouvelle victime des eurobéats.
Mais j'en vois qui en doutent (encore!). Pour ceux-là, rien de tel qu'un peu de lecture. Le rapport COM(2012) 313 final dit ceci :
LE CONSEIL DE L’UNION EUROPÉENNE,
[...]
RECOMMANDE que la France s'attache, au cours de la période 2012-2013 :
[...]
- à poursuivre les efforts pour supprimer les restrictions injustifiées dans les professions et secteurs réglementés, notamment dans le secteur des services et du commerce de détail; à prendre de nouvelles mesures pour libéraliser les industries de réseau, notamment sur le marché de gros de l’électricité, pour développer les capacités d’interconnexion dans le domaine de l’énergie et pour faciliter l’arrivée de nouveaux opérateurs dans les secteurs du transport ferroviaire de marchandises et du transport international de voyageurs.
Voilà. C'est marqué noir sur blanc :
faciliter l’arrivée de nouveaux opérateurs dans les secteurs du transport ferroviaire de marchandises et du transport international de voyageurs.
Et au cas où vous n'auriez pas compris que la SNCF allait cesser d'être un service public, il suffit de voir qui a été choisie pour s'assurer de la rentabilité des gares en France.
PS: cet article de fond vous dira tout sur la privatisation du rail français.
Boris Johnson a réussi à obtenir que des élections législatives soient tenues le 12 décembre 2019. Les travaillistes vont les sentir passer, tels les misérables traîtres qu'ils sont, pour avoir tout fait et tout tenté afin de repousser voire annuler carrément le Brexit.
Dernière ligne droite avant la sortie !
Un exemple des conséquences des privatisations des services publics, avec ici la SNCF. On vole le citoyen en privatisant le service, on découpe le service en multiples entités, et on donne le tout au privé en prétextant que le public ne fonctionne pas.
Tout cela pour être en règle avec l'article 121 du TFUE qui fixe les GOPE, lesquelles demandes de privatiser les services publics.
Un accord de plus à dénoncer lorsque l'on sortira de l'UE !
Je n'ai pas lu l'étude en entier, mais pour mettre l'eau à la bouche, il faut savoir que l'Union Européenne coûte en moyenne 632 euros à chaque contribuable payant l'impôt sur le revenu.
Vous trouvez ça normal ? Ne venez pas vous plaindre de l'état des routes, des hopitaux, des chemins de fer, des écoles, etc.
Je rappelle que la Suisse ne fait pas partie de l'Union Européenne. Et pourtant l'UE continue de lui faire du chantage.
Cette fois, sous prétexte d'harmonisation du contrôle des armes à feu, les Suisses ont été contraints de voter un texte dont ils ne sont pas à l'origine, sous peine d'être exclu de l'espace Schengen (même si juridiquement l'UE et Schengen sont deux accords différents). Cela aurait eu des répercussions au niveau économique que le pays ne pouvait se permettre.
L'UE, cet espace de paix et d'échanges, où même les voisins doivent s'aligner sur une politique qu'ils n'ont pas choisi.
Des remarques pertinentes quant à l'impossible changement de l'Union Européenne.
Beaucoup de choses intéressantes, notamment dans l'intervention du sociologue en deuxième partie.
Par contre gros carton rouge sur le rôle de l'Union Européenne, et sur le flou artistique voire la tentative de manipulation quant au rôle supposément neutre de l'UE dans les privatisations. Les privatisations des services publics sont bien demandées par la Commission Européenne via les Grandes Orientations de Politique Economique chaque années. Et les pays doivent s'y tenir (Cf art 121 du TFUE).
Donc dire que l'UE reste neutre sur la forme que prennent les entreprises, c'est vraiment limite. Quand on est habitué aux recherches poussées effectuées par DATAGUEULE lors des autres épisodes, on peut légitimement se demander s'il n'y a pas eu cette fois une volonté délibérée de passer sous silence le rôle déterminant de l'UE dans les privatisations.
Le Brexit est repoussé au 31 octobre 2019.
Pourtant, si les rebondissements et surprises donnent l’apparence d’une insondable complexité, le fond de l’histoire peut se résumer très simplement : les électeurs anglais se sont majoritairement exprimés pour sortir, mais une majorité de leurs députés était d’avis inverse. Et une partie de ceux-là ne rêvent que de remettre en cause le verdict populaire.
En tout cas, la priorité des chefs d’Etat et de gouvernement, comme de Bruxelles, a d’emblée été de tout faire pour « pourrir la vie » des Britanniques afin de dissuader d’autres peuples d’emprunter la même voie. Un peu comme quand un membre veut sortir de la secte : celle-ci n’hésite pas à employer tous les moyens pour le « punir » (menaces, chantage, attaques…) et dissuader ainsi d’autres velléités.
Ça donne vraiment des frissons d'entendre Ulrike Beate parler de la nécessité de "déconstruire les peuples" afin de rendre l'Union Européenne plus démocratique et républicaine. Et elle dit ça tout à fait naturellement.
L'idée européenne est un dogme dont il faut se libérer au plus vite.
Très bon article dénonçant la main-mise allemande sur l'Union Euroméenne, et les conséquences directes en termes de conditions de travail et de vie pour les travailleurs. La collaboration éhontée et la stratégie de la défaite de la grande bourgeoisie française est aussi évoquée.
Tous ensemble, sortons de cet euro-merdier !