That's all falks !
Edit : well now it is.
Ou comment l'Union Européenne, avec Michel Barnier comme négociateur en chef, va encore tout faire pour emmerder le Royaume-Uni dans les négociations d'un accord de commerce.
Mais, si les relations entre les deux entités resteront vraisemblablement cordiales, le problème se situe ailleurs pour les partisans du projet européen : un pays qui quitte le bloc est une première qui va marquer un précédent indélébile dans son histoire.
Boris Johnson a réussi à obtenir que des élections législatives soient tenues le 12 décembre 2019. Les travaillistes vont les sentir passer, tels les misérables traîtres qu'ils sont, pour avoir tout fait et tout tenté afin de repousser voire annuler carrément le Brexit.
Dernière ligne droite avant la sortie !
La mauvaise foi de l'UE et la volonté affichée de tout faire pour que le Brexit n'ait pas lieu, font chaque jour apparaître un peu plus le caractère dictatorial et antidémocratique de cette institution mafieuse.
A propos de la trahison des parlementaires britanniques sur le Brexit. (En anglais). Les eurofascistes contraignent tous les autres à rester dans l'UE, qui tend décidément un peu plus vers la dictature chaque jour qui passe.
Ou pour citer l'article :
Europe is a sinking ship the rats in Parliament refuse to leave.
Dernières nouvelles du Brexit : un amendement voté in extremis prévoit de reporter le Brexit après que l'ensemble du cadre législatif aura été modifié et ajusté pour y parvenir.
En clair : les députés britanniques se foutent du monde. Toutes les méthodes sont bonnes pour retarder voire empêcher le Brexit. Le Royaume-Uni entre dans une crise de régime inédite, par le simple caprice puéril d'élus vendus à la cause eurofasciste.
Si le Royaume-Uni devait en effet rester dans l'UE après le 31 octobre, il devrait nommer un commissaire européen (pour la nouvelle commission démarrant le 1 novembre). Boris Johnson a dit que si une telle chose devait arriver, il nommerait un commissaire européen qui aurait pour tâche de bloquer toutes les décisions en cours, afin de stopper le système le plus possible.
Wait and see ...
Boris Johnson semble tenir ses engagements. Sa proposition d'accord de sortie obtient une majorité pour à l'assemblée. Et si ça ne passe pas malgré tout, ce sera pas d'accord du tout.
Dernière ligne droite !
Les Britanniques pourront-ils enfin voir appliquer le Brexit, approuvé à l'issue d'un vote national ?
Je ne suis pas du tout d'accord avec la conclusion de l'article selon laquelle la cession de l'activité parlementaire est antidémocratique. Ce qui est antidémocratique, c'est de repousser encore et toujours la sortie de la Grande-Bretagne de l'UE, sortie votée par une majorité des électeurs !!!
On y est presque...
La boule de cristal des européistes prévoit qu'un Brexit sans accord infligera une perte nette de 500000 emplois pour la Grande-Bretagne, 300000 pour l'Allemagne, 140000 pour la France et l'Italie.
Toutes les conneries qu'on a pu entendre (et qu'on entend encore pour certaines) sur le Brexit.
Le Brexit est repoussé au 31 octobre 2019.
Pourtant, si les rebondissements et surprises donnent l’apparence d’une insondable complexité, le fond de l’histoire peut se résumer très simplement : les électeurs anglais se sont majoritairement exprimés pour sortir, mais une majorité de leurs députés était d’avis inverse. Et une partie de ceux-là ne rêvent que de remettre en cause le verdict populaire.
En tout cas, la priorité des chefs d’Etat et de gouvernement, comme de Bruxelles, a d’emblée été de tout faire pour « pourrir la vie » des Britanniques afin de dissuader d’autres peuples d’emprunter la même voie. Un peu comme quand un membre veut sortir de la secte : celle-ci n’hésite pas à employer tous les moyens pour le « punir » (menaces, chantage, attaques…) et dissuader ainsi d’autres velléités.
Brexit or no Brexit ?
Les choix sont clairs :
Je ne l'aurais pas mieux dit.
Il semble que Theresa May ait plus d'un tour dans son sac. Un amendement au texte relatant l'avancée des négociations de sortie de l'UE a été voté ce 29 janvier.
Theresa May, selon cet amendement (qu’elle soutenait vivement et qui fut finalement adopté par 317 voix contre 301), doit renégocier ledit « filet de sécurité » (« backstop »). Cette disposition prévoyait que le Royaume-Uni devait rester dans l’Union douanière avec l’UE aussi longtemps qu’une solution pérenne quant à la frontière entre les deux Irlande n’était pas trouvée – c’est-à-dire potentiellement indéfiniment, accusaient ses détracteurs.
Sale temps pour les européistes. Leurs manigances pour emmerder le Royaume-Unis au maximum afin de le faire rester de force dans l'UE échouent encore lamentablement. La suite au prochain numéro.
Theresa May aurait-elle sciemment négocié un deal foireux avec l'UE dans le cadre du Brexit à seule fin d'assurer une victoire du remain en cas de second referendum ?
Un débat animé au sujet du Brexit et de l'Union Européenne plus généralement. Les européistes sont vite dépassés par les arguments de poids avancés par les eurolucides.
J'ai regardé quelques uns des débats de Taddeï, et ils sont d'une qualité introuvable sur les autres chaînes.
Ça fait bizarre de voir un tel article sur le Figaro, tant ce qui y figure va à contre-sens de la doxa dominante.
Je citerai simplement ce passage, mais je recommande l'article en entier :
le plus grand danger pour l'Union européenne n'est ni budgétaire, ni commercial. Le pire du point de vue européen serait que, malgré l'absence d'accord, l'économie britannique s'en sorte plutôt mieux que les économies restées dans le giron de l'Union.