Ou comment l'Union Européenne, avec Michel Barnier comme négociateur en chef, va encore tout faire pour emmerder le Royaume-Uni dans les négociations d'un accord de commerce.
Brexit or no Brexit ?
Les choix sont clairs :
Je ne l'aurais pas mieux dit.
Il semble que Theresa May ait plus d'un tour dans son sac. Un amendement au texte relatant l'avancée des négociations de sortie de l'UE a été voté ce 29 janvier.
Theresa May, selon cet amendement (qu’elle soutenait vivement et qui fut finalement adopté par 317 voix contre 301), doit renégocier ledit « filet de sécurité » (« backstop »). Cette disposition prévoyait que le Royaume-Uni devait rester dans l’Union douanière avec l’UE aussi longtemps qu’une solution pérenne quant à la frontière entre les deux Irlande n’était pas trouvée – c’est-à-dire potentiellement indéfiniment, accusaient ses détracteurs.
Sale temps pour les européistes. Leurs manigances pour emmerder le Royaume-Unis au maximum afin de le faire rester de force dans l'UE échouent encore lamentablement. La suite au prochain numéro.