Sur demande expresse de la Commission Européenne !
Intermarché et E.Leclerc se sont entendus pour mettre en place un prix plancher pour l'achat du kilo de porc aux éleveurs. Bien mal leur a pris ! Bruxelles considère en effet qu'il s'agit d'une entente malhonnête qui lèse les pays tiers.
Autrement dit, Bruxelles considère que :
Bref. L'Union Européenne dans sa grande oeuvre.
Des milliers d'emplois supprimés, un carnage industriel, une perte de souveraineté stratégique. Telles sont les conséquences attendues de la fusion d'Alstom avec Siemens.
Le carnet de commande d’Alstom est plein et l’activité est pérenne. Rien ne justifie une telle décision qui soumettrait un peu plus notre appareil industriel à celui de l’Allemagne. La Chine n’est qu’un épouvantail pour mieux faire passer un énième renoncement de nos élites. Si on veut contrer la Chine, alors c’est un protectionnisme européen qu’il faut mettre en place, et ne pas accepter la loi de la jungle du libre-échange généralisé. Sur ce dossier, comme sur tant d’autres, le gouvernement fait fausse route.
Ah ah ah. Un protectionnisme européen. Elle est bien bonne. L'auteur n'est sans doute pas au fait de la raison d'être de l'Union Européenne, qui est d'abord et avant tout une union économique. Pour mettre en place du protectionnisme, il n'existe qu'une seule solution.
Sans parler de la vente des bijoux de famille par lesdites élites.
Un point de vue intéressant.
Quand la France aura décidé de sortir de l'Union Européenne, il est peu probable que les autres pays s'y opposent.
Cependant ce sont les instances de l'UE qui risquent probablement de faire tout ce qu'elles peuvent en mettant tous ses affidés à contribution pour empêcher que la France sorte de l'Union Européenne. L'UE n'a aucun intérêt à ce que les négociations de sortie se passent bien. Au contraire, les partisans de l'intégration supra-nationale et du transfert des souveraineté vers l'UE feront tout pour empêcher les sorties concertées.
L'auteur évoque notamment l'UPR en parlant d'un "Frexit heureux par la magie du droit". Le calvaire des négociations du Brexit est un exemple de la mauvaise foi de l'UE et de son manque de volonté d'aboutir à un consensus acceptable pour les deux parties.
Cependant, outre la solution juridique, il n'est fait mention d'aucune alternative. On pourrait, par exemple, sortir du jour au lendemain sans demander l'avis de personne. Les négociations relatives aux traités passés dans le cadre de l'UE se feraient alors de façon bilatérales ou multilatérales avec les Etats concernés, au cas par cas.
A l'heure actuelle, le seul parti politique en France qui propose le frexit est l'UPR (alors que tous les autres proposent de "changer l'europe", ce qui est impossible). La solution de l'article 50 n'est peut-être pas la meilleure, et l'UPR n'est pas parfait à 100%. Mais vu la difficulté qu'à l'UPR à se faire entendre et à passer dans les média en proposant une solution juridique, je mets au défi quiconque de proposer une sortie dure (sans négociation) et de rassembler autant de gens.
Le principal étant, à mon avis, que la sortie de l'Union Européenne (d'une façon ou d'une autre) fasse son chemin dans les esprits et parvienne à convaincre le plus grand nombre de son absolue nécessité.
Bruno Le Maire est en colère contre la Commission Européenne. En effet, celle-ci émet des doutes quant au bien-fondé de la fusion Siemens-Alstom.
Certains pays (comme les Pays-Bas, le Danemark et d'autres) considèrent que la constitution d'un géant européen nuirait à la concurrence car il aurait de facto un quasi-monopole de production de trains, et nuirait à leurs propres entreprises nationales.
Mais pour Bruno Le Maire (le gentil toutou de Macron, lui-même tenu en laisse par la Commission Européenne et ses GOPE), il faut absolument faire cette fusion. Fusion qui laissera Siemens (entreprise allemande) ultra-majoritaire dans les prises de décisions du groupe, soit dit en passant. Les actionnaires d'Alstom ne seront pas non plus oubliés, car les actions ont presque doublé de valeur en deux ans.
Bref. Comme d'habitude, les grands baisés de l'histoire sont encore les salariés, qui sont en passe de connaître des plans de licenciements suite à cette fusion. Ainsi que la France, qui perd un fleuron industriel leader mondial dans son domaine.
On dépouille le pays de ses atouts, mais ça ne va pas encore assez vite. Il faut accélérer !
La traîtrise élevée au rang d'art ...
Le point sur la réalité des mesures annoncées par Macron lors de son allocution du lundi 10 décembre.
En résumé :
Mais j'ai gardé le meilleur pour la fin. En effet, ces mesures vont faire passer le budget de la France au dessus des 3% de déficit imposés par l'Union Européenne. Ce qui signifie que la Commission Européenne viendra mettre son grain de sel au printemps dans le budget français, et pourra très bien le retoquer en demandant l'annulation pure et simple des mesures évoquées.
Alors, heureux ?
La commission européenne fait de plus en plus pression sur la Suisse, afin de la contraindre quant aux choix de société qu'elle effectue. C'est du chantage pure et simple.
Dernièrement, les Suisse devaient se prononcer par référendum et dire s'ils acceptaient ou non que leur constitution soit considérée comme prévalent sur le droit international. Je rappelle que c'est la situation en vigueur en Allemagne, et c'est un cas unique en Europe.
Suite à des pressions de toutes sortes, et notamment des grandes entreprises suisses, qui craignaient d'être écartées de l'accès au marché commun, les suisses ont donc voté non en majorité à cette votation.
L'article cite d'autres exemples. Et la seule raison qui fait que la Suisse n'est pas encore totalement à la merci de l'UE, c'est leur système de démocratie directe avec votations, qui fait que les parlementaires ne peuvent pas prendre de décisions contre l'avis du peuple.
Sans ça, cela ferait bien longtemps que les Suisses se seraient fait escroqués de leur souveraineté comme nous.
L'Allemagne revient à la charge en redemandant à la France de donner son siège permanent à l'ONU à l'Union Européenne. Quand l'Allemagne possédera toute l'Europe, elle aura réussi avec un petit délai et de façon subreptice, là où elle avait échouée avec Hitler par la force. Et tous ça avec l'aide active des traîtres qui sont aux commandes en France.
Un débat animé au sujet du Brexit et de l'Union Européenne plus généralement. Les européistes sont vite dépassés par les arguments de poids avancés par les eurolucides.
J'ai regardé quelques uns des débats de Taddeï, et ils sont d'une qualité introuvable sur les autres chaînes.
Après la taxe sur les GAFA, voici un nouvel exemple qui illustre l'impossibilité structurelle de changer quoi que ce soit au sein de l'Union Européenne.
Alors que Macron tente désespérément d'obtenir une victoire quelle qu'elle soit, ses propositions concernant l'Union Européenne font systématiquement un flop. Il s'agit ici de sa proposition d'armée européenne :
Ils ne seront sûrement pas les seuls. En effet, on peut s'attendre à ce que la Pologne et plus généralement les pays d'Europe de l'est marquent également leur attachement à l'OTAN.
Bref. Des histoires différentes, des intérêts différents. Et dire qu'il y en a qui s'étonnent encore que l'UE marche de travers.
La France veut mettre en place une taxe européenne sur les GAFA (Google, Amazon ...), qui se monterait à 3% du chiffre d'affaires, et toucherait les entreprises réalisant un chiffre d'affaires mondial supérieur à 750 millions d'euros et un chiffre d'affaires européen supérieur à 50 millions d'euros.
cette taxe a été conçue pour les grandes entreprises très rentables, mais elle «aura un impact disproportionné sur les entreprises européennes» et qu’elle «priverait ces mêmes entreprises d'une source essentielle de capital à réinvestir dans leur croissance».
Ça ne choque personne que Le Maire parle d'une taxe européenne ? Européenne ! Une taxe qu'aucune représentation nationale n'aurait voté, et qui donc ne représenterait personne ? Je ne cherche pas à défendre les intérêts des GAFA (ils n'ont pas besoin de moi pour ça). Mais comment pourrais-je cautionner l'établissement d'un impôt qui n'a pas été voté par la représentation nationale ? Comment m'assurer que l'argent de cet impôt va être utilisé à bon escient ?
Cette taxe ne passera jamais car :
Un pays va tirer (encore) son épingle du jeu. Il s'agit du Royaume-Uni. En effet, étant donné son imminente sortie de l'Union Européenne, le Royaume-Uni n'a plus a subir les intérêts divergents des autres pays. Il va donc pouvoir mettre en place sa propre taxe sur les GAFA sans demander l'avis de personne, juste parce que cela sert ses intérêts nationaux.
Le deuxième effet kiss kool ? Cette taxe ne sera pas de 3% comme le souhaite la France au niveau européen, mais de 2%. Ce qui leur permettra de conserver les entreprises sur leur sol, et d'attirer les autres par la même occasion, même si la taxe européenne venait miraculeusement à passer.
Oui, être une nation souveraine, ça a des avantages tangibles. Le Royaume-Uni peut se réjouir se s'être libéré du carcan européen, et peut maintenant tirer avantage de l'impossibilité structurelle de changer l'Europe.
A bon entendeur.
Où l'on apprend que l'euro est une côte mal taillée entre des monnaies fortes et des monnaies faibles. L'euro est trop bon marché pour l'économie allemande et trop cher pour l'économie italienne (et française, soit dit en passant !).
Le ministère des finances États-unien a récemment sorti un rapport disant que la Chine n'est pas un manipulateur de valeur. C'est à dire que la Chine ne manipule pas arbitrairement le taux de change externe de sa monnaie. Ce serait pourtant son droit le plus stricte si elle souhaitait le faire, étant donné le lien très étroit qui existe entre le cours d'une monnaie et les exportations. Mais ce serait considéré comme une très mauvaise chose par les ultra-libéraux États-uniens.
Cependant, la Chine a été placée sous observation en même temps que cinq autres pays : le Japon, la Corée du Sud, l'Inde, la Suisse et ... l'Allemagne ! En effet, grâce à l'euro pas cher, l'Allemagne détient le plus gros excédent commercial au monde (329 milliards d'euros), et en particulier 67 milliards d'euro d'excédent avec les Etats-Unis.
Et les Etats-Unis détestent l'idée qu'un pays leur vende plus qu'il n'achète. Donc il faut bien comprendre : l'Allemagne dégage des excédents tellement énormes, que la seule explication envisageable est qu'elle manipule le cours de sa monnaie. Ce qui est vrai d'une certaine façon, grâce au fait que structurellement, l'euro a une valeur située entre celle du Deutschemark et celle de la Lire. Il est donc moins cher que le Deutschemark et plus cher que la Lire.
Comment résoudre ce problème ?
Comme il est dit dans l'article, l'euro est sous-évalué de 11% pour l'Allemagne, et est surévalué de 9% pour l'Italie. En général, pour ajuster le cours d'une monnaie, la banque centrale du pays joue sur les taux d'intérêts ou intervient directement en changeant la valeur de la monnaie.
Mais dans le cas de l'euro :
Quoi qu'elle fasse, la BCE ne pourra contenter l'un des deux pays qu'en mécontentant l'autre.
De plus, quand on regarde la différence de taux entre les bons du trésor à 10 ans de l'Allemagne et de l'Italie, elle n'a fait qu'augmenter ces derniers mois. Alors que techniquement ce taux devrait être le même, étant donné que ces deux pays partagent la même monnaie. Mais le 10-ans italiens a un taux 3.3% plus élevé que l'allemand. Pourquoi ça ? Tous simplement parce que les banques facturent un risque de défaut, c'est à dire qu'elles facturent le risque que l'Italie ne paie pas ses dettes.
Pour savoir de quelle dette il s'agit, il faut se tourner vers le solde TRAGET2 de la balance des paiements courants au sein de la zone euro. Et actuellement, le plus gros créditeur est l'Allemagne, avec 912.4 milliards d'euros de crédit (vous avez bien lu). Vous devinez quel pays est le plus gros débiteur ? L'Italie, avec 389.1 milliards d'euros de débit.
Comme il a été rappelé par la BCE il y a quelques années, si un pays devait quitter la zone euro, il devrait s'acquitter de ses dettes TARGET2 en totalité. Dans le cas de l'Italie, on parle donc de régler une somme de 389.1 milliards d'euros, ce qui correspond à environ 20% de son PIB annuel.
Autant dire que ça n'arrivera jamais.
C'est pour cette raison que les banques appliquent un taux aux 10-ans italiens plus élevé que pour les allemands. Parce qu'elle intègrent la possibilité que l'Italie sorte de l'euro.
Les italiens (ceux qui ont un intérêt à le faire), transfèrent en masse leur argent soit en Allemagne (en prévision du fait que si l'euro explose, la Lire perdra entre 20 et 30%, le Deutschemark gagnera entre 10 et 15%) soit en Suisse italienne.D'ailleurs, rien qu'au cours du seul mois d'août de cette année, le solde TRAGET2 de l'Italie a augmenté de 21.4 milliards.
Les vices de constructions de l'UE apparaissent à nouveau comme insolubles :
L'auteur conclut en exhortant ses lecteurs à retirer leurs avoirs d'Italie au plus vite, avant que celle-ci sorte de l'euro, comme tous les indicateurs semblent le montrer un peu plus chaque jour.
En résumé, cet article est un condensé, certes assez technique, des analyses tenues par Asselineau depuis des années, au sujet de l'inévitable explosion de la zone euro, et du danger mortel à y rester. La France (et les gens qui y vivent) souffre tous les jours un peu plus de son appartenance à l'Union Européenne. Que doît-il se passer pour que les gens agissent ?
Je le signalais déjà ici il y a quelques mois. Il semble que la demande soit plus insistante de la part de l'Allemagne.
Comme le fait remarquer l'ambassadeur de France aux Etats-Unis, le siège de membre permanent de la France au conseil de sécurité fait partie de la charte fondatrice de l'ONU (article 23, paragraphe 1, alinéa 1). Il faudrait donc modifier la charte pour rendre le siège européen. Mais cela arrêtera-t-il notre président de la république ? Rien n'est moins sûr.
Par 39 voix contre 7, les députés ont donc autorisé l’Etat à procéder à la vente au privé de tout ou partie des actifs qu’il détient dans Groupe ADP, soit 50,63 % des parts représentant quelque 9,5 milliards d’euros. L’Etat était jusqu’alors tenu par la loi de conserver la majorité des parts de l’entreprise aéroportuaire.
[...]
Les députés ont ensuite voté, par 48 voix contre 12, l’article du projet de loi qui permet le transfert au privé de la majorité du capital de la FDJ
Une mise en pratique très concrète des grandes orientations de politiques économiques décidées par la Commission Européenne. Ça donne déjà envie de vomir. Mais le coup de grâce vient de ce que moins de 10% des députés ont entérinés ces privatisations.
Les Etats Unis veulent conquérir et contrôler le monde. Et ce n'est pas une lubie sortie de l'esprit d'un illuminé paranoïaque. Il s'agit d'un aveu à peine masqué de l'assistant du secrétaire d'État pour l'Europe et l'Eurasie, Wess Mitchell. Dans son discours devant le Sénat américain, celui-ci dit très clairement qu'il faut punir la Russie car elle empêche les Etats Unis d'établir sa suprématie sur le monde.
Quelle insolence de la part de cet état (et de la Chine son allié) de se mettre en travers du chemin du leader du Monde Libre (comme les Etats Unis aiment s'auto-qualifier). La guerre, qu'elle soit technologique, hybride, ou culturelle est la seule façon de faire rentrer dans le rang ces pays voyous (ie qui refusent de plier le genou), à l'image des pays de l'UE, si complaisants à l'égard de l'oncle Sam.
Mitchell prétend même, le plus sérieusement du monde, que la politique étrangère agressive des États-Unis qui dure depuis des décennies, est de la faute pleine et entière de la Russie.
Bref. En ce qui nous concerne, tant que nous serons enchaînés à l'Union européenne, notre avenir sera décidé par d'autres. Il reste deux forces ayant un poids géopolitique de niveau mondial : la Russie et la Chine. Les Etats Unis feront tout pour les annihiler (je pèse mes mots), et la bataille d'influence a déjà commencé.
Le modèle universaliste français me plaît quand même bien plus que ceux cités plus haut. J'ai toujours l'espoir d'une troisième voix, celle de la France. Mais pour ça, il faut un minimum de bonne volonté.
#FREXIT
Et voilà. Le droit de citation est officiellement enterré. Le simple fait de citer quelques mots accompagnés d'un lien vers un contenu peut vous amener à devoir payer des royalties à qui de droit.
Notre cher président s'en réjoui :
Aujourd’hui se joue un combat fondamental pour le droit d’auteur : protéger la création et l’information, c’est assurer notre liberté et défendre notre modèle.
Mais eh ! Heureusement qu'on a l'Union Européenne ! Qu'est-ce qu'on deviendrait sans cette glorieuse institution qui distille la paix et l'harmonie ! Ça tombe bien, les élections européennes arrivent l'an prochain. Choisissons les artisans de notre bonheur pour les cinq prochaines années.
Je vous laisse, je vais aller vomir.
Vue de l'intérieur, la diplomatie française est en pleine déliquescence. Les coupes budgétaires incessantes subies par le Quai d'Orsay ramènent progressivement la France au niveau d'un état totalement transparent et inaudible sur la scène internationale. Des siècles de rayonnement réduits en poussière par la volonté de quelques parasites dont le seul bonheur semble être de détruire méthodiquement tous les atouts du pays.
Dois-je rappeler qu'au même titre que les services publics, la langue française ou les conquis sociaux (qui incluent la sécurité sociale), la diplomatie française est un bien collectifs qui nous appartient à tous.
Quelle déchéance d'en arriver à brader à ce point les atouts de la France. Et tout ça pour quoi?
Morceaux choisi :
En réalité, sur de nombreux points, la politique économique portugaise prend le contre-pied total de celle qui est recommandée par Bruxelles et appliquée par Berlin ou Paris depuis plusieurs années. Le budget 2018 du Portugal prévoit ainsi une hausse des pensions de retraite, un programme de valorisation de la fonction publique ou encore, bien loin de la théorie du ruissellement, une diminution d'impôts pour les classes moyennes. Tandis que Bruxelles théorise et impose une doctrine de rigueur reposant notamment sur la baisse des salaires et la réduction drastique des dépenses sociales, le Portugal semble ainsi contredire toutes les leçons européennes en matière économique.
Paradoxe très européen : les deux défenseurs les plus zélés de la doctrine économique de Bruxelles, Berlin et Paris, sont loin d'être les mieux placés pour indiquer la voie. Avec une croissance qui ralentit, une consommation en baisse et des investissements moindres au premier trimestre 2018, la France et l'Allemagne pourraient se montrer moins sûres d'elles. Et pourtant, le modèle allemand jouit toujours d'une publicité exceptionnelle partout en Europe et Emmanuel Macron envisage plus que jamais de prendre le leadership d'une UE 2.0.
C'est sûrement un coup des russes là aussi pour saper les fondements de l'Union Européenne.