La ministre en plein exercice de provocation. No comment.
Non, ce qu'il fallait retenir de cet article, c'est ceci :
"Si l'âge pivot reste dans la loi, c'est non, c'est clair", a déclaré ce 9 janvier à l’AFP le chef de la CFDT, Laurent Berger.
D'abord, rien à battre que l'âge pivot soit abandonné. C'est la réforme au complet qu'il faut dénoncer et arrêter. Il s'agit en réalité d'une subtilité de langage : cette simple phrase fait passer Laurent Berger pour un opposant à la réforme, alors qu'il cible un point spécifique de cette réforme. Mais pourquoi cette ambiguïté ?
Je suis désolé d'en remettre une couche, mais il semble que cela soit nécessaire pour les durs de la feuille (et autres légumes contemplatifs) :
La Confédération Européenne des Syndicats finance ces syndicats. Autrement dit, l'Union Européenne finance ces syndicats. La même Union Européenne qui demande instamment à la France de poursuivre la réforme des retraites.
Laurent Berger est une ordure à la tête d'un syndicat qui n'oppose qu'une résistance de façade à la réforme des retraites. Il a tout intérêt à pourrir le mouvement social, afin de continuer à toucher ses subventions. Et même s'il s'agit de lui ici, les quatre autres sont à mettre dans le même panier.
Vous voulez vous opposer à cette réforme ? C'est très bien. Mais ne vous laissez pas manipuler par des corrompus et des menteurs.
Les informations sont disponibles publiquement sur des sites officiels. Il suffit d'être curieux et d'avoir un esprit critique.
Ça n'était qu'une très forte suspicion, c'est maintenant avéré. Les cours des métaux précieux (or et argent) ont été manipulés depuis des années par des traders (ici de Merrill Lynch, mais qui sait quelles autres banques encore) qui plaçaient des ordres d'achat ou de vente, juste avant de les annuler. Cela créait une fausse impression de disponibilité ou de rareté des marchandises, et incitait les intéressés à acheter ou vendre sur de mauvais indicateurs.
Et il semble que ces ordres d'achat ou de vente aient été placés à des milliers de reprises durant les six dernières années.
Bien sûr, la banque a passé un accord de non poursuite devant les tribunaux, et à préféré payer une amende ridicule de quelques millions de dollars...
Les gangsters en costume ont encore frappés, et s'en tirent toujours.
C'est le président du directoire de Südzucker, propriétaire de Saint-Louis Sucre, qui l'a déclaré : "Saint Louis Sucre ne vendra pas ses sites de production. Nous n'arrêtons pas la production de sucre pour la proposer à d'autres acteurs, mais bien pour retirer des capacités du marché".
Le plus gros producteur de sucre en Europe décide donc unilatéralement de manipuler artificiellement les cours du sucre en réduisant la production. Quitte à supprimer 130 emplois (et à payer au prix fort).
L'être humain n'a décidément aucune valeur autre que celle d'une ressource. On l'acquiert, on l'utilise, et on le jette. Comme un mouchoir ou un préservatif.
Attention cependant. Pour ce qui est du sucre en tant que tel, je considère qu'il devrait être taxé au moins autant que l'alcool ou le tabac, car étant hautement addictif et facteur de problèmes de santé.
Comment une youtubeuse financée par le service public (nos impôts) fait de l'anti-journalisme son gagne-pain. De quoi s'interroger sur la pertinence de son "travail"...
Une analyse de la façon dont la presse constitue ses unes de numéros. Ici c'est le cas du magasine Valeurs Actuelles qui est traité. Mais l'analyse peut très bien se généraliser aux autres publications.
Horizon-Gull extrêmement pertinent comme d'habitude.