Super video
The two methods to retrieve files from one distant server to another
Un super reportage tourné par Arte qui parle de l’obésité dans le monde.
Il est très bien construit pour amener son propos.
L’obésité est développée dès l’enfance avec des armes marketing et légales très développées par des lobby vraiment puissants. La consommation d’une alimentation mal équilibrée entraîne des problèmes intestinaux sur plusieurs générations (et qui s’empire a chaque génération)
Bref c’est un peu long, parfois un peu contemplatif, mais vraiment intéressant !
Ce qui m’amène 2 pistes de réflexion :
1) le régime Paléo n’a pas tout à fait tort dans le sens où ramener du gras et de la viande apporte satiété et ne fait pas grossir - attention toutefois au côté un peu extrême de ce régime alimentaire, personnellement je ne pratique pas
2) le véganisme, qui encourage la mauvaise pyramide alimentaire basée sur des produits sucrés et peu nourrissant, n’est pas forcément bon pour la santé ni tenable - il faut vraiment le faire par conviction morale, pas dans l’optique d’améliorer sa santé ou de maigrir, au risque de se prendre un revers très sérieux niveau poids
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Dans ce cas, l'event à binder n'est pas (submit) mais (ngSubmit) :
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<div class="logo">Create a new account!</div>
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</div>
</div>
Le privilège cissexuel - Antichesse - Chlouchloutte ¯\_(ツ)_/¯ - Les petits liens de Lou - Antichesse
Bah, tu sais bien, Antichesse, que je fais l’effort de lire les gens qui me retournent la politesse. Tu m’as proposé un texte intéressant, j’ai répondu à la politesse avec une autre vision, issue de mon vécu.
Je ne prétend pas avoir raison, ni même que autrui a tort, j’explique les éléments qui me semblent en désaccord avec mon expérience. Et si derrière, je me suis trompée, ben ça arrive. Je changerai peut-être même d’avis dans quelques temps. C’est fort possible ! Les nouvelles informations apportent de nouvelles opinions !
Pour le coup du terme « auteur », je ne pensais pas que les termes « auteure » ou « autrice » avait été inclus au dictionnaire, je savais qu’il y avait discussion, mais j’étais restée sur le fait qu’on dit toujours « Madame Le juge » ou « Madame Le Ministre », mais c’est probablement dû au fait qu’il s’agit de titres et non de postes. Au temps pour moi, j’avais pas suivi, désolée.
Remarques sur le
Disclaimer : je souhaite discuter et apporter un point de vue différent. Je n’ai pas souhaité être agressive ni insultante. Si jamais c’est le cas, n’hésitez pas à me dire ce qui a été mal interprété, que j’en tienne compte par la suite. Merci. (On se croirait dans une vidéo YouTube hi hi)
J’ai bien lu le texte, je me permet de partager mon opinion.
Déjà je redoute une traduction de l’anglais vers le français un peu approximative.
Je rappelle que « gender » a deux traductions directes en français :
- Genre - dans le sens de catégorie / classification / règles et caractères communs (ex: un genre littéraire) pour des pronoms
- Sexe - littéralement
Dans l’autre sens, genre ne se traduit en « gender » que pour signifier des catégories de mots, et la chaise n’a pas de rapport avec le sexe féminin. C’est juste la langue qui s’est construite par accrétion, de cette manière.
Donc si on parle de genre, la meilleure traduction serait le rattachement au sexe d’une personne.
Exemple linguee :
« The survey asks respondents to specify their age and gender »
« Le questionnaire demande aux répondants de préciser leur âge et leur sexe »
Mais bon, on conviendra que c’est plus pratique de traduire par genre, et de parler de construction de genre, en tant que construction de catégorie sociale.
Donc du coup, je me demande si, quelques fois, on ne perd pas le contenu initial au profit d’une interprétation personnelle...
Pour le faciliter la tâche, je vais partir du texte pour construire ma réflexion.
« nous projetons constamment et activement nos idées et suppositions quant à la masculinité et la féminité sur chaque personne que nous rencontrons »
Je suis complètement d’accord avec cette vision, chacun dispose de ses propres critères subjectifs concernant le stéréotype de genre selon qu’il ait été inspiré par playboy / têtu ou Marie Curie / Einstein (ou autre bien sûr).
La définition du stéréotype de femme / homme est dans les yeux de celui qui regarde. Deux personnes auront des visions différentes de ce que doit / ne doit pas / est / n’est pas / peut / ne peut pas faire les personnes de chaque genre, mais dont certains éléments se rejoignent parfois, car le stéréotype de genre est une construction sociétale, qui est acquise dès la plus tendre enfance à grand coup de « le bleu et les voitures pour les garçons », « le rose et les poupées pour les filles », avec un gradient plus ou moins marqué selon les parents que l’on a. Ainsi, homme comme femme, nous apprenons très vite à nous conformer à une vision stéréotypée autour des genres.
Et c’est la raison pour laquelle les standards de beauté sont à ce point divergents à travers le monde, selon les pays. Et que beaucoup de monde trouve un partenaire dans sa vie. On ne voit pas la même chose chez l’autre.
Pour la suite, je ferai donc une distinction entre le sexe de naissance (homme / femme) et première traduction de « gender », qui est inné - et le stéréotype de genre (dictats hommes - femmes), deuxième traduction de « gender », qui sont de pures créations de la société et appris par les individus dès le plus jeune âge.
Nous passons beaucoup de temps à analyser les stéréotypes émis par les individus autour de nous. Stéréotypes de genres, oui, mais aussi de milieu culturel (la petite chaînette sur les lunettes des femmes de lettre - ha ha), de classe sociale ou même de groupe culturel (adepte du foot - de métal...).
Cette analyse de l’autre va nous permettre d’identifier ce que nous pouvons attendre ou espérer des autres.
Si j’ai besoin d’une serviette hygiénique, je demanderai plutôt à une personne qui a adopté les codes du genre féminin. Si je souhaite fonder une famille, je vais chercher une personne qui réponde aux codes de ma vision d’une figure parentale (vêtements liés à la classe sociale - attitude envers les autres (pourquoi pas les enfants) - et bien sûr, perspectives de fonder une famille donc codes du genre qui me garanti une reproductibilité). Si je souhaite passer un bon moment au stade, je me mettrais du côté des personnes ayant un maillot de la même couleur que le mien.
Nous avons tous des attentes par rapport aux autres (l’auteur n’en manque pas d’ailleurs), et renvoyer certains codes facilite la lecture d’autrui.
Un exemple : si une personne se présente à un entretien d’embauche en survêtement pour un poste de banquier, le jury va garder un doute légitime quand à sa capacité à adopter les codes vestimentaires et attitudes attendus et liés au poste.
Une société est constituée de codes et de stéréotypes.
Après, tous les stéréotypes ne sont pas bons, et il est important d’en remettre en question. C’est d’ailleurs le fer de lance de la lutte féministe. Changer quelques stéréotypes (autour du genre justement). Grâce à cela, les femmes peuvent porter des pantalons, ne pas s’épiler les jambes, etc.
Il y a encore du boulot du côté des hommes dont très peu d’entre eux ont acquis les codes jupe - talons - maquillage mais cela peut aussi s’expliquer par l’inconfort de ces attributs (sans parler des trucs moulants, souvent incompatibles avec une affection pour la bière).
J’estime pour ma part que libre à chacun de faire ce qu’il veut, mais le risque à ne pas renvoyer les bons codes, c’est de perdre en légitimité. C’est un jeu de dupe, d’où le terme « costume » d’entreprise. Tout est apparat, tout est code et image.
Du coup je ne suis pas d’accord avec cette lecture de la situation : « la plupart des cissexuelLEs supposent que toutes les personnes qu’illes rencontrent sont aussi cissexuelles, tout comme la plupart des hétérosexuelLEs supposent que toutes les personnes qu’illes rencontrent sont aussi hétérosexuelles ».
Puisque l’on parle de codes liés au stéréotypes de genres, si tu adoptes un code, il y a de fortes chances que tu sois classé selon ton stéréotype de genre.
Ensuite, derrière vient l’espoir de chacun de ce qu’il peut obtenir de l’autre. Si tu es un homme et que tu vois une personne avec les codes du stéréotype de genre féminin, tu vas te demander quelles sont tes chances de coucher avec / fonder une famille avec / discuter avec / demander un tampax pour ta femme (décidément il va revenir celui là).
Si la personne n’a aucune attente envers quelqu’un, quel que soit son stéréotype de genre, il n’y aura pas de questionnement par rapport à l’autre. Tout le monde est invisible et ignoré tant qu’il n’éveille pas dans le regard de l’autre la potentialité d’une réponse à un de ses besoins.
Un individu jugé « laid » (selon les critères de sa culture) est très souvent invisibilisé, par exemple.
Et ensuite, évidemment, personne ne viendra te voir pour te demander « bonjour, vous ne seriez pas trans par hasard ?». Franchement, malpoli / 20... en tous cas, je considère que ça ne se fait pas. La question sera abordée si jamais cette information est un pré-requis a un besoin auquel l’autre pourrait répondre. Il sera d’ailleurs abordé différent, comme par exemple « je voudrais 3 enfants, et toi ? », qui est à la fois une vérification de compatibilité, mais aussi de capacité.
Du coup, ce passage nécessite une discussion : « Pour la plupart des cissexuelLEs, le fait qu’illes se sentent à l’aise en habitant le genre qui leur a été assigné, et le fait que les autres personnes confirment ce sentiment de naturel en les genrant correctement, les autorise à développer un sens de la légitimité à l’égard de leur propre genre : illes se sentent autoriséEs à se nommer femme ou homme. »
Il existe toute une phase très difficile qui s’appelle l’adolescence, ou chacun apprend petit à petit a découvrir et assumer son corps. Certains se l’approprient avec du sport, des tatouages, des piercings, des coupes de cheveux, des photos (ou plutôt des like) Instagram, mais cette période est celle où le jeune adulte développe sa perception de lui-même et se retrouve ou non dans les stéréotypes et normes que la société impose (et encore une fois, je ne suis pas spécialement d’accord avec tous ces stéréotypes, c’est le but de la lutte féministe).
Beaucoup d’ailleurs rejettent cette transformation, il faut du temps pour s’accepter. Il arrive très souvent que l’on ne trouve l’acceptation de soi qu’à travers le regard de l’autre, et donc des attentes de l’autre par rapport à soi. Ce qui explique le sujet des figures parentales, exprimant l’approbation de la société sur soi-même. Ce que les parents enseignent à leurs enfants, ce sont bien les codes et conventions pour vivre en société (avec le fameux cliché du string pour les adolescentes - bête noire des parents qui veulent cadrer l’évolution de leur enfant à un stéréotype acceptable, selon leurs critères).
Donc je ne peux pas être d’accord avec cette affirmation : « illes se considèrent comme les arbitres ultimes pouvant statuer sur qui a le droit de se nommer femme ou homme »
Les individus ne sont capables que d’une chose : apprécier l’adoption des codes de stéréotype chez l’autre, puisqu’ils sont poussés par la société et « connus de tous ». Ils s’y sont eux-mêmes conformés, consciemment ou non, par apprentissage.
On en arrive à ce passage : « Le mythe le plus courant utilisé pour justifier le privilège cissexuel est l’idée que les cissexuelLEs héritent le droit de se nommer femme ou homme en raison d’être néE dans ce sexe précis. En d’autres mots, les cissexuelLEs voient leur légitimité de genre comme un droit de naissance. »
Hé bien non justement, c’est l’inverse ! Il faut reprendre la définition de cissexuel : qui est en phase entre son sexe et les codes de son genre. La phrase de l’auteur est une négation de la définition de cissexuel.
Certes, la première traduction de « genre » définit un homme ou une femme par son adn et sa naissance. Mais ton adéquation ou non aux stéréotypes de genre est un apprentissage.
Il n’y a aucun lien entre être cissexuel et être né homme ou femme. Héloïse en est un exemple. Hors les hommes efféminés sont des hommes, parce que sexe et stéréotype de genre sont deux choses distinctes !
Du coup, lorsque la personne parle de son histoire : « Dans la sphère des interactions sociales, la seule différence entre mon genre transsexuel et leur genre cissexuel est que mon appartenance au genre féminin est généralement déclassée et placée en seconde zone, comme une imitation illégitime de la leur. »
Là je trouve qu’on touche quelque chose. La notion d’imitation, qui est au cœur de l’adoption de codes de stéréotypes est une construction normale de l’individu. Si l’auteur a été surpris de découvrir cela tard, cela fait longtemps que l’on sait que les enfants apprennent par mimétisme. Tout le monde passe par cette « imitation légitime ». Et comme l’on copie ce qui nous entoure, l’on finit par adopter les stéréotypes qui nous entourent. C’est le cas au travail avec les costumes, dans son lotissement lorsque l’on parle de streetwear ou de bcbg, mais aussi lorsque l’on parle de féminité et de masculinité.
Et lorsque l’auteur finalement témoigne : « En fait, l’évidence cissexuelle rend insignifiant mon sexe de naissance, et les autres supposent automatiquement que je suis née femelle (en se basant uniquement sur le fait qu’illes m’ont genrée femme). »
Il démontre lui même que ce sont les stéréotypes de genre et l’adoption de codes sociétaires qui définissent la perception dans le regard de l’autre. La preuve, les autres t’ont légitimé en tant que femme. Ton sexe de naissance et ton adn sont bel et bien des informations médicales.
Si le but de l’auteur est de pointer du doigt que la standardisation de l’individu par adoption des codes de stéréotype rend invisibles / standards les individus, ça n’est pas du tout une révélation. Personne ne va chercher à savoir si tu étais d’un autre code genré avant ou pas, tu as les codes d’un stéréotype, et on te traite et on attend des choses de toi en tant que tel. Et en même temps, si la première question que l’on devait poser était « t’as toujours été un homme ? », on se retrouverait à crier à la discrimination (légitime je pense).
Du coup, ce ressenti « Une autre remarque fréquente, "je n’aurais jamais deviné que tu étais transsexuelle", me félicite essentiellement de ressembler à une cissexuelle, insinuant une fois encore que les cissexuelLEs sont par essence meilleurEs que les transsexuelLEs. » est lié à l’idée que l’auteur a des autres.
Les gens sont en train de dire que ton adoption des codes est parfaite, et que tu as bien compris le modèle poussé par la société, c’est donc une validation d’un chemin parcouru par tous, mais tu l’interprètes comme un acte de dénigrement. C’est nier le parcours de l’autre, qui lui aussi s’est approprié les codes par apprentissage. En plus de cela, si tu as fait ton coming out trans, qu’espérais-tu comme réaction ?
Tu informes tout le monde « j’ai eu le cancer », et on te répond « j’aurais jamais deviné que tu avais pu frôler la mort ». C’est assez normé comme réponse. Que répondre d’autre sans devenir intrusif dans la vie de l’autre au risque de poser des questions qui pourraient être vues comme malsaines ou voyeuristes ?
De ce fait, le concept de « privilège cis » me gêne dans le sens où l’on parle d’une convention acquise par apprentissage et approbation de la part de la société, la ou l’auteur voit quelque chose d’inné. « Privilège » qui semble accordé à tous ceux qui respectent les codes et normes liés a un concept, indépendamment de leur sexe.
« Et la différence majeure entre mon histoire de vie de femme et la leur est que j’ai eu à me battre pour mon droit à être reconnue en tant que femme, alors qu’elles ont toujours eu le privilège de simplement considérer ceci comme acquis. »
Et bien non, justement. On apprend à se maquiller, on apprend à choisir ses vêtements, on apprend à se conformer aux attentes des autres et c’est tout le sujet de la polémique autour des réseaux sociaux comme Instagram qui envoient des codes de plus en plus normés. Tout le monde acquière ou lutte contre le stéréotype de genre.
Le meilleur exemple est la société japonaise, hyper conformiste parce que l’on agit pour rendre service à l’autre. On porte un costume pour ne pas embarrasser l’entreprise. On ne dit pas ce qu’on pense pour ne pas gêner. Le regard de l’autre passe avant l’individualité. On rentre dans le moule et on s’efface pour être accepté. Et je ne dis pas que c’est bien, il y a beaucoup de problèmes au Japon.
Je suis d’accord avec la considération souvent archaïque et beauf que certaines personnes peuvent avoir envers les personnes trans, il faut changer cela. Ça n’est pas correct. Je pense d’ailleurs que les médias ont fait beaucoup de mal sur l’image des trans.
Mais comme l’auteur le dit lui même, cis ou trans, on passe par une phase d’imitation des stéréotypes pour apprendre à les intégrer avec justesse dans les yeux des autres.
Là ou je pense que les trans vivent quelque chose de très dur, c’est lorsque leurs interlocuteurs découvrent qu’il y a inadéquation entre le stéréotype renvoyé et les attentes qu’ils peuvent avoir envers la personne. Comme par exemple un homme amoureux qui souhaite des enfants avec quelqu’un qui est trans et ne peux pas répondre à son besoin. L’interlocuteur se sent trahit et cela peut se manifester par un rejet violent, laissant la personne trans dans un mal-être très dur, qui sera vu comme illégitime, car elle n’a pas cherché à nuire. Attentes et déception sont les deux faces d’une même pièce.
Pour moi, la lutte importante que je souhaite mener, c’est celle contre les stéréotypes de genre. Un homme qui s’habille en mini-jupe et se maquille à outrance n’est à mon sens pas plus une femme, parce que je n’estime pas que ce stéréotype issu de playboy soit révélateur de ce qu’est une femme. Cette construction sur ce qu’est / doit faire / ne doit pas faire / doit porter une femme / un homme est un vrai problème.
Je revendique le droit aux hommes de porter des jupes et des talons, de se maquiller (merci la Corée lol) et de s’épiler, sans être catégorisés « efféminées ».
Être un homme ou une femme, ça n’est pas un trait de personnalité. C’est une information médicale.
Petite anecdote marrante pour vous : les triple toilettes existent déjà.
Les troisièmes sont réservées aux personnes handicapées.
Merci d’avoir considéré qu’ils sont des sous-humains, ils doivent être ravis.
Ce sont des toilettes aménagés et adaptés pour leurs besoins personnels, et je pense qu’ils sont contents de voir qu’on a pensé à eux.
Tout est question de point de vue, et refuser celui des autres est tout aussi détestable que de se voir refuser sa propre opinion.
Et oui, j’attend toujours qu’on m’explique ce que signifie « se sentir femme », je connais assez de femmes (j’en suis une), pour bien me rendre compte que nous sommes toutes hyper différentes, avec des valeurs différentes.
Une femme qui ne porte pas de talons est-elle moins une femme ?
Un homme qui porte des talons est-il moins un homme ?
Une femme qui n’est pas douce est-elle moins une femme ?
Un homme qui est doux est-il moins un homme ?
Une femme qui aime les femmes est-elle moins une femme ?
Un homme qui aime les hommes est-il moins un homme ?
Je ne comprend pas la phrase « je me sens femme » parce que je suis une femme et que je ne considère pas les stéréotypes de genre comme rendant les personnes moins homme ou femme.
Je constate un problème au niveau de l’éducation genrée des enfants, du bleu et du rose, des jeux infirmières ou médecins selon le genre, qui orientent des choix de vie.
Mais tu peux être la plus queer des queer, aimer les robes et les talons, te maquiller plus que moi, je ne t'enlèverai jamais ton droit à être un homme car je considère que tes préférences de consommation ne sont pas importantes. Tu restes un homme qui a droit de consommer comme il l’entend. Ne te considère pas « femme » parce que tu consommes des attributs « réservés » à l’autre genre.
Refuser ce que l’on est au prétexte que l’on a pas de droit de consommer ce que l’on veut, qu’elle violence...
Après si le souhait d’un changement de sexe est exprimé, que la personne est majeure et avertie, cela devrait être libre à chacun (et ça l’est). Mais j’espère que ça n’est pas motivé par des raisons de consumérisme. Vous avez le droit de consommer ce que vous voulez.
Je rattrape ma lecture en retard...
J’ai lu la série de posts sur ce problème, que je comprend parfaitement, quand on bosse dans un SI on est surpris de constater à quel point certains devs ou même leur management peuvent s’en b~ l~ c~ d’écrire des tests (étant moi même impliquée, je lutte pour le retour des tests mais personne n’est prêt à remettre en question son confort pour moi. Bande de s~ xD), donc je ne serai pas surprise que cet algo n’ait juste pas été testé ou alors qu’avec uniquement un ou deux voire trois cas nominaux par un QA de bonne volonté :
- personne âgée qui a un rein défaillant
- enfant de 8 ans avec un cœur malade
- personne d’âge moyen mais fumeur
D’ailleurs si aucune couleur de peau n’est définie, quelle valeur prendra cette variable par défaut ? Est-ce vraiment la couleur de peau ou l’ethnie qui est indiquée ?
On pourrait me dire que ce genre d’information ne devrait pas être prise en compte, et honnêtement je n’en sais rien, je ne suis pas médecin. Je suppose qu’en fonction des ethnies, les risques de maladies génétiques ne sont pas les mêmes, et que cette information doit avoir un intérêt, mais très honnêtement je n’en ai aucune certitude, donc je ne vais pas partir dans le procès d’intention, et juste partir du constat que ça existe.
Bref, il serait intéressant de voir comment est foutu le logiciel ! Si c’est un réseau de neurones derrière, alors les gens vont être déçus, c’est le jeu de données étalon en entrée qui a influencé les résultats futurs. Pas de volonté perverse derrière cela. Vu que le réseau de neurones décide tout seul des critères d’affectation, et qu’on a aucun moyen de vérifier les critères qu’il a choisi, il a peut être fait un lien direct implicite noir -> pauvre -> mauvais candidat, puisque les données en entrée l’ont conduit à se calibrer de cette manière (les personnes noires de son jeu de données d’entrée ont été refusés à 80% par exemple - après il faut voir pourquoi, mais ça l’IA s’en moque). Si en plus l’IA a mis en relation pauvre -> drogue ou pauvre -> obésité, alors là c’est mort, t’es foutu.
L’IA n’est pas prête à décider en autonomie sans une revue par un être humain.
Néanmoins je voudrais rajouter un autre point, qui me semble important et qui me dérange dans vos échange avec Lou.
Vous passez votre temps à parler des États-Unis d’Amérique comme si les choses se passaient là-bas comme en France. La lutte des classes est une histoire typiquement Française et la lutte raciale appartient aux E-U. N’apportez pas l’un chez l’autre.
J’ai regardé quelques vidéos d’expatriés noirs américains en France pour voir leur avis, à eux, concernant le traitement des personnes de couleurs.
APARTÉ un peu troll : d’ailleurs je rappelle ce bel effort des universités américaines, qui ont classé les ethnies et considèrent que les ressortissants maghrébins, les personnes des Émirats Arabes Unis, et les asiatiques sont blancs (moi ça ne me dérange pas, à voir ce que pensent les concernes, se sentent-ils privilégiés ?). D’ailleurs les espagnols et les portugais sont blancs aussi, mais les mexicains sont latinos... MAIS ARRÊTEZ DE CLASSER LES GENS BON SANG ! Ça n’a aucun sens...
Source : un serbe sur YouTube xD https://m.youtube.com/watch?v=0c4cf6JkSnc
Bref, je reviens aux témoignages des personnes noires Américaines à Paris. Je retiens plusieurs choses :
-
Aux US le sentiment communautaire noir est très développé (ils se saluent dans la rue sans se connaître par exemple)
-
À Paris, ils n’ont pas réussi à créer des groupes de rencontres dédiés aux personnes noires, personne n’était intéressé (pourquoi ? Apparemment parce que les personnes noires en France viennent de beaucoup d’endroit, Gabon, Sénégal, ... et ne se sentent pas proches les uns des autres, là ou, aux US, l’immigration noire est moins facile du fait de la distance. Les noirs américains sont souvent issus d’une même histoire)
-
Aux US, les personnes restent énormément entre communauté. La personne de la vidéo (que j’ai mis ci-dessous pour référence) dit même que les noirs Américains se sont « self-segregated » (ségrégués eux-mêmes)
-
À Paris, les expatriés noirs ont eu le sentiment d’être égaux aux autres personnes, et même, les petites attentions communautaires leur ont un peu manqué (je comprend c’est chouette d’appartenir à une famille)
Bref l’une des vidéo que j’ai trouvé intéressante sur le sujet, et que je vous partage :
https://m.youtube.com/watch?v=HNiWNfzP1sw
Donc je comprend le souhait de se rattacher à quelque chose que l’on connaît mais :
- les personnes noires en France ne sont pas de la même origine que les noirs Américains et il y a de fortes chances que leurs soucis à eux soient liés à la pauvreté.
- les personnes noires aux US sont dans des communautés actives, et ils y a des fortes chances que les problèmes de ségrégation là-bas soient différent du contexte français.
Donc je pense qu’il serait intéressant d’éviter de ramener les problèmes américains en France et les problèmes France aux US (de toutes façons, la plupart des américains ne savent même pas que l’on existe, sauf pour les marques de luxe).
Prenez soin de vous, et mangez des légumes !
Allez on le note, on sait jamais...
1.Generate keystore(At server):
keytool -genkey -alias bmc -keyalg RSA -keystore KeyStore.jks -keysize 2048
2.Generate new ca-cert and ca-key:
openssl req -new -x509 -keyout ca-key -out ca-cert
3.Extracting cert/creating cert sign req(csr):
keytool -keystore KeyStore.jks -alias bmc -certreq -file cert-file
4.Sign the “cert-file” and cert-signed wil be the new cert:
openssl x509 -req -CA ca-cert -CAkey ca-key -in cert-file -out cert-signed -days 365 -CAcreateserial -passin pass:yourpass
5.importing the ca-cert to keystore file:
keytool -keystore KeyStore.jks -alias CARoot -import -file ca-cert
6.import cert-signed to keystore:
keytool -keystore KeyStore.jks -alias bmc -import -file cert-signed
7.Copy ca-cert into client machine and generate truststore: (At client)
keytool -keystore truststore.jks -alias bmc -import -file ca-cert
8.Copy ca-cert into client machine and generate truststore: (At server)
keytool -keystore truststore.jks -alias bmc -import -file ca-cert-c
Plutôt que PhantomJS, passer à Puppeter.
Ca marche mieux... En fait ça télécharge chromium lol
Moi ce que je voudrais, c'est pouvoir définir MES valeurs par défaut pour mon application Spring-Boot, que je pourrais surcharger avec un fichier properties.
Donc, je veux surcharger programmatiquement les valeurs par défault de Spring-Boot, et quand même permettre la surcharge par fichier. Dans l'idée, ça marche :
import org.slf4j.Logger;
import org.slf4j.LoggerFactory;
import org.springframework.beans.factory.annotation.Value;
import org.springframework.context.annotation.Bean;
import org.springframework.context.annotation.Configuration;
import org.springframework.context.annotation.PropertySource;
import org.springframework.core.env.ConfigurableEnvironment;
import org.springframework.core.env.Environment;
import org.springframework.core.env.PropertiesPropertySource;
import java.util.Properties;
@Configuration
@PropertySource(value = "classpath:application.properties", ignoreResourceNotFound = true)
public class DatabaseConfiguration {
private static final Logger LOGGER = LoggerFactory.getLogger(DatabaseConfiguration.class.getCanonicalName());
public static final String DATABASE_URL = "jdbc:h2:./db/dbfile;MODE=MySQL;";
public static final String DATABASE_USER = "sa";
public static final String DATABASE_DRIVER = "org.h2.Driver";
public static final String DATABASE_SCHEMA = "PUBLIC";
@Autowired
private Environment env;
@Value("${spring.datasource.url:}") // Defaulted with empty value
private String databaseUrl;
@Value("${spring.datasource.username:}") // Defaulted with empty value
private String databaseUser;
@Value("${spring.datasource.password:}") // Defaulted with empty value
private String databasePassword;
@Value("${spring.datasource.driver-class-name:}") // Defaulted with empty value
private String databaseDriver;
@Value("${spring.datasource.schema:}") // Defaulted with empty value
private String databaseSchema;
private void overrideProperty(String name, String currentValue, String defaultValue) {
if (currentValue == null || currentValue.isEmpty()) {
currentValue = defaultValue;
ConfigurableEnvironment configurableEnvironment = (ConfigurableEnvironment) this.env;
PropertiesPropertySource propertySource = (PropertiesPropertySource) configurableEnvironment.getPropertySources().get("myProps");
Properties myProperties = new Properties();
if (propertySource != null) {
for (String propertyName : propertySource.getPropertyNames()) {
myProperties.put(propertyName, propertySource.getProperty(propertyName));
}
}
myProperties.put(name, currentValue);
configurableEnvironment.getPropertySources().addFirst(new PropertiesPropertySource("myProps", myProperties));
System.out.println("Property " + name + " not found and defaulted to => " + currentValue);
} else {
System.out.println("Property unchanged " + name + " => " + currentValue);
}
}
/**
* I swear to you, I tried to override configuration !!!
*/
@Bean
public void defaultConfiguration() {
this.overrideProperty("spring.datasource.url", this.databaseUrl, DATABASE_URL);
this.overrideProperty("spring.datasource.jdbc-url", this.databaseUrl, DATABASE_URL);
this.overrideProperty("spring.datasource.user", this.databaseUser, DATABASE_USER);
this.overrideProperty("spring.datasource.driver-class-name", this.databaseDriver, DATABASE_DRIVER);
this.overrideProperty("spring.datasource.schema", this.databaseSchema, DATABASE_SCHEMA);
}
}
Mais mon script s'exécute après la création de la DataSource et pas moyen de l'exécuter avant tout le reste T__T
Faut je creuse encore...
In a Groovy class:
private final Script script;
public MyClass(Script script) {
this.script = script;
}
public myMethod() {
this.script.env.test = "prout"
this.script.println(this.script.env.test)
this.script.properties([
this.script.parameters([
this.script.string(defaultValue: "${MY_VALUE}", description: 'the value', name: "${the_name}", trim: true),
this.script.password(defaultValue: "${MY_PASSWORD}", description: 'the password', name: "${the_password}", trim: true)
])
])
}
In the pipeline:
stage('My Stage') {
steps {
script {
MyClass toto = MyClass(this);
toto.myMethod();
}
}
}
Mais qu’est-ce qu’on attend ?!
Snoop doggy dog !
Des poneys c’est mieux que des petites vaches !
Le Jenkinsfile utilisé :
pipeline {
agent {
node { label 'With-Ansible' }
}
environment {
VM_CREDENTIALS = credentials('my-vm-credentials')
VM_USER = "${VM_CREDENTIALS_USR}"
VM_KEY = "${VM_CREDENTIALS_PSW}"
HOST_NAME = "my-vm-host"
}
stages {
stage('PING MACHINE') {
steps {
script {
println " ========== PING ${HOST_NAME} ========== "
sh "ansible all -i ${HOST_NAME}, -m ping -u ${VM_USER} --extra-vars=\"ansible_ssh_pass=${VM_KEY} ansible_connection=ssh ansible_port='22' ansible_ssh_common_args='-o StrictHostKeyChecking=no'\""
}
}
}
}
}
Il faut laisser la virgule :)
Y a-t-il vraiment des gens qui s’indignent du fait que les parcs - attendez on m’indique que c’est le seul parc ouvert à paris - donc que le seul parc de Paris accessible soit blindé de monde ?
Je pose la question : avez vous dans votre entourage quelqu’un qui annonce changer de jeans toutes les semaines ? Nettoyer son costume toutes les semaines ? Garder les mêmes chaussettes deux jours de suite ?
Vous ne voyez pas le rapport ?
Et si maintenant je vous dit que que les masques de protection ne sont pas distribués aux français mais vendus par les supermarchés ?
J’ai vu une enseigne vendre les 5 masques 30€ (oui mais l’imprimé etait trop joli hin hin).
À ce prix, votre connaissance qui change peu de vêtement parce que « nan mais ça sent pas », il va en acheter combien, des masques ? Un ? Allez peut être deux...
Combien de fois par jour va-t-il changer de masque ? Combien de fois par semaine ? À quelle fréquence va-t-il les laver ?
Et puis il va aller travailler, au même endroit que vous, après avoir pris la ligne 13 du métro, qui est toujours bondée.
Quel est le plus risqué : être ensemble dans un parc sans masque ou serrés dans le métro avec des masques souillés ?
Pour moi c’est exactement pareil.
Déconfiner sans tester et sans distribuer de masques jetables, c’est accepter une forme de fatalité.
Quitte à porter le même masque tous les jours pour des raisons de coût, autant ne rien porter du tout.
Les gens sont libres d’aller travailler dans des conditions tout sauf sanitaire, mais pas libres d’être tassés dans un parc le week-end.
Je vous rappelle que Castaner n’a pas renvoyé ses enfants a l’école.
Encore un article pour diviser les français.
Hello,
Petite note, pour plus tard.
Supposons que je doive utiliser Confluence et que je veuille un module de vote... Et que cette macro ne soit pas disponible !
Comment faire ?
Dans votre page Confluence, rajoutez un composant "HTML" (macro). Si c'est du JS, bon mettez le à la fin de la page, si c'est du css, mettez-le au début (soyons propres).
Confluence propose JQuery. Il est accessible via le raccourci AJS.xxx.
Si vous avez besoin de stocker des variables, l'API REST Confluence (version > 5.5) permet de stocker des properties.
Attention cependant, les seuls types REST dispos sont GET, POST, DELETE. Pas de PUT, ce qui veut dire qu'à chaque changement, il faut faire un DELETE - POST !
Voici un exemple codé rapidement. Ma property à stocker s'appelle "election" :
<ac:layout-cell>
<ac:structured-macro ac:macro-id="33e368de-3e17-4323-908c-2bb1639febe3" ac:name="html" ac:schema-version="1">
<ac:plain-text-body><![CDATA[
<script type="text/javascript">
AJS.toInit(function() {
var votes= {"votesPourA": 0, "votesPourB": 0};
function deleteElections() {
jQuery.ajax({
contentType: 'application/json',
type: 'DELETE',
url: contextPath + "/rest/api/content/" + AJS.params.contentId + "/property/elections",
success: function(response) {
updateVotes();
},
error: function(error) {
if(error.status== 401 || error.status== 402 || error.status== 403) {
alert("you need to be connected in order to vote")
}
}
});
}
function updateVotes() {
jQuery.ajax({
contentType: 'application/json',
type: 'POST',
url: contextPath + "/rest/api/content/" + AJS.params.contentId + "/property",
data: "{ \"key\" : \"elections\", \"value\" : \""+ JSON.stringify(votes).replace(/"/g, '\\"') +"\" }",
success: function(response) {
retrieveVotes();
},
error: function(error) {
if(error.status== 401 || error.status== 402 || error.status== 403) {
alert("you need to be connected in order to vote")
}
}
});
}
function retrieveVotes() {
jQuery.ajax({
contentType: 'application/json',
type: 'GET',
url: contextPath + "/rest/api/content/" + AJS.params.contentId + "/property/",
success: function(response) {
response.results.forEach(function (item, index) {
if(item.key == "elections") {
votes = JSON.parse(item.value);
AJS.$("#voteAspan").text(votes.votesPourA + ' votes');
AJS.$("#voteBspan").text('votes.votesPourB + ' votes');
}
});
}
});
}
AJS.$("#votePourAButton").click(function() {
votes.votesPourA = votes.votesPourA + 1;
deleteElections();
});
AJS.$("#votePourBButton").click(function() {
votes.votesPourB = votes.votesPourB + 1;
deleteElections();
});
setTimeout(() => { retrieveVotes() }, 2000); // This is because AJS.params.contentId property is not available immediatly.
});
</script>
]]></ac:plain-text-body>
</ac:structured-macro>
</ac:layout-cell>
Désérialiser des objets depuis le JSON vers des entités typées en Typescript est un besoin que l'on peut rencontrer n'importe quand.
Voici ce que je fais de mon côté, afin de pouvoir profiter pleinement des méthodes de mes objets.
Pour un objet simple, ceci suffit :
export class Identity {
public name: string;
public age: number;
public constructor(init?: Partial<Identity>) {
Object.assign(this, init);
}
}
Dès que l'on commence à avoir des collections, il faut ajouter un peu d'intelligence (on part du principe que la classe Adress aura un constructeur qui permet cette initialisation, voir dessous) :
export class Contact {
public adresses: Address[];
public phone: string;
public constructor(init?: Partial<Contact >) {
Object.assign(this, init);
if (init != null) {
this.adresses= init.adresses== null ? [] : init.adresses.map(it => new Address(it));
}
}
}
export class Address{
public city: string;
public constructor(init?: Partial<Address>) {
Object.assign(this, init);
}
}
Si on a des "nested objects", donc des classes qui ont d'autres classes en attribut, on fait comme ceci :
export class Person {
public identity: Identity;
public contact: Contact;
public constructor(init?: Partial<Person>) {
Object.assign(this, init);
if (init != null) {
this.identity= init.identity== null ? null : new Identity(init.identity);
this.contact= init.contact== null ? null : new Contact(init.contact);
}
}
}
Et enfin, comment on s'en sert - dans les grandes lignes (passke quand même, hein !):
return this.http.get(`/api/person/${personId}`)
.toPromise()
.then((response: any) => new Person(JSON.parse(response)) );
Il y a des jours comme ça, dans notre existence, où l'on se prend à rêver à une autre vie... Et oui, aujourd'hui on m'a demandé de rédiger un tuto sur comment utiliser Liquibase. T_____T
Du coup, je vais noter ici tout ce que je trouve vraiment regrettable concernant cette techno :
- La documentation sur le site officiel est vraiment bâclée. Le "Get Started" ne donne même pas un "Hello World".
- La classe de base ne permet pas l'usage d'une DataSource existante directement
- La documentation officielle encourage les développeurs à écrire leurs scripts de migration de base en XML. Quand je lis ceci :
<changeSet id="1" author="bob"> <createTable tableName="testTable"> <rollback> <dropTable tableName="testTable"/> </rollback> </changeSet>
Je me demande tout de suite, et si jamais je dois lancer mes scripts sans Liquibase ?
- Je mentionne rapidement la promesse du rollback qui ne vaut que si tu appliques des méthodes Crafts sur ta gestion de base, et dans ce cas, ils ne servent plus à rien (que fait-on si le script de rollback plante ? Comment fait-on un rollback d'un drop de données ?).
- Le XML, bon sang, LE XML ! Mais pourquoi ?! (référence : DOOOOOOOM ! MOTHERFUCKING DOOM !)
J'agrandirai la liste avec mes nouvelles remarques. En attendant je recommande Flyway <3
Anecdote : Pour appeler un job local, le step s'appelle "build", mais pour appeler un job distant c'est triggerRemoteJob... C'est quand même pas très homogène...
Ce job appelle un autre job en passant des paramètres :
pipeline {
stages {
...
stage('TRIGGER OTHER JOB') {
steps {
script {
println " ========== TRIGGER NEXT JOB ========== "
build job: 'other-job/master', parameters: [[$class: 'StringParameterValue', name: 'PROUT', value: "TRUC" ]]
}
}
}
}
}
Ce job récupère des paramètres :
pipeline {
parameters {
string(name: 'PROUT', defaultValue: 'VALUE', description: 'Received from previous job')
}
stages {
stage('HELLO WORLD') {
steps {
script {
println " ========== HELLO WORLD II WITH ${PROUT} ========== "
}
}
}
}
}
Allez, je me permet de donner mon avis sur la gestion du COVID et l'efficacité des mesures prises.
Ne pas confondre Confinement et Quarantaine
Si la quarantaine est efficace pour limiter la contagiosité, le confinement est complètement inefficace pour y arriver.
La quarantaine consiste à retirer d'un système les individus identifiés comme suspicieux et à les placer dans un espace clos limitant les risques de transmettre la maladie. Ensuite, sous supervision de personnes formées et compétentes, l'évaluation de l'état de santé des personnes infectées permettra de décider si oui ou non, elles sont aptes à se réintégrer au système sans risque.
Le confinement consiste à demander à tout le monde de limiter ses contacts avec l'extérieur, sans savoir qui est porteur sain, malade, en rémission ou non touché. Du coup, c'est à l'estimation de chacun, sans test, sans supervision, d'estimer si elles sont "capables" de sortir acheter leur baguette de pain.
Bullshit numéro 1: penser que le confinement est efficace ou sert à quelque chose. Le plus probable c'est que tout le monde l'attrape, en étalant les malades sur la durée, en priant qu'une immunité se créé, ce qui est encore largement à démontrer.
Autant remettre tout le monde dehors, ça ira plus vite. Si le souhait est de ne rien gérer, ça sera plus efficace. On meurt libre et entouré, c'est quand même plus humain que les enterrements par Skype.
Le calcul du taux de mortalité - mais sans tester la population
X% de mortalité sans tester personne, mais ça veut dire quoi ?!
Les gens sont uniquement testés en hôpital, suite à leur propre prise de décision de se déplacer, en supposant que l'appel au médecin traitant et la médicamentation ne suffisaient pas.
Je pose la question, et là pour le coup, ça me semble pertinent : Par rapport aux autres virus, pour ceux qui se déplacent parce que l'appel au médecin et la médicamentation ne suffisent pas, combien décèdent ?
Bullshit numéro 2 : un taux de mortalité basé sur finalement pas grand monde et comparable avec rien du tout mais qu'on étale au visage à longueur de temps
Le taux de mortalité - mais sans savoir les critères nécessaires pour y être comptabilisé
Prenons un cas très spécifique : Jean, qui a un cancer des poumons, mais qui a la chance d'être porteur asymptomatique du COVID19. Il se rend à l’hôpital car il souffre de détresse respiratoire suite à une complication de son cancer. Le test au COVID 19 se révèle positif, puisqu'il est porteur sain. Il décède quelques jours plus tard de son cancer (RIP Jean).
Sera-t-il comptabilisé dans la mortalité COVID19 ? Impossible de trouver l'info.
Bullshit numéro 3 : Pas d'explication du protocole médical ou scientifique des calculs de comptabilisation
Penser que le confinement limite les déplacements des individus
Certes, une bonne partie de la population ne se rend plus sur son lieu de travail. Mais puisqu'une bonne partie des commerces sont fermés, et que les employés ont le droit de poser leur droit de retrait, les confinés sont parfois obligées de prendre les transports en commun ou d'aller plus loin pour accéder à un besoin disponible à côté de chez eux auparavant. <a href="?addtag=NoPQ" title="Hashtag NoPQ">#NoPQ</a>
Bullshit numéro 4 : Puisque tout le monde doit se démerder pour envoyer sa paperasse administrative à temps et que beaucoup de postes ont fermé, les gens se déplacent plus loin !
Finalement, la limitation de la contagion ne fait uniquement parce que les employés profitent de leur télétravail pour ré-organiser leur agenda et ne sortent pas tous au même moment, le samedi ou le dimanche.
Hi hi !
Le racisme aujourd'hui
Je lisais ce post d'Antichesse, un peu plus tôt, et je me suis dit que j'allais dire quelque chose. allez, comme ça, c'est gratuit (donc c'est vous le produit ;) )
Je suis très intéressée par cette idée du "racisme systémique", et l'idée selon laquelle insulter quelqu'un de "sale blanc" serait une agression décorrélée du racisme.
Quand on parle de personnes de couleur
Alors déjà, et avant de commencer, je dois dire que l'idée de "personne de couleur", me laisse un peu perplexe. J'ai beaucoup de difficulté à mettre les gens dans des cases de couleur... Est-ce que machin est noir ou est-ce qu'il est pas trop noir ? Est-ce qu'il est chocolat... Peut-être parce que je suis une fille, et que les vendeuses de chez Sephora m'ont expliqué très tôt que le fond de teint se distinguait selon deux axes : teint beige - rosé - olive - doré d'un côté, pigmentation de la peau d'un autre côté. Et attention n'achetez pas votre fond de teint en mars pour septembre, vous risqueriez de bronzer et la couleur ne vous irait plus !
Donc ce que j'ai retenu :
- Ben quand tu bronzes, tu changes de couleur. (waow ! incroyable ! such innovation ! such nouveauté ! Amazing !)
- Le fond de teint en base beige ne va pas aux personnes en base rose. Donc on peut être blanc rose ou blanc beige, et on a pas la même couleur.
La marque Sephora s'est même vantée de proposer 57 teintes différentes de fond de teint ! Et c'est nécessaire ! Parce que sinon ça change la couleur de la peau !
Donc partons de la base que répartir les gens en "couleur", ça revient à prendre les 57 teintes et à faire des catégories, ce que je trouve légèrement contre-intuitif. Donc j'aime pas trop la notion de "personne de couleur", parce que Sephora a l'air de dire qu'on a au moins 57 couleurs différentes minimum, et les fonds de teint blanc ou noir, ça existe pas. Ca va être un 23 beige naturel ou 23.5 naturel rosé, un 44 praline doré ou un 45 café latté...
Paye ton insulte... "hé espèce de sale praline doré !"... Ça va en faire des gens qui se haïssent sur le critère de la couleur...
Quand on parle de racisme systémique
Le racisme comme oppression systémique est l'idée selon laquelle les personnes répondant à un stéréotype de couleur subissent une distinction de considération issue du système. Je ne sais pas si je l'ai bien écrit. Ok, soit, admettons, je peux l'entendre. Par exemple, dans un pays dont la loi est différente en fonction de critères arbitraires (couleur - religion - sexe), on a en effet une oppression systémique.
__ Remarquez que je dis sexe et pas genre. En effet, il semblerait que les français aient oublié que le sens premier de "genre" est "catégorie", exactement comme un genre littéraire ou un genre d'individu. A l'inverse, aux USA, Gender se traduit littéralement par "Sexe". Les faux amis ont encore frappé...__
Maintenant, ce qui me gène c'est l'idée que le racisme ne soit que l'expression d'une oppression systémique, et donc que le fait de dire "sale blanc" ne soit pas raciste.
Pourquoi le fait de traiter quelqu'un de "sale blanc" ne serait pas du racisme ? Hé bien, si j'ai bien compris, parce que ce racisme ne serait pas l'expression d'une oppression systémique, nouvelle définition du racisme.
Donc devant deux situations similaires : une personne qui en insulte une autre de "sale noir" - une personne qui en insulte une autre de "sale blanc" = Devant ce même délit, le jugement n'est pas le même. Dans un cas, c'est du racisme, et dans l'autre une agression, et la justice assigne des peines différentes aux deux cas.
Il en ressort un système où les individus sont traités différemment selon des critères arbitraires (couleur - religion - sexe), c'est donc un système paradoxal.
Cela risque d'entretenir la haine de l'autre pour sa différence, et d'accentuer les différences de jugement. Donc en plus, il s'entretient.
J'en connais quelques uns, des systèmes construits sur des paradoxes :
- Le communismes, mais avec une oligarchie qui centralise les richesses
- Le capitalisme libéral, mais avec un renflouement de certains business par l’État
- Le fait que tu aies besoin d'un Kadabra pour compléter ton pokédex, mais qu'après l'échange, tu reçoives un Alakazam
En général, les lois qui ne sont pas valides avec elle-mêmes sont fausses. Elles contiennent un mensonge.
Donc oui, bien sûr, l'oppression systémique c'est mal ! Juger quelqu'un pour quelque chose qu'il n'a pas choisi comme sa couleur, son sexe ou sa religion, c'est nul !
Mais se créer un système qui re-créer une distinction de droits en fonction de ces critères arbitraire, ça ne peut pas être la solution.
En faisant ça, on entretient la haine le l'autre, et quand on fait croire aux gens que droite = racisme, on joue le jeu du Rassemblement National.
Mais heureusement, il y aura toujours un candidat dont personne ne veut pour se lever face au racisme et à l’extrême droite ! Mais ça vous coûtera vos congés ! ;D
Hello Antichesse, tu m'as dit que tu allais peut-être t'intéresser à la remontée du coverage côté Front vers Sonar, donc je te met des infos sur ce que j'ai fait, pour t'aider.
Infos préalables (mais je sais que ça marche avec Angular et depuis Karma 4.1.0) :
Package.json
"devDependencies": {
"@angular-devkit/build-angular": "0.901.0",
"@angular/cli": "9.1.0",
"@angular/compiler-cli": "9.1.0",
"@angular/language-service": "9.1.0",
"@types/jasmine": "3.5.10",
"@types/jasminewd2": "2.0.8",
"@types/node": "12.12.34",
"codelyzer": "5.2.2",
"jasmine-core": "3.5.0",
"jasmine-spec-reporter": "4.2.1",
"karma": "4.4.1",
"karma-coverage-istanbul-reporter": "2.1.1",
"karma-firefox-launcher": "1.3.0",
"karma-jasmine": "3.0.3",
"karma-jasmine-html-reporter": "1.5.3",
"protractor": "5.4.3",
"ts-node": "8.3.0",
"tslint": "6.1.1",
"typescript": "3.8.3"
},
Alors déjà, je lance mes tests en Firefox Headless.
Extrait de mon fichier Karma.conf.js :
module.exports = function (config) {
config.set({
basePath: '',
frameworks: ['jasmine', '@angular-devkit/build-angular'],
plugins: [
require('karma-jasmine'),
require('karma-firefox-launcher'),
require('karma-jasmine-html-reporter'),
require('karma-coverage-istanbul-reporter'),
require('@angular-devkit/build-angular/plugins/karma')
],
...
browsers: ['FirefoxHeadless'],
captureTimeout: 600000,
browserDisconnectTolerance: 3,
browserDisconnectTimeout: 600000,
browserNoActivityTimeout: 600000,
customLaunchers: {
FirefoxHeadless: {
base: 'Firefox',
flags: ['-headless', '--no-sandbox']
}
}
...
});
};
Mais surtout, dans le fichier Karma, il y a un élément super important, l'emplacement de stockage de ton coverage :
Karma.conf.js
coverageIstanbulReporter: {
dir: require('path').join(__dirname, './coverage/project-name'), **<---- ICI**
reports: ['html', 'lcovonly', 'text-summary'], <--- Lcov doit être inclu aussi !
fixWebpackSourcePaths: true
},
Le dir indique ou le coverage sera stocké. Tu en auras besoin dans ton fichier JenkinsFile. Pour moi, à la racine de mon WORKSPACE, j'aurais un dossier "coverage", qui contient un autre dossier "project-name" contenant le résultat de l'analyse Istanbul-reporter, incluant le coverage.
Voici quelques extraits de mon fichier JenkinsFile, pour montrer les modifs que j'ai du faire :
pipeline {
agent { label 'trololo-pouetpouet' }
stages {
stage('Clone source code') {
steps {
git branch:'${BRANCH_NAME}', credentialsId: gitCredentialsId, url: gitSshUrl
}
}
stage('Test') {
steps {
println " ========== START PLAYING TESTS ========== "
configFileProvider([configFile(fileId: 'npm-npmrc', targetLocation: '/root/.npmrc')]) {
sh "export SASS_BINARY_PATH=${sassBinaryLocation}/${bindingNodeFileName} ; npm run test-prod"
}
stash includes: 'coverage/**/*', name: 'COVERAGE' **<---- Ici, c'est parce que je change d'agent, donc je garde l'output de mon coverage **
}
}
stage('Build') {
steps {
println " ========== START BUILDING DELIVERABLE ========== "
...
}
}
stage('Sonarqube analysis') {
agent {
label 'sonar-scanner-agent-de-ouf'
}
steps {
git branch:'${BRANCH_NAME}', credentialsId: gitCredentialsId, url: gitSshUrl
script {
configFileProvider([configFile(fileId: 'npm-npmrc', targetLocation: '/root/.npmrc')]) {
...
unstash 'COVERAGE' ** <----- je récupère mon output d'analyse incluant mon coverage **
withSonarQubeEnv(sonarEnvName) {
sh "sonar-scanner "+
"-Dsonar.verbose=true "+
"-Dsonar.projectBaseDir=${WORKSPACE} "+
"-Dsonar.projectVersion=${taggedVersion} "+
"-Dsonar.sources=. "+
"-Dsonar.exclusions='**/*.spec.ts, **/*.js, src/test/*'"+ **<---- Ici, j'exclue les tests et le js du coverage et de l'analyse **
"-Dsonar.projectName='${binaryName}' "+
"-Dsonar.projectKey=${binaryName} "+
"-Dsonar.typescript.lcov.reportPaths=${env.WORKSPACE}/coverage/project-name/lcov.info "+ <---- Ici, il faut indiquer le path récupéré depuis le fichier Karma.conf.js, et pointer vers le fichier lcov.info
(env.BRANCH_NAME != 'master' ? "-Dsonar.branch.name=${env.BRANCH_NAME} -X " : "")
}
}
}
}
}
...
}
...
}
Et last, but not least, une petite indication supplémentaire à préciser quand on fait de l'angular :
package.json
"scripts": {
"ng": "ng",
...
"test": "ng test --watch --code-coverage", ** <---- Indiquer que l'on veut l'emission du coverage !**
"test-prod": "npm install && ng test --code-coverage",
"lint": "ng lint",
"e2e": "ng e2e"
},
Note : l'option de script "--code-coverage" peut également être remplacée par l'option de build:
"test": { ** <---- En phase test **
"builder": ...
"options": {
....
"codeCoverage": true, ** <---- Indiquer codeCoverage true **
"assets": [
"src/favicon.ico",
"src/assets"
],
"styles": [
"src/styles.scss",
....
}
},
Et voilà, ton coverage est dispo sur SONAR !
Si quelque n'est pas clair, n'hésite pas à me le dire !
A tester ! :)
Hello Animal,
Autant j’aime l’idée que le Dr.Raoult soit en lutte contre, d’une part un délit de faciès (depuis quand appeler quelqu’un Gandalf parce qu’il a un style personnel est quelque chose de correct ?!), mais aussi des magouilles du gouvernement.
Autant il faut admettre que son protocole expérimental est un peu léger, et qu’il a exclu des résultats les individus qui répondaient mal au traitement. Notamment celui qui est mort (anecdotique ?).
Parmi ses sponsors privés se trouve le groupe pharmaceutique qui distribue la chloroquine.
Encore une histoire en nuances de gris...
Aujourd'hui j'ai appris comment combiner des observables pour attendre que tous les traitements s'exécutent.
Et c'est surtout grâce au lien.
En même temps, la doc RXJS est pas mal non plus : https://www.learnrxjs.io/learn-rxjs/operators/combination/combinelatest
A lire plus tard
Ou alors, Animal, ADP a un plan d'investissement de 6 milliards qui est prévu : https://www.capital.fr/entreprises-marches/adp-propose-un-plan-dinvestissement-de-6-milliards-deuros-sur-5-ans-1334030
Et le gouvernement souhaite le financer avant de le vendre, afin de soulager un peu les investisseurs ou de leur faire peur : https://francais.rt.com/economie/60698-adp-va-investir-6-milliards-euros-avant-sa-privatisation
Et le coronavirus est un bon pretexte ;)
Voici comment déclarer un cron via Ansible :
- name: 'backup chron is declared'
cron:
name: 'Backup Database'
backup: 'yes'
cron_file: '{{ application }}-data-backup'
job: '{{ PATH_TO_SH_FILE_TO_BE_EXECUTED }}'
state: 'present'
minute: '0'
hour: '*/12'
day: '*'
month: '*'
weekday: '*'
user: '{{ VM_USER }}'
Quelques infos :
- Si la propriété cron_file n'est pas renseigné, alors le cron sera déclaré dans crontab (cron en mémoire), s'il est renseigné, un fichier sera créé dans /etc/cron.d/ pour être relancé au reboot
- job : Le chemin vers le script qui doit être lancé
- name : le nom du cron
- state : 'present' ou 'absent'
- minute, jour... : valeur par défaut : "*"
- au lieu de minute, hour,... on peut mettre special_time. Valeurs acceptées : annually, daily, hourly, monthly, reboot, weekly, yearly
Exemples depuis la doc :
Job au moment du reboot
- name: Creates an entry like "@reboot /some/job.sh"
cron:
name: "a job for reboot"
special_time: reboot
job: "/some/job.sh"
Créer une variable d'environnement :
- name: Creates an entry like "PATH=/opt/bin" on top of crontab
cron:
name: PATH
env: yes
job: /opt/bin
Un site qui montre le format d'un cron selon le contenu de l'url.
Example :
https://crontab.guru/every-12-hours
https://crontab.guru/every-1-minute
Le man page est très complet.
A tester ! Ça peut m’être très utile :3
un bon paquet de postes de dépense peuvent être déduits des revenus locatifs :
-
Les frais de financement de votre investissement
Tous les frais de financement qui ont servi à l’acquisition, la conservation (par exemple, un prêt contracté pour payer des droits de succession), la construction, la réparation ou l’amélioration du bien sont déductibles des revenus fonciers bruts (ligne 250 et 410 du formulaire 2044).
Cela signifie que vous pouvez déduire sur les loyers bruts perçus au cours de l’année N tous les frais que vous aurez payés cette même année pour un financement : -
Les intérêts d’un crédit immobilier ou d’un prêt pour des travaux
-
Les frais de dossier
-
Les frais de garantie
-
Les cotisations d’assurance emprunteur
-
Etc.
C’est pour cela que vous avez fortement intérêt à emprunter plutôt que de payer cash pour un investissement immobilier. -
Les frais d’entretien et de réparation
Vous pouvez déduire le coût des travaux que vous engagez pour entretenir ou réparer votre logement. Ces travaux doivent avoir pour but de conserver ou de remettre en étant votre bien immobilier sans en modifier l’usage, l’agencement ou les équipements principaux. Vous pouvez par exemple prendre en compte vos frais de remise aux normes de l’installation électrique, le traitement du bois, une rénovation de la toiture, etc. -
Les dépenses pour améliorer le logement
Certaines dépenses engagées afin d’apporter un équipement ou un confort supplémentaire aux locataires sont également prises en compte. Elles ne doivent pas pour cela modifier la structure du logement. Vous pourrez, par exemple, déduire des frais pour des améliorations de ce type : -
Changement des fenêtres ou des volets
-
Isolation thermique du bâtiment
-
Installation d’une cuisine équipée
-
Ajout d’un digicode ou d’un autre élément de sécurité
-
Installation d’équipements pour personnes handicapées,
-
Changement du système d’évacuation des eaux usées
-
Etc.
-
Le coût des impôts et des taxes
Une partie des impôts et des taxes que vous devez payer par rapport aux appartements que vous louez peuvent également être déduits de vos loyers. Il s’agit principalement de la taxe foncière, de la taxe d’équipement, des éventuelles taxes sur les bureaux, etc.
En revanche, les impôts payés par le locataire (taxe d’ordures ménagères, taxe d’habitation), ainsi que les impôts sur le revenu, la TVA, les frais de notaire, etc. ne sont pas déductibles. -
Les charges de copropriété
Pour ce qui concerne les charges de copropriété, tout propriétaire bailleur peut répercuter le coût des charges qui ne sont pas répercutées au locataire. Vous devez déduire les provisions pour charges de copropriété de l’année qui correspond aux loyers sur lesquels vous êtes imposés. Vous devez également prendre en compte la régularisation des charges réellement actées pour l’année précédente par rapport aux provisions qui avaient été faites. -
Les cotisations d’assurance
Toutes vos cotisations d’assurances liées à vos biens immobiliers sont entièrement déductibles de vos revenus fonciers (ligne 223 de l’imprimé 2044). Cela concerne tout type d’assurance que vous pouvez souscrire dans le cadre d’un placement de ce type : -
Votre assurance habitation
-
Votre assurance loyer impayé
-
Votre assurance contre la vacance locative
-
Vos assurances de prêt (comme vu ci-dessus dans les frais de financement)
-
Etc.
Vous avez ainsi la possibilité de vous assurer contre les différents risques liés à l’investissement locatif et cela est bien pris en compte dans le calcul de vos impôts fonciers puisque c’est le montant réel de vos primes d’assurance qui est comptabilisé. -
Les charges de gestion
Lorsque vous confiez la gestion locative de vos logements à un tiers (agence immobilière, administrateur de biens, etc.), vous pouvez retrancher ces frais de vos revenus locatifs. Il en est de même pour tous les frais de gardiennage ou de conciergerie qui concernent le logement loué. Dans les charges de gestion déductibles, vous pourrez également soustraire de vos loyers perçus tous les honoraires (avocat, notaire, huissier, etc.) liés à des frais de procédure pour régler des différends. Pour tous les petits frais administratifs de gestion (achat de souches de quittance de loyer, frais de téléphone ou de courrier, achat d’un modèle de contrat de location) l’administration fiscale autorise une déduction forfaitaire de 20 € par an et par logement.
Pour conclure, cette liste des charges déductibles de vos revenus fonciers pour les impôts sur les revenus n’est pas exhaustive. Le Code Général des Impôts prévoit également que toutes les "dépenses effectuées en vue de l’acquisition et de la conservation de son revenu" sont également concernées. Il peut donc y avoir d’autres frais que vous pouvez intégrer afin de réduire l’imposition sur vos revenus locatifs (voir l’infographie ci-dessous qui reprend les détails de ce texte)
Hi hi pour ne pas oublier ce lien !
Apparemment c’est faux :/
De l’écriture inclusive...
Il est rare que j’utilise ce moyen d’expression qu’est le shaarli pour exprimer une opinion personnelle politique. Cela étant dit, il me semble qu’il n’existe pas d’autre espace de partage qui permette correctement l’exercice : l’opinion en 240 caractères ne saurait être qu’une réaction tronquée qui manque fondamentalement de substance. Et le blog, c’est pour raconter sa vie, et elle regarde que moi.
Je vais donc coucher mes idées comme elles me viennent et nous verrons ce que cela donne.
Le sujet de l’écriture inclusive m’est revenue encore récemment et je ne peux pas m’empêcher d’être gênée par l’expression qu’elle prend.
Pour faire court : Afin d’être le plus égalitaire, inclusif possible, il faudrait préciser le genre de toutes les personnes concernées. Donc ne plus dire :
Ils ont voté pour
Mais
Ils.elles ont voté pour
Plusieurs problèmes à cela :
- « Il » s’emploie pour un homme avec un penis, « elle » pour une femme avec un vagin. Car l’on exprime le sexe et non le genre. Le genre en grammaire et orthographe française ne fait pas référence aux stéréotypes autour des sexes, mais bel et bien à l’emploi d’un pronom. C’est pour cela que l’on parle de LA chaise, et croyez moi, la chaise ne se maquille pas et ne porte pas de jupe. Erreur de semantique donc.
- en exprimant plus de genres que nécessaire, on exclue les non genrés et non binaires, donc on est pas inclusifs. D’ailleurs, les enfants sont-il genrés dans ce cas ? Je rappelle que lorsque l’on parle de genre, on ne parle pas de sexe, on parle bien de stéréotypes et attributs autour des-dits sexes.
- La distinction genrée homme-femme amène finalement la triste vérité : il faut séparer les deux catégories de population, elles ne sont pas égales et doivent être distinguées. Quelque chose d’inclusif aurait pu être d’inventer un nouveau pronom, équivalent du ‘it’ anglais comme eil (contraction du il et du elle) ou alors de supprimer un des deux genre, pour ne garder que le neutre (masculin), par exemple.
- A vouloir faire de l’égalité, on crée des inégalités. Supposons que vous indiquez sur votre plaque - site - cv : D. Truc, Doctoresse, alors vous permettez aux individus ayant un biais de genre (ex : les femmes sont nulles) de vous exclure de leur panel de docteur à consulter. Vous permettez aux autres de vous exclure sur le critère du genre. C’est l’inverse de l’égalitarisme et de l’inclusion.
Mais surtout, au delà de la pertinence du débat, cette polémique évoque chez moi trois pendants que je considère plus graves :
- ces luttes hommes - femmes crééent des camps en confrontation, exactement comme les luttes de racisme créent des confrontations entre personnes de couleurs différentes, retraites à privilèges ou régimes généraux... je ne vois que des moyens de diviser les populations sur des sujets de société qui manquent finalement un peu d’enjeux... lutter contre le sexisme c’est important, lutter contre le racisme c’est important, garantir des retraites pour tous c’est important. Faut-il utiliser il ou elle pour parler d’un groupe de personnes... bof bof bof... ça fait pas avancer le bateau et ça crée des tensions et des divisons, il me semble qu’on obtient moins d’inclusion non ? Garantissons dans la loi des sanctions pour ceux qui y dérogent, faisons appliquer les sanctions et garantissons la même justice pour tous.
- Ce genre de sujet sociétal prend énormément d’espace, au moins sur internet (je ne regarde pas la télé), occultant des sujets qui pourraient sembler prioritaire comme le fait que... je sais pas... l’Australie brule ?
- Enfin, la tyrannie des foules, telle que décrite par Tocqueville présente la description d’une société accordant toujours plus de pouvoirs à l’Etat pour mettre en place de l’égalitarisme, et ce, au détriment de la liberté. Par liberté, il faut entendre l’inverse de la tyrannie d’un despote, ce que redoute le plus Tocqueville, c’est un roi ou un gouvernement autoritaire. J’ai aussi l’impression que notre gouvernement joue la carte du « gauchisme societal » pour obtenir de la légitimité d’agir. En se faisant annonciateur d’égalité, il prend plus de pouvoir qu’il ne devrait et devient autoritaire, au point où le peuple, pour un peu d’égalité, perd beaucoup de liberté...
La question de la liberté et de l’égalité est centrale en ce moment. Revendiquer l’égalité devant la loi me semble pertinent, mais il devient difficile de soutenir que l’on peut aller plus loin.
Je n’ai pas les jambes d’Usain Bolt, le QI d’Enstein, le visage de Brad Pitt, et mes parents ne me transmettront pas plusieurs millions d’euros.
En quoi suis-je égal avec mon voisin ? Le prétendre reviendrait à nier le handicap, la maladie, la génétique et l’épi-génétique...
Mais cela reviendrait à admettre que tout le monde ne peut pas devenir millionnaire, et donc que les millionnaires ont profité d’un avantage inégal devant la vie. Cela revient à admettre qu’un chômeur n’est pas un profiteur mais un défavorisé devant la vie. Cela revient à admettre les plus riches ne sont pas plus méritants, ils ont profité d’un avantage inégal, et appelle un autre partage des richesses... Cela ramène une autre forme d’égalité, celle d’avoir le droit de vivre avec sa différence : cela s’appelle l’équité. Si on a trop d’égalité, on manque d’équité.
Aujourd’hui, dans la médecine psychiatrique, lorsque l’on parle des patients, on parle de personnes qui ont pété un plomb, incapables de rentrer dans un cadre. Ces gens dysfonctionnels, on passe plus de temps à les medicamenter, qu’à les écouter, de toutes façons on a plus de moyens pour ça. Un individu inadapté est plus commode qu’un cadre de vie inadapté, qui suppose de revoir tout le système.
Pour résumer, le débat sur l’écriture inclusive me semble être le fait d’une occupation de l’espace médiatique, à grands coups d’interprétations libres et de manipulations basiques (non le masculin ne l’emporte pas sur le féminin ! Non nous ne sommes pas tous égaux.) afin de nous orienter vers des divergences et des clivages sociaux. Arrivent alors des partis qui profitent de cette tyrannie des foules et, se prônant pour « un égalitarisme de gauche », en profitent pour récupérer plus de pouvoir qu’ils ne le devraient.
Bref, l’écriture inclusive, je trouve pas ça très intéressant.
Aaaah ! Cette page vient de me sauver la vie. J'en avais un peu marre de l'integration Maven d'intellij.
Maintenant je n'ai plus aucun doute sur ma compilation !
Pour rappel :
Configuration
Perform these steps:
- Run -> Edit configurations -> Defaults -> JUnit
- Enter this as a post-Make step:
- Run Maven Goal : org.javalite:activejdbc-instrumentation:2.3:instrument
stage("Sonar Analysis") {
steps {
println " ========== START SONAR ANALYSIS ON SOURCES ========== "
// Prepare SonarQube scanner environment
withSonarQubeEnv(sonarqubeEnvName) {
sh "mvn -B -U -Dproject.version=${version} " +
(env.BRANCH_NAME != 'master' ? "-Dsonar.branch.name=${env.BRANCH_NAME} " : "") +
" -Dsonar.value.url=${sonarqubeserver}" +
" sonar:sonar"
}
}
}
Apparemment, faire simple c'est compliqué.
Comme j'ai pas envie de le faire plusieurs fois, je le met ici, en flat :
println " ========== START PREPARATION STEP ========== "
pom = readMavenPom file: 'pom.xml'
binaryName = pom.artifactId
version = pom.version
groupId = pom.groupId
artifactoryserver = Artifactory.newServer url: 'myURL/', credentialsId: artifactoryCredentials
artifactoryserver.bypassProxy = true
println " ========== START PREPARING RELEASING ========== "
version = version.replace("-SNAPSHOT", "")
println " release version is now ${version} "
println " ========== CLONE REPO ========== "
checkout scm
def sshFolderLocation = '/root/.ssh'
def sshBitbucketKeyTargetLocation = sshFolderLocation + '/id_rsa'
configFileProvider([configFile(fileId: 'bitbucket-ssh-key', targetLocation: sshBitbucketKeyTargetLocation)]) {
withCredentials([sshUserPrivateKey(credentialsId: gitCredentialsId, keyFileVariable: 'KEYFILEVARIABLE', passphraseVariable: '', usernameVariable: gitCredentialsId)]) {
sh "git config --global user.email \"jenkins@localhost\""
sh "git config --global user.name \"jenkins\""
sh "chmod 700 ${sshFolderLocation}"
sh "chmod 600 ${sshBitbucketKeyTargetLocation}"
def current_branch = sh(script: 'git rev-parse --abbrev-ref HEAD', returnStdout: true)
sh "git pull origin ${current_branch}"
println " ========== BUILD PACKAGE ========== "
configFileProvider([configFile(fileId: 'MAVEN_SETTINGS_FILE', variable: 'MAVEN_SETTINGS')]) {
sh "mvn -B -U org.codehaus.mojo:versions-maven-plugin:set -DnewVersion=$version"
sh "mvn -B -U clean install -Dmaven.test.skip=true"
}
println " ========== START PUBLISHING IN DEV SPACE ========== "
publishBinaryInDevSpace(version, groupId, mavenlocaldev, binaryName, artifactoryserver, buildInfo)
sh "git add ."
sh "git commit -m \"Release version $version\""
sh "git tag $version"
def newSnapshotVersion = upgradeVersionToSnapshot(version)
configFileProvider([configFile(fileId: 'MAVEN_SETTINGS_FILE', variable: 'MAVEN_SETTINGS')]) {
sh "mvn -B -U org.codehaus.mojo:versions-maven-plugin:set -DnewVersion=$newSnapshotVersion"
}
sh "git add ."
sh "git commit -m \"Back to Snapshot version\""
sh "git push -u origin ${current_branch}"
sh "git push --tag"
println " ========== START PROMOTING STAGE ========== "
promoteArtifact(artifactoryserver, buildInfo, mavenlocaldev, mavenlocalrelease)
}
}
Avec les méthodes :
def upgradeVersionToSnapshot(currentVersion) {
println currentVersion
String[] numbersInVersion = currentVersion.split("\\.")
String minorVersion = numbersInVersion[2]
int newMinorNumber = Integer.parseInt(minorVersion) + 1
return numbersInVersion[0] + "." + numbersInVersion[1] + "." + newMinorNumber + "-SNAPSHOT"
}
def publishBinaryInDevSpace(mavenVersion, groupId, artifactoryDevSpaceName, binaryName, artifactoryserver, buildInfo) {
def packageName = groupId.replace(".", "/")
def uploadSpec = """{
"files": [{
"pattern": "target/${binaryName}-${mavenVersion}.jar",
"target":"${artifactoryDevSpaceName}/${packageName}/${binaryName}/${mavenVersion}/${binaryName}-${mavenVersion}.jar"
},{
"pattern": "pom.xml",
"target":"${artifactoryDevSpaceName}/${packageName}/${binaryName}/${mavenVersion}/${binaryName}-${mavenVersion}.pom"
}]
}"""
buildInfo = artifactoryserver.upload uploadSpec
artifactoryserver.publishBuildInfo buildInfo
}
def promoteArtifact(artifactoryserver, buildInfo, artifactoryDevSpaceName, artifactoryReleaseSpaceName) {
def promotionConfig = [
// Mandatory parameters
'buildName' : buildInfo.name,
'buildNumber' : buildInfo.number,
'targetRepo' : artifactoryReleaseSpaceName,
// Optional parameters
'comment' : 'XXXxxxXXX is promoted',
'sourceRepo' : artifactoryDevSpaceName,
'status' : 'Released',
'includeDependencies': false,
'copy' : true,
// 'failFast' is true by default.
// Set it to false, if you don't want the promotion to abort upon receiving the first error.
'failFast' : true
]
// Promote build
artifactoryserver.promote promotionConfig
}
hello Antichesse,
Pour rappel :
mvn release:prepare -Darguments=\"-DskipTests\"
Apparemment la question est toujours ouverte. Se céder des actions au sein de la communauté génère-t-elle une plus-value ?
Trois clauses dans les statuts de votre Société par Actions Simplifiées sont susceptibles d’en limiter la cession : la clause d’inaliénabilité, la clause d’agrément, la clause de préemption.
Démarche :
- Assurez-vous des conditions de cession dans les statuts de la SAS
- Déterminez un prix. Bien que revendre une action à 1 € symbolique est possible, il est d’usage de fixer un prix sérieux correspondant aux enjeux de la transaction.
- Prévoyez les droits d’enregistrement dans les frais de votre cession.
- Rédigez votre acte de cession d'actions !
La cession d’actions est un contrat entre deux parties : le cessionnaire et le cédant. C’est une sorte de pré-contrat qui prend la forme d’une promesse unilatérale.
La promesse détermine les principales caractéristiques de la cession, dont son prix (déterminé ou non) et les modalités dans lesquelles la cession sera exécutée. Le bénéficiaire peut accepter cette proposition dans un délai qui a été fixé ou non.
La loi n’impose pas la présence d’un acte écrit pour la cession de titres au sein d’une SAS.
Mais si jamais :
Pour que l’acte de cession ait toute sa valeur, il doit comporter un certain nombre de mentions :
- l’identité du cessionnaire et du cédant
- le nombre d’actions cédées
- le prix des actions
- D’autres mentions peuvent être présentes, comme le délai de transmission des actions.
Le cédant a l’obligation de signifier l’acte de cession des actions à la société. Il doit la signifier par lettre recommandée avant accusé de réception (LRAR).
Pour que la signification soit valable, la lettre doit mentionner certaines informations : la date du transfert des actions, le compte du cédant à débiter, le nombre d’actions cédées ou encore l’identité du titulaire du compte du cessionnaire à créditer.
A réception de la lettre, la société inscrit les actions cédées sur le compte de l’acheteur et met à jour le registre des mouvements. Ainsi, le nom du cédant est supprimé de la liste des actionnaire, il perd donc la qualité et est substitué par l’acquéreur des actions.
Un délai d'un mois s’ouvre à partir de la signature de l’acte pour déclarer la cession des actions auprès du Service des Impôts des Entreprises (SIE).
Pour une cession qui n’a pas été constatée par écrit, le formulaire n°2759 doit être rempli.
lLa publication de la cession engendre l'acquittement des droits d’enregistrement qui s’élèvent à un montant de l’ordre de 0,1% du prix de cession des actions et qui doivent être payés dans le mois suivant la cession. Lorsque la cession est faite à un salarié ou à la famille du cédant, un abattement de 300 000 € s’applique lorsque ces derniers poursuivent l’activité de l’entreprise.
De plus, la présence d’une éventuelle taxe sur la plus-value engendre aussi des coûts. En effet, la taxe sur la plus-value devra également être déclarée.
Puisqu’il y a cession, de nouveaux titres ne sont pas créés. En revanche, cette transaction est également l’occasion de réévaluer la valeur des titres, ce qui aura pour effet d’augmenter le capital social.
Enfin, il faut déclarer la cession au Service des Impôts des Entreprises. La déclaration doit avoir lieu dans un délai d’un mois après la conclusion du contrat de cession
Création de nouvelles actions et donc, augmentation du capital :
Après que l’assemblée générale des actionnaires ait accepté l’augmentation de capital, un procès-verbal en est dressé et déposé au centre des impôts.
D’autres documents doivent quant à eux être déposés au centre de formalités des entreprises :
- Une copie du procès-verbal
- Une copie des statuts constitutifs mis à jour
- Une copie de l’attestation de parution dans un journal d’annonces légales
- Une copie du récépissé du dépôt du rapport du commissaire aux apports dans le cas où un apport en nature a été effectué.
Pour les nouveaux apports en numéraire, il appartient au représentant légal de la société de les déposer en banque, chez un notaire ou à la caisse des dépôts et consignations en attendant qu’il soit validé par l’ensemble des actionnaires.
Le nouvel actionnaire n’est pas obligé de libérer la totalité de son apport immédiatement à son entrée dans la société. Il doit libérer au moins le ¼ de ses apports au jour de l’augmentation de capital. Le solde peut être libéré jusqu'à 5 ans après que l’augmentation de capital ait été réalisée.
Coût :
L’entrée d’un actionnaire dans la SAS doit faire l’objet d’une modification des statuts.
En effet, il faut mentionner dans les statuts le nom du nouvel actionnaire et le nouveau montant du capital social.
Dans le cadre d’une modification des statuts, l’Etat prélève une taxe fixée à 375 euros minimum (voire 500 euros si le capital dépasse les 22 500 euros) correspondant aux frais d’enregistrement au service des impôts, qui s’ajoute au prix de l’annonce légale allant de 120 à 200 euros en moyenne.
Petite citation de l'article :
Eh non, malgré l'image qui illustre ce billet, la loi de Campbell n’a strictement rien à voir avec les soupes chères à Andy Warhol. Elle doit son nom au sociologue américain Donald T. Campbell et s’énonce de la manière suivante :
plus un indicateur quantitatif est utilisé pour la prise de décision, plus il a de chances de fausser et corrompre le processus qu’il a pour objet de surveiller
. [...] elle met l’accent sur le piège que peut représenter un dispositif de pilotage qui se limiterait à des indicateurs quantitatifs – et a fortiori à de simples mesures et comptages, comme c’est souvent le cas dans les tableaux de bord utilisés par les responsables de Service Client.Pour bien comprendre comment opère la loi de Campbell, il faut se référer à une autre la loi, celle de Goodhart (du nom de l’économiste britannique Charles Goodhart), qui veut que «
quand une mesure devient la cible elle cesse d’être une bonne mesure
». Pourquoi ? Parce qu’elle finit par biaiser insidieusement les décisions que vous prenez : au lieu de mesurer pour savoir où vous en êtes et agir pour améliorer le processus, votre priorité devient d'améliorer le résultat de la mesure et non plus le processus. Entre temps, vous avez perdu de vue votre véritable l'objectif. Dommage !
Vscode envoie des données à Microsoft. Désactivez la télémétrie avec l'option :
// Activez l'envoi de rapports d'incidents à Microsoft.
// Cette option nécessite un redémarrage pour être prise en compte.
"telemetry.enableCrashReporter": true,
// Activez l'envoi des données d'utilisation et d'erreurs à Microsoft.
"telemetry.enableTelemetry": true,
Lol
"Le mouvement des Gilets jaunes est-il d’une violence inédite ? Une contre-vérité pour Olivier Cahn, professeur de droit pénal à l’Université de Tours et chercheur associé au Centre de recherches sociologiques sur le droit et les institutions pénales (CESDIP) et spécialiste depuis 2010 des questions de violences policières : « il s’agit là de pure communication destinée à justifier un changement de doctrine ». Il évoque par exemple les mouvements « extrêmement violents, bien davantage que ceux que nous connaissons aujourd’hui » des années 1970, 1980 qui concernaient les marins-pêcheurs ou les sidérurgistes lorrains"
@ECHO off
SETLOCAL
:: script global variables
SET "CURRENT_LOCATION=%CD%"
SET "PATH_TO_FOLDER_TO_MOVE=%1"
SET "NAME_OF_FOLDER_TO_MOVE=%2"
SET "NEW_LOCATION_OF_FOLDER=%3"
ECHO ====================== SET INITIAL VARIABLES ======================
ECHO Param 1 : Path to current folder to move : %PATH_TO_FOLDER_TO_MOVE%
ECHO Param 2 : Name of the folder to move : %NAME_OF_FOLDER_TO_MOVE%
ECHO Param 3 : Path to new storage place : %NEW_LOCATION_OF_FOLDER%
ECHO Current location is %CURRENT_LOCATION%
ECHO.
ECHO ====================== START THE REPLACING WITH SYMLINK ======================
:: do something cool, then log it
CALL :replaceWithSymLink %PATH_TO_FOLDER_TO_MOVE% %NAME_OF_FOLDER_TO_MOVE% %NEW_LOCATION_OF_FOLDER%
ECHO.
ECHO ====================== END OF PROCESS ======================
ECHO Back to starting point !
CD %CURRENT_LOCATION%
EXIT 0
:: a function to move a folder to another place, and set a symbolic link instead
:: Param 1 : Path to current folder to move, end with /
:: Param 2 : Name of the folder to move
:: Param 3 : Path to new storage place, end with /
:replaceWithSymLink
ECHO.
CD %~1
ECHO CREATE DESTINATION FOLDER %~3%~2
mkdir %~3%~2
ECHO Move folder %~1%~2 to new destination %~3
ECHO "COPY %~1%~2 %~3%~2"
COPY %~1%~2 %~3%~2
ECHO "RMDIR /S /Q %~1%~2"
RMDIR /S /Q %~1%~2
ECHO Create symlink to TargetFile %~3%~2
ECHO mklink /D %~1%~2 %~3%~2
mklink /D %~1%~2 %~3%~2
EXIT /B 0
Pour l'appeler :
script.cmd "U:\workarea\" TESTENTRYPOINT "C:\TEST\"
Bonne vidéo.
On comprend la grosse arnaque.
En plus du contenu, qui est très intéressant, Samina Ali a une prestance et une voix incroyable.
A lire
Et comment les éviter
J'ai rencontré l'erreur :
Error: ENOSPC: System limit for number of file watchers reached
Et je l'ai résolu avec la commande :
echo fs.inotify.max_user_watches=524288 | sudo tee -a /etc/sysctl.conf && sudo sysctl -p
Quelques éléments :
Le gouvernement a annoncé ce mardi 18 juin les nouvelles conditions d'accès aux droits qui découleront de sa réforme de l'assurance chômage, voulue par Emmanuel Macron, et qui entreront en vigueur le 1er novembre 2019.
Donc application en novembre 2019
Des mesures qui visent à réduire de 150.000 à 250.000 le nombre de demandeurs d'emploi et à atteindre 3,4 milliards d'euros d'économies sur la période 2019-2021, selon les objectifs annoncés à Matignon par le Premier ministre, Edouard Philippe.
Oui, à Matignon, on fait des réductions qui augmentent les chiffres ! oui c'est possible !
Le Premier ministre a confirmé que les indépendants auraient désormais accès à l'assurance chômage. C'est également le cas pour les salariés démissionnaires, sous certaines conditions. Il faudra d'abord avoir travaillé dans la même entreprise au cours des cinq dernières années pour pouvoir bénéficier de l'indemnisation. Et ne seront concernés que les salariés ceux qui quittent leur emploi avec un projet professionnel ou qui veulent créer une entreprise. Le sérieux de ces projets sera soumis à l'examen de commissions paritaires interprofessionnelles régionales, pour arriver à un nombre de démissionnaires indemnisés de l'ordre de 20.000 à 30.000 personnes. Soit à peine 3% du million de démissionnaires en France en 2016, selon les chiffres de l'Unédic.
Les démissionnaires pourront donc prétendre à l'allocation chômage à la condition qu'ils aient passé 5 ans dans l'entreprise qu'ils quittent et dans l'optique de construire un projet entrepreneurial.
Si vous gagniez plus de 4.5000 euros brut dans votre emploi avant d'être au chômage, votre indemnisation diminuera à l'avenir de 30% à partir de sept mois sans emploi. Toutefois, vos allocations chômage ne pourront pas descendre sous un plancher de 2.261 euros net. Seuls les cadres de plus de 57 ans ne sont pas concernés par cette dégressivité des droits au-dessus d'un salaire plancher.
A noter donc ! Les indemnités sont dégressives !
Les contours précis de cette mesure ne sont pas encore connus mais son principe est le suivant : plus les salariés d'une entreprise sont nombreux à s'inscrire à Pôle emploi, plus l'entreprise se verra attribuer un malus. À l'inverse, plus une entreprise fera des efforts, plus ses cotisations vont baisser. Ces dernières, aujourd'hui fixées à 4,05%, varieront pour ces secteurs entre 3% et 5%.
Les entreprises qui créent du chômage seront pénalisées ! Je sais pas si c'est bien ou pas...
Je cite un passage de l'article :
Démission
Un salarié qui démissionne n'a pas, en principe, droit au chômage (sauf cas de « démissions légitimes »). Mais le président Macron a souhaité instaurer un droit aux allocations pour les salariés démissionnaires. Selon l'exécutif, cette mesure favoriserait la mobilité des salariés qui souhaiteraient changer d'activité ou créer leur entreprise, en leur assurant des revenus de remplacement le temps de leur changement d'activité.
La loi avenir professionnel (article 49) prévoit ainsi l'ouverture de l'indemnisation aux salariés démissionnaires, mais sous certaines conditions. Pour toucher les allocations, ces salariés doivent naturellement être aptes au travail et rechercher un emploi. Mais ils doivent aussi et surtout avoir un projet de reconversion professionnelle nécessitant le suivi d'une formation ou un projet de création ou de reprise d'une entreprise. Ce projet doit être suffisamment étayé et concret : son caractère réel et sérieux doit être attesté par la commission paritaire interprofessionnelle régionale (nouvel organe créé dans chaque région). Le demandeur d'emploi doit accomplir les démarches nécessaires pour mener à bien son projet, sous le contrôle de Pôle emploi.
Dernière condition : le salarié doit remplir des conditions d'activité antérieure.
Le nouveau dispositif doit encore être précisé par un décret d'application à paraître. Il devrait normalement entrer en vigueur au cours de l'été 2019.
Très bon article qui parle d’un vieux bouquin sur le management d’un projet informatique.
De plus en plus vrai et nécessaire.
Super article qui reprend comment binder un file input avec Aurelia.
ENFIN !!!
BON SANG JE LA CHERCHAIS CETTE FEATURE ! <3
class Person {
public name: string = "default"
public address: string = "default"
public age: number = 0;
public constructor(init?:Partial<Person>) {
Object.assign(this, init);
}
public printSomething() {
return 'toto is ' + this.name;
}
}
let persons = [
new Person(),
new Person({}),
new Person({name:"John"}),
new Person({address:"Earth"}),
new Person({age:20, address:"Earth", name:"John"})
];
console.log(new Person({name:"John"}).printSomething());
// => toto is John
console.log(new Person({name:"John"}).constructor.name);
// => person
WOW !
Attention avec le maturity model ! Il est complètement obsolète !
Il pose plusieurs problème dont les suivants :
- Il indique un état ou l'équipe n'a plus besoin de s'améliorer (ce qui n'est ni agile ni devops)
- Il met une "note" à l'équipe basée sur ses pratiques maximales donc on peut être "top" sans même pratiquer les éléments de la catégorie "noob"
- Il met en avant les pratiques alors que ce sont les principes qui comptent (manifesto > scrum). On peut "faire" agile et ne pas être agile pour un sous
Dans un environnement très "command & control", les gars vont s'empresser de pratiquer la cible pour se débarrasser de l'exercice et passer à autre chose.
Le bouquin accelerate met en avant le capacity model, qui permet de se comparer avec les meilleurs du marché (FANGMAN), qui vont évoluer en même temps que toi. En mettant l'accent sur les principes et en laissant libre des pratiques, on permet aux équipes de conserver deux choses en tête :
- Les meilleurs évoluent aussi et 2 ans d'amélioration dans l'équipe = 2 ans d'amélioration chez les meilleurs. L'écart ne fait que s'agrandir
- Si tu as le bon mindset, que tu résous les problèmes, que tu collabores avec ton dev, ton ba, ton client ou ton aps, tu as plus de chances de bien faire qu'en automatisant ta pipeline à production de caca.
Source :
https://devops-research.com/
https://www.forty8fiftylabs.com/atlassian/devops-assessment/
Si ça t'intéresse, on en parle et je te montre ce que nous avons, chez nous.
Excellente petite vidéo qui explique clairement les dérives de l’agilité dans les grandes entreprises
On connait tous :
ssh-keygen
Mais connaissez-vous :
ssh-copy-id nomdelamachine
@Antichesse : Twitter c'est d'un fatigant !
Si on me parle de digital, je vais comprendre qu'on me propose un usage tactile, parce que c'est très spécifique comme demande.
Bruce y dit n'importe quoi... T_____T
@Antichesse, je sais que tu jettes de temps en temps des coups d'oeil à cette river.
Comme j'avais quelques minutes disponibles ce matin, j'ai été faire un tour moi aussi.
Je rebondis sur ce lien, proposé par l'un des shaarlistes.
J'ai lu les tweets, qui peuvent se résumer en un seul :
"Education, HC and Child Care are all soaked in gov’t subsidies, loans, tax credits so the free market checks and balances are destroyed and price elasticity is no longer defined by supply and demand principles. Start there!"
En gros : Le gouvernement met des thunes dedans (santé, éducation...) donc les prix s'envolent. Apparemment c'est de l'économie de base... Woaw... C'est plutôt la réflexion qui est assez basique.
Le tweet initial n'a aucun relief, aucun contexte, aucune corrélation avec les hausses/baisses de salaire, aucune apparition de l'inflation... Quel intérêt de parler des prix si on ne parle pas du pouvoir d'achat.
Ça se trouve, le quidam moyen ne peut plus se payer son éducation, donc les écoles manquent d'élèves, et répartissent les coûts sur ceux qui peuvent venir, augmentant les prix... entrainant une diminution l'année suivante du nombre d'élève qui peuvent se payer une éducation...
Mon hypothèse n'est ni valide ni invalide avec le peu d'infos et de relief de ces chiffres.
On sait également que certaines décotes (en France) sont appliquées sur certains biens de consommation, comme l'"effet qualité" sur la technologie, qui permet de prétendre conserver du pouvoir d'achat (ie : les prix montent mais la "qualité"/techno est meilleure donc on dit que vous en avez plus pour votre argent, donc c'est pas plus cher ;D) (source : www.lefigaro.fr/economie/le-scan-eco/2018/10/11/29001-20181011ARTFIG00001-un-economiste-denonce-le-grand-mensonge-du-calcul-du-pouvoir-d-achat.php)
Donc, je suis allée consulter les sources :
1) L'article du tweet titre : "America Can’t Shake the Cost Disease - Rising wages have little to do with the huge increases in prices for health care and college"
Donc ce qu'il faut comprendre, c'est que l'augmentation des prix n'est pas corrélée avec l'augmentation des salaires : Les prix augmentent plus vite que les salaires.
Leur explication est simple :
"The theory of Baumol cost disease, developed in the 1960s by economist William Baumol, states that some things rise in price even as productivity goes up. When society gets better at making cars, electronics, food and clothing, wages go up. But as wages go up, industries that don’t find ways to use less labor to produce the same service -- for example, a string quartet -- rise in price as well. Tabarrok and Helland maintain that this explains why education and health care cost so much more than they used to. It takes about the same number of hours for doctors and nurses to treat a patient as it did two decades ago, and it takes about the same number of teacher hours to instruct an algebra class."
Ce qu'il faut comprendre : on arrive pas à automatiser les métiers comme l'éducation et la santé. Donc le prix devrait suivre l'inflation, là où le secteur des biens comme la nourriture, l'automobile... a massivement réussi son automatisation, et donc son explosion en productivité.
Ils continuent avec un topo sur les salaires :
"But is pay in other fields where doctors, teachers and nurses could work-- what economists call opportunity cost -- really increasing fast enough to account for the cost increases in health care and college education? Probably not. Wages for educated workers have gone up, but not nearly as much as service prices"
Réponse : Les salaires n'ont pas suivi la même hausse.
Ils terminent en expliquant que les hausses ne s'expliquent pas clairement en Amérique. Les prix ont décollé et :
"So although Baumol cost disease is one part of the story for increased health-care and higher-education prices, it doesn’t look like the whole story. Other explanations -- monopoly power, falling productivity and perverse incentives should all be considered. It’s likely that the U.S.’s service sector cost disease has multiple causes."
Bref, on sait pas trop si le "free market" est vraiment free... D'où le titre...
2) J'ai voulu accéder à la page qui fournit les données (Federal Reserve Bank of St. Louis) mais les sources ne sont pas facilement disponibles. Donc je n'ai pas pu aller plus loin.
Bref, ou veux-je en venir ?
Hé bien, quel message cherche à communiquer la personne qui relaie ce fil twitter ?
Le fil Twitter est vide de sens, les réponses n'ont rien à voir avec l'article, et les sources ne sont pas accessibles...
Je trouve même que l'article du shaarliste est de meilleure qualité que celui relayé.
@Antichesse : Twitter n'est pas un lieu où l'on s'éduque, c'est un lieu où l'on réagit. Je ne te conseille pas de te construire des opinions basées sur des tweets.
Pour recherches.
Petit passage qui plaira à Antichesse :
"Ce qui jette le plus de confusion dans l'esprit, c'est l'emploi qu'on fait de ces mots : démocratie, institutions démocratiques, gouvernement démocratique. Tant qu'on n'arrivera pas à les définir clairement et à s'entendre sur la définition, on vivra dans une confusion d'idées inextricables, au grand avantage des démagogues et des despotes. On dira qu'un pays gouverné par un prince absolu est une démocratie, parce qu'il gouvernera par des lois ou au milieu d'institutions qui sont favorables à la condition du peuple. Son gouvernement sera un gouvernement démocratique. Il formera une monarchie démocratique. Or les mots démocratie, monarchie, gouvernement démocratique ne peuvent vouloir dire qu'une chose, suivant le sens vrai des mots ; un gouvernement où le peuple prend une part plus ou moins grande au gouvernement.
Son sens est intimement lié à l'idée de la liberté politique. Donner l'épithète de gouvernement démocratique à un gouvernement où la liberté politique ne se trouve pas, c'est dire une absurdité palpable, suivant le sens naturel des mots. Ce qui a fait adopter ces expressions fausses, ou tout au moins obscures, c'est : 1° le désir de faire illusion à la foule, le mot de gouvernement démocratique ayant toujours un certains succès auprès d'elle ; 2° l'embarras réel où l'on se trouvait pour exprimer par un mot une idée aussi compliquée que celle-ci : un gouvernement absolu, où le peuple ne prend aucune part aux affaires, mais où les classes placées au-dessus de lui ne jouissent d'aucun privilège et où les lois sont faites de manière à favoriser autant que possible son bien-être." - Tocqueville[...] il est évident que, par démocratie, il entend le plus souvent un état de la société et non un mode de gouvernement. [...]. La démocratie, telle que la voit ce descendant d'une grande famille, c'est donc la disparition de l'aristocratie, le nivellement des conditions. Aussi envisage-t-il une « république libérale ou une république oppressive » et, plus encore, « la liberté démocratique ou la tyrannie démocratique ».
Le fragment que nous avons cité prouve seulement que Tocqueville hésitait à rompre entièrement avec l'usage traditionnel du mot démocratique, qui désigne un mode de gouvernement, et aussi qu'à ses yeux, l'adjectif démocratique appliqué au gouvernement implique la participation du peuple à la gestion des affaires publiques. Quand Tocqueville évoque le despotisme démocratique, il songe au despotisme qui peut surgir dans les nations démocratiques, il n'a pas l'intention d'attribuer la dignité de démocratique à un despotisme. Car, en tant que mode de gouvernement, le despotisme est le contraire de la démocratie.Concluons cette première analyse : la démocratie, selon Tocqueville, est d'abord et avant tout un fait social, l'égalité des conditions. Ce fait a pour expression normale, dans l'ordre politique, la souveraineté du peuple et la participation des citoyens aux affaires publiques. Dans l'ordre économique, bien qu'il n'implique pas la fin des inégalités de richesses, il suscite la protestation des pauvres contre la répartition des fortunes et il tend à favoriser normalement la réduction des inégalités. Mais la société démocratique n'est pas, pour autant, nécessairement libérale.
Dans le prolongement de Montesquieu, Tocqueville entend par liberté d'abord la sécurité de chacun sous la protection des lois. Etre libre, c'est n'être pas exposé à l'action arbitraire des puissants ou des autorités. Cette protection contre l'arbitraire doit s'étendre aux minorités et interdire au peuple même d'abuser de ses droits. A n'en pas douter, Tocqueville aurait approuvé la phrase fameuse de Montesquieu {L'esprit des lois, XI, 2) : « Enfin, comme dans les démocraties, le peuple paraît à peu près faire ce qu'il veut, on a mis la liberté dans ces sortes de gouvernements, et on a confondu le pouvoir du peuple avec la liberté du peuple ». Et encore (XI, 3) : « La liberté politique ne consiste point à faire ce que l'on veut ».
Tocqueville était, en son coeur, un aristocrate qui ne détestait pas l'égalité des conditions, mais qui avait horreur de l'esprit servile qui fait obéir. Il craignait que le souci exclusif du bien-être ne répandît parmi des hommes, isolés en leurs petites affaires, un tel esprit de bassesse.
Un fort bel article. Je le garde.
Ce tuto est plutôt clair. À voir si ça marche !
Super travail de la personne derrière le site.
J'aime bien inventer mes formats de rétro en fonction des nouveautés que je découvre, mais je n'ai jamais autant structuré mes formats !
5 étapes pour bien rétrospectiver :
- Ouvrir la rétrospective
- Recueillir les données
- Générer des idées
- Décider des actions
- Clore la rétrospective
Awesome/20 !
A regarder et lister les games intéressants
Notes à moi-même :
On peut faire tourner du RUST dans les navigateurs grace au Web assembly et à la machine virtuelle WASM.
TRUE !
Une vrai question à se poser.
L’image de la diminution du nombre de chevaux une fois devenus obsolètes est très parlante.
Excellent ! J'espère que ça lui plaira !
Elle est sympa la Youtubeuse, et ses explications sont plutôt claires. J'aime !
Bon du coup, est-ce que que ces singes sont hyper malins ou est-ce que conduire ne requière pas tant d’intelligence que ça ? ^__^
... j’en pense qu’il faut que tu envisages de changer de frigo...
Plus sérieusement, il y a deux possibilités :
1) En effet, Enedis est en mesure d’identifier quels appareils électriques sont branchés chez toi. Et transmet ces informations à ton fournisseur d’électricité (puisque Enedis ne fournit pas directement de l’électricité, elle l’achemine)
2) Quand tu as créé ton compte chez ton fournisseur d’électricité, tu as renseigné quelques informations comme - ton système de chauffage, ton type de plaques de cuisson, de four... et ton fournisseur, par étude statistique de ta consommation, en fonction de l’ampèrage, est en mesure de fournir à peu près des indicateurs sur la consommation de tes appareils électriques. Entre 18h30 et 20h, les pics de consommation sont liés à la cuisson... la consommation toute la journée, c’est le frigo... mais là je me demande quand même comment ils distinguent les petits appareils comme une box et un grille pain... ça serait lié à l’an fréquence d’utilisation.
En attendant et sans voir le code, tu ne peux trancher sur aucune des deux possibilités.
Une vision du micro-service back.
Je garde ça sous le coude, ça peut amener des débats.
Bon, même si je ne vois pas encore d'intérêt technique à cette façon de faire, je note l'article.
Fait attention avec cette solution, ton mot de passe circule en clair sur le réseau.
J'ai lu avec attention l'article.
J'ai du mal à sérieusement considérer une solution qui passerait par des iFrame...
Pour moi, ça n'est pas la bonne solution.
Encore une fois, la personne qui a écrit ça s'est concentré sur l'organisation des équipes autour de l'output. Je verrai plutôt à me demander comment gérer une équipe autour d'un travail.
Le problème avec les équipes autonomes sur des périmètres restreints, c'est le SILO. Donc, à mon sens, c'est un non-sens que de vouloir créer encore plus d'équipe en autarcie au sein d'une même application. Il faut une SEULE équipe autonome, qui se répartit le travail sur les différents morceaux.
1 tâche => 1 poste, at scale, ça fait : 1 segment => 1 équipe... Taylorisme, quand tu nous tiens...
Mais le silo a cet avantage certain qu'il nous évite d'avoir à communiquer et collaborer avec les autres. C'est très confortable quand on ne choisit pas ses collègues.
Je préfère la solution de Audrey Neveu consistant à inclure une lib dans une SPA, qui gère le menu.
Plein de formats
Identifier les motivations intrinsèques de chacun
Une rétrospective classique
Le gars est intéressant.
"Votre discours dénote de la part d’un banquier… Seriez-vous un banquier de gauche ?
Non, d’ailleurs je ne suis plus tout à fait un banquier mais un financier. J’ai vu la finance évoluer et j’ai vécu mon chemin de Damas en 2008 en voyant à quel point les banques avaient agi de manière irresponsable et mon regard critique s’est acéré. Parce que, soyons clairs, on ment aux citoyens."
Petite citation de l'article, qui n'apporte pas grand chose, mais que je trouve cocasse. Et j'aime le cocasse ^^
"Enfin, les tensions géopolitiques virent au rouge, voire à l’écarlate. “Exit la “mondialisation heureuse” (Minc), “la terre est plate” (Friedman) ou encore la “fin de l’histoire” (Fukuyama). C’est Hutchington (“Le choc des civilisations”) qui avait vu juste dès 1992”, relève Georges Nurdin. “Les Etats-Unis viennent de déclarer une guerre économique sans merci à la première puissance économique de demain : la Chine. La Turquie rebâtit l’Empire Ottoman, les Chinois et l’Asie centrale ouvrent la nouvelle Route de la soie, dernière étape sur l’autoroute avant l’Europe. La Russie s’arme, domine le cyberespace et affirme ses ambitions territoriales”, met-il en garde. “L’Europe catatonique, devenue le terrain d’expression et d’expansion du terrorisme international, sur fond de dislocation sociétale (voir ci-après) et d’atonie économique, est quant à elle toute occupée à discuter du “sexe des anges”, exactement comme l’était Constantinople en 1453, la veille de sa chute aux mains de Mehmed II”, dénonce l’expert."
D'ailleurs, la suite est très cynique aussi. J'aime le cynique :
"Crise sociétale
Au niveau sociétal, les inégalités n’ont cessé d’augmenter comme le démontre le rapport s'appuyant sur le travail d'une centaine de chercheurs de renom, dont Thomas Piketty. “Le coefficient de Gini (qui mesure les disparités dans une population, NDLR) s’aggrave au sein même des Nations. Et ce, même si au niveau mondial la “pauvreté” recule - au sens où il y a moins de gens qui vivent avec moins d’un dollar par jour et un peu plus qui vivent avec moins de deux dollars par jour”, ironise Georges Nurdin."
Une propal de micro-front. On découpe le front avec les micro services et on les insère dans un "portail".
Premier essai via web-components :
Les pours :
- Look and feel consistant
- Plusieurs composants sur la même page
- Indépendant au niveau déploiement entre les composants
Les contres :
- Pas une SPA (on recharge tout à chaque fois)
- Mauvaises performances (notamment duplication librairies)
- Dépendances entre SPA qui rentrent en conflit.
- Mécanisme de routing (basé sur les #) : A redéfinir totalement pour éviter les conflits : conflit entre apps
- Installation de la stack lourd (surtout en local pour du test)
Second essai via les React Fragments (avec Tailor pour résoudre les temps différents de réponse entre les différentes applications) :
Les pours :
- Possibilité de partager des composants réact entiers
- Système de routage centralisé
Les contres :
- Dépendances entre libs : toujours un pb
- Dépendances de Réact encore plus problématiques
Troisième essai avec Layout-as-lib (c'est Layout-as-lib qui est la librairie qui s'inscrit dans les applications). Layout-as-lib est masqué par défaut pour la version "legacy" et affichée en cas de besoin dans les différentes SPA.
Les pours :
- Plus facile d'utiliser une lib dans une SPA que l'inverse : Intégration en 1,5 jour
- Plus rapide
- Indépendance dans le développement et le déploiement : on release chaque SPA distinctement
- Plus de conflit de librairie
- On ne peut continuer à tester que son composant
Les contres :
- Pas de SPA du tout (mais c'est pas grave dans leur cas)
- Pas de possibilité d'aggregation de composants (mais c'est pas grave dans leur cas)
- Expérience utilisateur peut être incohérente : Une SPA n'a pas l'appel à la lib à la même version que l'autre SPA
- Des changements majeurs dans la navigation doivent être reportés partout
L'idée est hyper intéressante : On garde le concept de SPA, mais on rajoute des éléments de navigation entre SPA via une logique de lib.
J'aime bien ! Je valide à 100% l'idée ! C'est super génial !
!! Points d'attention !! :
- Bien réfléchir son usecase d'abord
- Attention au design (style - Css)
Trop drôle !
Je vais m'en servir en ice breaker !
"CRÉDITS D’IMPÔT (BOI-RPPM-RCM-20-20)
Le montant de ces crédits d’impôt –qui correspondent à une retenue à la source ou à un prélèvement effectué lors du versement des revenus– est inclus dans le montant des revenus déclarés auxquels ils se rapportent.
Crédit d’impôt égal au prélèvement forfaitaire obligatoire
Le crédit d’impôt indiqué ligne 2CK de la déclaration n° 2042 correspond au montant du prélèvement forfaitaire obligatoire (représentatif d’un acompte sur l’impôt dû) effectué sur les produits de placement à revenu fixe au taux de 24 % et sur lesrevenus distribués au taux de 21% , lors de leur versement.
Ce crédit d’impôt est afférent à des revenus soumis au barème de l’impôt sur le revenu (déclarés lignes 2TR, 2DC ou 2TS) ou, s’agissant des intérêts d’un montant inférieur à 2 000 €, imposables sur option au taux de 24% (déclarés ligne 2FA).
Si le montant du crédit d’impôt excède l’impôt dû, l’excédent est restitué."
Pour tous les dividendes ?
"Pour 100 euros de produits de placements à revenu fixe (2) et 100 euros de revenus d'actions de société ou de parts sociales, le fisc a donc prélevé 24 euros sur les intérêts, et 21 euros sur les dividendes. Sur la déclaration, ils sont renseignés à la ligne 2CK : « Crédit d'impôt égal au prélèvement forfaitaire non libératoire effectué en 2017 ». La case 2CK doit donc indiquer 45 euros. En cas de dispense d’acompte, la ligne reste vide. Pour rappel, même si la déclaration est pré-remplie, le contribuable reste responsable des informations renseignées : il convient donc de vérifier que tous vos placements ont été pris en compte."
Les personnes exemptée de prélèvement libératoire (21%) n'ont donc pas de crédit d'impôt ?
"Vous devez porter sur la ligne 2DC le montant des dividendes d’actions, des produits de parts sociales, des produits des
parts bénéficiaires ou de fondateur, quel que soit le pourcentage que vous détenez dans le capital de la société distributrice
répondant aux conditions d’éligibilité à l’abattement de 40%. "
"Certains revenus imposables , déclarés lignes 2DC, 2CH, 2TS, 2TR et 2FA ont déjà été soumis aux prélèvements sociaux
lors de leur inscription en compte ou de leur versement en 2016 ou au cours des années antérieures.
Il s’agit :
- des produits des bons ou contrats de capitalisation et placements de même nature (assurance-vie) exprimés en euros,
imposables du fait du dénouement du bon ou contrat en 2016 (ligne 2CH ou 2TR) ; - des répartitions de fonds communs de placement à risques ou des distributions de sociétés de capital-risque, devenues
imposables du fait de la perte du régime de faveur (lignes 2DC, 2TR et 2TS); - des produits de placement à revenu fixe imposés sur option au taux forfaitaire de 24% (ligne 2FA).
Ces revenus doivent être portés ligne 2CG, afin de ne pas être pris en compte pour le calcul de l’assiette imposable aux
prélèvements sociaux. Ils n’ouvrent pas droit à la déduction d’une fraction de la CSG du revenu imposable.
Ces revenus doivent également être déclarés lignes 2DC, 2CH, 2TS, 2TR ou 2FA."
"Le montant des revenus perçus en 2016 soumis au barème progressif de l’impôt sur le revenu, sur lesquels les
prélèvements sociaux ont été prélevés à la source en 2016 par l’établissement payeur doit être déclaré ligne 2BH..
Il s’agit des produits suivants:
– produits de placement à revenu fixe de source française ou étrangère :
• produits des comptes de dépôt, des comptes à terme, des livrets fiscalisés;
• revenus d’obligations et autres titres d’emprunt négociables;
• revenus et gains de cession de titres de créances négociables, produits de parts de fonds communs de créances ou de
fonds communs de titrisation, produits des bons de caisse émis par les établissements de crédit;
• produits de créances, dépôts, cautionnements et comptes-courants d’associés ;
• intérêts des plans épargne logement de plus de 12 ans ;
– produits des bons ou contrats de capitalisation et d’assurance-vie qui ne sont pas exprimés en euros (bons ou contrats en
unités de compte ou multisupports) souscrits auprès d’une entreprise d’assurance établie en France, pour lesquels le
contribuable n’a pas opté pour le prélèvement forfaitaire libératoire;
– revenus distribués de source française ou étrangère éligibles ou non à l’abattement de 40%.
Ces revenus doivent également être déclarés lignes 2DC, 2CH, 2TS ou 2TR.
Les revenusdéclarés ligne 2BH seront :
– exclus de la base de calcul des prélèvements sociaux;
– et retenus pour le calcul du montant de CSG déductible des revenus de 2016.
Ce montant de CSG déductible sera calculé (5,1% du montant déclaré ligne 2BH) et déduit automatiquement du revenu
global de 2016 soumis à l’impôt sur le revenu. Il sera ajouté au montant de CSG déductible prérempli sur la déclaration des
revenus de 2016."
"Les dividendes d'actions sont imposés au barème progressif et bénéficient d'un abattement. Mais dès leur versement, ils sont amputés à la source d'un acompte de 21 %."
"Exemple à réactualiser
Madame Martin reçoit en mars 2016, un dividende brut de 30.000 EUR.
Une retenue à la source des prélèvements sociaux (15,5% soit 4.650EUR) et un acompte forfaitaire obligatoire à valoir sur son impôt sur les revenus (21% soit 6.300EUR) sont opérés le 15 avril suivant au plus tard par l'établissement payeur. Elle perçoit donc effectivement un dividende net de 19.050EUR.
En 2017, sur sa déclaration des revenus 2016, Madame Martin devra déclarer le dividende brut de 30.000EUR pour :
- Calcul de l'impôt définitif sur le dividende.
Le barème progressif de l'impôt sera appliqué sur le dividende réduit d'un abattement de 40%. Madame Martin étant imposée dans la tranche à 30%, l'impôt sur le revenu sera donc de 5.400 EUR ((30.000 - 40%) x 30%). L'acompte forfaitaire obligatoire de 6.300EUR viendra s'imputer sur les 5.400EUR d'impôt dû. Le surplus d'acompte forfaitaire obligatoire (6.300 - 5.400EUR) est restituable à Madame Martin; - Calcul des prélèvements sociaux au taux global de 15,5% qui ont déjà été réglés par l'établissement payeur au moment du paiement du dividende à Madame Martin en 2016. 5,1% de la CSG sera déduit des revenus 2016 de Madame Martin.
Sur 30.000 EUR de dividendes bruts, Madame Martin se sera donc acquittée d'une taxable globale de 10.050EUR (soit 34% de taux d'imposition hors impact de la CSG déductible)."
"
Lorsque l'établissement payeur des revenus est établi en France (cf section III - "Paiement du prélèvement et obligations déclaratives" pour une définition de l'établissement payeur), les personnes physiques, appartenant à un foyer fiscal dont le revenu fiscal de référence figurant sur l'avis d'imposition établi au titre de l'avant dernière année précédant celle du paiement des dividendes ou des intérêts est inférieur à un certain montant, peuvent demander à être dispenser du paiement du prélèvement libératoire (par exemple : pour l'année 2015, les personnes dont le revenu fiscal de référence de 2013 est inférieur à un certain montant pourront demander à bénéficier d'une dispense de prélèvement).
Les seuils de revenu fiscal de référence en dessous desquels une dispense de prélèvement peut être demandée sont les suivants :
concernant les dividendes et revenus assimilés : 50k€ pour les contribuables célibataires, veufs ou divorcés et 75k€ pour les contribuables mariés ou pacsés ;
concernant les revenus de placement à taux fixe : 25k€ pour les contribuables célibataires, veufs ou divorcés et 50k€ pour les contribuables mariés ou pacsés.
"
"Les dividendes sont à déclarer case 2DC (ligne « Revenus des actions et parts) sans déduire le moindre abattement. Par défaut, ce dividende sera taxé à 30%, prélèvements sociaux inclus.
Pour opter pour l’imposition des dividendes au barème progressif, il faut cocher la case 2OP « Vous optez pour l’imposition au barème de l’ensemble de vos revenus de capitaux mobiliers et de vos gains de cession de valeurs mobilières ».
Comment déclarer les dividendes
Il faut renseigner le montant des dividendes sur l’imprimé 2042 de déclaration, dans la case 2DC du cadre « Revenus des valeurs et capitaux mobiliers » en page 3 du formulaire. En théorie, ces montants sont pré remplis par l’administration fiscale, sur la base des informations fournies par l’établissement payeur. Il est possible de vérifier qu’il s’agit des bons montants en consultant l’imprimé fiscal unique (IFU) envoyé par la banque ou l’intermédiaire financier en début d’année.
Attention, il ne faut pas déclarer le montant effectivement perçu (qui a sauf exception déjà fait l’objet de prélèvements par voie d’acompte), mais le montant versé par la société distributrice soumise à l’IS.
Il ne faut pas oublier :
– de cocher la case 2OP (option pour l’imposition au barème)
– de reporter le montant inscrit sur la ligne 2DC en case 2BH pour le calcul de la CSG déductible des revenus. Ce calcul est réalisé par le fisc déterminer la CSG déductible du revenu global dans la déclaration de revenus de l’année prochaine. L’inscription dans cette case permet aussi d’exclure les dividendes de la base de calcul des prélèvements sociaux, puisque ces derniers ont déjà fait l’objet d’une retenue à la source.
A savoir : Comme l’indique la brochure pratique 2018 de l’administration fiscale, « vous devez déclarer ces revenus pour leur montant brut perçu (déduction faite des seuls frais d’encaissement), avant déduction des prélèvements sociaux opérés à la source ».
Il est également nécessaire de vérifier et corriger le cas échéant le montant indiqué en case 2CK. Il correspond au prélèvement forfaitaire non libératoire de 12,8% (ou acompte d’impôt) déjà acquitté en 2018 et donne droit à un crédit d’impôt (« Crédit d’impôt égal au prélèvement forfaitaire non libératoire effectué en 2018 »).
Les frais et charges supportés pour la détention des titres, comme les droits de garde ou frais de garde des titres, doivent être indiqués en case 2CA. Ils seront déduits automatiquement. "
Très intéressant ! :)
Citation : "on s'inquiète aujourd'hui, beaucoup, de l'intelligence artificielle qui s'humanise, [...] mais on s'interroge moins [...] sur le fait que l'intelligence humaine se robotise"
ouuuuh
Je ne suis pas sûre que ça soit ce que je cherche...