Attention cependant à ne pas mettre la lib dans votre classpath en production car elle implique des failles de sécurité
Une lib à ajouter :
<dependency>
<groupId>com.sparkjava</groupId>
<artifactId>spark-debug-tools</artifactId>
<version>0.5</version>
</dependency>
et vous aurez la possibilité de voir ce genre de pages pour vos instances Sparkjava :
Pour @Philou, @Doudou, @Chlouchloutte et @Lenny
La France est En Marche vers le modèle de dictature chinois. C'est comme le décrit le premier commentaire, la stratégie du pieds dans la porte où la reconnaissance faciale n'est qu'optionnelle au début pour se connecter aux sites web de l'état (genre impôt.gouv.fr) mais sera obligatoire dans quelques années.
Pourquoi s'écrier dès maintenant me direz-vous ?
Simple, en permettant la reconnaissance faciale, l'état s'offre le temps et le loisir d'entraîner son modèle de reconnaissance faciale (aka IA). Une fois que ce dernier sera aussi efficace que l'IA chinoise, il va se passer dans les manifs françaises ce qu'il se passe actuellement à Hong Kong où l'IA est détournée pour traquer "les mauvais citoyens qui manifestent contre les intérêts du Parti".
Quand la majorité de mes compatriotes va-t-elle comprendre qu'en laissant faire, par fénéantise ou par dépit, elle laisse à l'état traitre le temps et les moyens de se forger les armes de Big Borther !? Relisez1984 bondieu ! L'avenir de nos enfants en dépend.
Pour @Chlouchloutte.
Un site fort intéressant.
Via je ne sais plus qui sur Libox.
Elle arrive tout doucement, la prochaine crise financière, que dis-je, le prochain cataclysme.
Le blog d'Human coders qui parle de tout avec plein de tutos
C'est ce que me font ressentir React Native, Scala, Kafka et un peu Hadoop mais surtout SpringBoot.
Je suis d'accord avec tout. Aussitôt que j'entends parler d'IceBreaker ou d'Ernegizer je me lève et je pars. Lorsque l'on me rattrape, j'explique que je reviendrai lorsque l'on commencera à travailler.
Si le client insiste, je lui propose de revoir son contrat avec un tarif à la hausse incluant un temps destiné à ces séances d'humiliation. Comme je fais d'emblée fois 5, ça le calme. Je vends du Craftsmanship, du DevSecOps et éventuellement de l'aide à l'organisation, mais pas des séances de colonies de vacances dans lesquelles ont m'oblige à partager des choses intimes avec des gens que je n'ai pas choisi voire que je n'apprécie pas.
Bref, nous avons le droit de dire non à ces techniques de manipulation psychologique particulièrement insidieuses que s'emploient à utiliser les grandes industries capitalistes.
Les secrets des dépendances en JS.
Je suis totalement pour la troisième, mais je veux dire vraiment pour, genre maintenant car il y a une foutue urgence !
Une vidéo du parti travailliste britannique (labor).
Après presque une année, ça commence enfin à prendre ! Je vous invite à réécouter les paroles de cette chanson de Jean-Jacques Goldman.
Les composants web en 30 min. Pas encore regardé mais coudifié !
Edit la conclusion est fausse. Si l'on veut que le module A soit présent au runtime comme au compile-time, il faudra l'ajouter explicitement.
Les <optional>true</optional>
ne sont utiles que si l'on se sert de frameworks comme Spring qui passent leur temps à faire de la détection de chargement au runtime.
Je recherchais un moyen de reproduire avec Maven le comportement du implementation
de Gradle, j'en parlais ici. Pour ceux qui ne connaîtraient pas l'idée est la suivante :
- Un module B tire en tant que dépendance un module A.
- Si un module C tire à son tour le module B en tant que dépendance, et puisque tout est transitif par défaut dans Maven, alors les classes de C pourront importer les classes de A
Ceci est dangereux car rien ne lie explicitement C à A et il devient impossible de supprimer B en tant que dépendance dans le pom de C.
La solution, déclarer le module A en tant que dépendance optionnelle de B de cette manière :
<dependency>
<groupId>com.a</groupId>
<artifactId>module-a</artifactId>
<version>1.0.0</version>
<optional>true</optional>
</dependency>
Si C tire B, alors les classes de A ne seront plus visiblent par C dans le classpath mais elles resteront présentent au runtime.
Mes amis.. à vos pom !
Un REX intéressant sur les microservices.
Un truc qui me vient en écoutant Deleuze... Il a le même genre de voix que celle de la voix off de Dungeon Keeper. Voilà, ça m'a fait rire.
lol les Chromebooks ont une date d'expiration, déjà qu'ils ne permettaient pas d'utiliser autre chose que les produits Google mais là c'est fun !
Donnons leur une note : Apple / 20
Via Sebsauvage
Comme je ne suis pas d'accord avec @Sebsauvage et @HowTommy je me permets de recopier ci-dessous leurs posts respectifs et apporter mon commentaire en-dessous.
Commençons par celui de @Sebsauvage :
TL;DR: Le racisme anti-blanc, ça n'existe pas
Et le post de @HowTommy, plus argumenté et à l'origine de ce thread :
Depuis la sortie médiatique de Lilian Thuram sur le racisme dans le football, interview issu d’un média italien, tout le monde lui est tombé dessus le taxant de «raciste anti-blanc».
Dans les heures et les jours qui ont suivi, de nombreux «spécialistes» sont intervenus sur les plateaux TV affirmant l’existence réelle et fondée d’un racisme anti-blanc.
Je vous passe les arguments merveilleux et objectifs d’un célèbre chroniqueur d’une chaîne cryptée, affirmant que si son fils avait échoué dans le foot c’est parce que ses coéquipiers noirs ne lui faisaient pas la passe, lui le seul blanc. Conclusion, racisme anti-blanc.
Rappelons tout de même que de très nombreux spécialistes, issus du monde universitaires, comme Fabrice Dhume, Eric Fassin ou Renni Edo Lodge, donc parfaitement légitimes pour traiter du sujet, contestent l’existence même du racisme anti-blanc.
On ne peut pas mettre sur un même pied d’égalité des siècles d’asservissement des populations africaines à quelques incivilités discriminantes constatées dans notre quotidien.
Le racisme dénoncé par les blancs prend uniquement la forme d’actes interpersonnels, c’est de l’entre soi et non une généralité basée sur la race ou la couleur de peau. C’est du niveau «il m’a insulté moi parce que je suis blanc ».
Seulement, dans la réalité, les blancs ne subissent pas, au quotidien des discriminations systémiques et systématiques. Non, les blancs ne sont pas discriminés lors d’entretiens d’embauche, lors d’une recherche d’appartement ou devant un videur de boite de nuit.
Dans son enquête, l’Institut d’Etudes Démographiques conclut que le soi-disant racisme anti-blanc ne produit pas d’inégalités sociales et ne se matérialise pas par une privation de droits ou d’accès à une ressource.
De même, dans l’histoire, jamais les blancs n’ont été discriminés par les institutions ou par l’Etat, contrairement aux personnes issus des minorités. Il y a eu une institutionnalisation du racisme.
On ne peut pas comparer le quotidien subjectif à une réglementation objective et officielle.
Enfin, on ne peut pas expliquer toute agression d’une personne non-blanche sur une personne blanche par la seule couleur de peau.
Lorsque le fameux chroniqueur du #CFC justifie l’existence d’un racisme anti-blanc en racontant l’histoire de son fils, il oublie de préciser aussi que son fils ne touchait pas la balle parce qu’il était … tout simplement mauvais en football, pas parce qu’il était blanc.
En psychologie, c’est la différence entre le locus interne – je suis responsable de mes actes – et le locus externe – tout m’arrive à cause des autres.
Je terminerai par une conclusion bien pêchu : si le blanc veut vraiment être victime de racisme anti-blanc, qu’il vienne vivre juste 1 semaine la vie d’un noir, et on en reparlera 😉 (et c’est un bon blanc breton qui le dit)
En quoi je ne suis pas d'accord ?
Sur le fait de réécrire le sens du mot "racisme" pour que son nouveau sens masque complètement une partie possible de son ancien sens, un peu comme de la novlangue.
Le sens originel du racisme c'est : "la hiérarchisation des races" dit autrement, c'est considérer que untel est supérieur à untel autre à cause de leurs couleurs de peau qui sont dissemblables ou encore les orientations sexuelle, religieuse et dans une certaines mesure politique (cf. période du Maccarthysme vs Communistes au USA). Dans cette aberration qu'est le racisme il existe plusieurs formes d'agressions à travers lesquelles ce vice s'exprime et dont font notamment partie les oppressions systémiques (j'en parlais à la fin de ce post) et les agressions locales et ponctuelles.
Effectivement, lorsqu'un racisme est institutionnalisé, alors son impact est plus important qu'une "simple" agression locale, mais cela ne signifie pas pour autant que l'agression locale ne peut avoir pour origine le rejet de l'autre sur l'unique critère de sa couleur de peau ; et c'est bien là tout mon problème avec le changement du sens du mot racisme dans le discours moderniste/progressiste/SJW. En effet, dès l'instant où l'on considère que ce n'est pas possible qu'un blanc soit victime d'une forme de racisme, c'est-à-dire du rejet de sa personne à cause de l'unique critère qu'est sa couleur, ceci puisque le racisme ne peut être que systémique, alors comment qualifions-nous l'agression ? Je propose d'appeler cela "un geste malheureux" et bien évidemment, comme cela est "moins grave" qu'un vrai crime raciste, alors il faut que la peine soit moins forte puisqu'il ne s'agit pas de vrai racisme.
Les mêmes causes ayant les mêmes effets, les mêmes violences produisant les mêmes souffrances, si en fonction de la couleur de peau de l'agresseur, nous nous autorisons à qualifier différemment un même acte, ayant la même motivation profonde, alors il n'y a plus de justice et encore moins d'équité ; déjà que notre Justice est en berne.
Je vous invite à vous balader à Châtelet, à Créteil, à Nanterre ou encore à Saint-Denis entre le samedi soir et le dimanche matin. J'invite tous ceux qui ne croient pas dans le fait qu'il puisse exister une volonté tangible de "casser du babtou", je vous invite à discuter avec les agresseurs à ces endroit-là et les entendre dire "que c'est pour ça qu'il a été agressé, parce qu'il est blanc et qu'il n'a rien à faire là [et le fameux c'est chez nous maintenant]". Il faut bien me comprendre, je ne remets pas en question les souffrances subit par ceux qui vivent le racisme dans leur quotidien via le système actuel de domination (ceux que les progressistes/SJW appellent les racisés), mais ce n'est pas parce que ces personnes souffrent que ceux qui ont souffert ponctuellement n'ont en réalité pas souffert. Ce sont deux événements qui vivent en parallèle et l'existence de l'un n'efface pas et n’amoindrit pas l'existence de l'autre au contraire elles se complètent c'est la composante des deux qui permet de se représenter toutes les facettes du racisme.
Je repense à la vidéo d'AnalGénocïde sur le sujet, dessinez votre diagramme de Venn, il y a le grand cercle du racisme et à l'intérieur de ce cercle il existe tous les types de racismes possibles, dont un qui tient une place prépondérante : l'oppression systémique et à côté de lui les agressions ponctuelles. Le racisme est un problème commun, pas une chose réservée aux noirs qui se pensent racisés et qui pensent les blancs comme étant des "non-racisés".
Aparté : avez-vous remarquerez que toute la terminologie progressiste/SJW est basée sur la définition de l'autre comme étant le non-soi ? #PaieTonRejet Il y a les "blancs" et tous ceux qui ne le sont pas, les "non-blancs". Il y a les "racisés" et tous ceux qui ne le sont pas, les "non-racisés". Comment est-il possible de faire société avec une telle ségrégation des personnes dans le vocabulaire qui nous permet de nous penser ?? Mais sérieusement ! Si je vous dis que NOUS SOMMES TOUS DES HUMAINS !
Le racisme est une épidémie qui se traite collectivement et où il ne faut abandonner personne.
Maintenant, je vais quand même attaquer ce que je considère comme des faiblesses dans le concept d'oppression systémique en ce sens où je pense que ce concept nous empêche d'identifier l'origine de certains problèmes afin de les résoudre une fois pour toutes.
Si l'on pense les oppressions uniquement sous l'angle du système, alors les individus qui se comportent mal ne sont plus que des gouttes d'eau façonnées par les rouages du système environnant et oppresseur. Quelque part, ces individus ne sont plus responsables de leurs méfaits ; et je n'aime pas cette idée car tant au niveau des agresseurs que des agressés, il n'est plus possible d'identifier l'origine, la cause de ces problèmes puisque tout devient la résultante d'une multitude d'interactions irreprésentables dont la cause commune est le système.
Prenons un exemple, dans une institution aux actions racistes, ce sont ses dirigeants qui posent problèmes car ceux sont eux qui décident et la régissent, en conséquence il est possible de les identifier, de les retrouver, de les juger, de les punir et d'en changer. Dans la rue, si ce sont des citoyens qui posent problème, alors de la même façon il est possible de les identifier, de les retrouver, de les juger et de les punir également.
Mais allons un peu plus loin avec un exemple certes fictif mais plausible au regard du contexte Israélo-Palestinien qui influence les rapports entre les individus dans toute l'Europe. Si en France, trois jeunes de confession musulmane - appelons-les Abdel, Kader et Saïd - agressent Samuel parce qu'il est Juif, ce n'est pas du racisme parce que Abdel, Kader et Saïd ne constituent pas un système vous comprenez ; c'est juste une agression ponctuelle et "banale" donc pas besoin de juger cela comme crime de haine à caractère racial.
Mais cela engendre d'autres problèmes, en effet si le racisme n'est que systémique, alors un individu est-il responsable de ses propres agressions même si ces dernières sont racistes ? Je reformule pour me faire comprendre, un policier qui "ne fait qu’obéir aux ordres" est-il responsable ou s'agit-il de son chef dans un système répressif et raciste ? Qui et comment juger puisqu'en fin de compte toute l'institution est comme cela ? Alors je repense immédiatement à ce qu'écrivait Spinoza sur le fait que nous soyons le produit des éléments constitutifs de la société, mais que la société a besoin que nous soyons responsables pour se dédouaner elle-même des erreurs qu'elle génère ; cela rejoint aussi ce que décrit Frédéric Lordon : "les individus se comportent toujours comme les contraintes dans lesquelles ils sont posés les poussent à se comporter". Cependant une question se pose : qu'est-ce que cette "société", qui est cette "main invisible" qui a besoin que nous soyons responsables mais qui serait la cause de tous nos maux ?
DISCLAIMER : je ne crois pas en "la main invisible du marché", je ne crois pas non plus en "la main invisible du système".
Je pense qu'il existe des gens tordus, ayant besoin de faire souffrir les autres pour se sentir mieux, et je pense que ces gens-là ne sont pas tout puissant. Aussi, en arrêtant de voir en un noir ou un blanc "une sorte d'autre qui n'est pas nous-même", alors nous serons enfin prêts à nous allier pour tuer la source du racisme.
Je rappelle qu'en France, depuis la (première) révolution de 1789, tous les hommes naissent libres et égaux en droits et que la France considère qu'il n'existe qu'une et une seule race : la race humaine. Se focaliser sur la couleur, c'est remettre de la race au milieu de notre espèce, c'est remettre des différences là où il n'y a pas, c'est considérer qu'une petite quantité différente de mélanine change tout, y compris notre personnalité profonde : et cette idée est juste hyper-raciste.
Car soit nous considérons que la couleur de peau n'est le témoin d'aucune différence dès la naissance, et alors blancs comme noirs (comme n'importe quoi d'autre) peuvent être racistes, soit nous considérons que la couleur de peau témoigne dès la naissance d'une différence profonde et dans ce cas, c'est qu'il existe effectivement "des races" et accepter cette idée fait de nous des racistes de facto. Pour être claire, la seule façon de ne pas être raciste c'est de considérer que quelque soit la couleur de peau d'un individu, celui-ci peut être raciste : cela revient à traiter les gens de la même manière quelque soit leur origine et sans présupposition ce n'est pourtant pas dur à comprendre.
Je précise, je ne remets pas en question le fait qu'être blanc puisse apporter des avantages dans la société civile française de 2019, même si ce n'est pas du tout ce que je constate dans mon cercle sociale et professionnel de personnes éduquées et aisées. A cet instant le problème du racisme peut-il trouver ses origines dans le degré de richesse additionné (mais dans une moindre mesure) à un certain degré d'éducation ? (ndr. je dis "moindre mesure" puisque des scientifiques très éduqués Allemands avaient parfaitement cautionnés l'holocauste, donc quelque part c'est que l'éducation ne protège pas du racisme même si je crois qu'elle contribue à en freiner la propagation ou la contamination).
D'autre part, si prétendre qu’aujourd’hui le racisme anti-blancs ne peut exister, si effectivement c'est une chimère, alors que dire de l'exemple du leader politique Sud-Africain Julius Malema ? Que dire de son tristement célèbre appel au génocide : "à chaque blanc, son africain !" Mais comme il le prétend lui-même, ce n'est pas du racisme, ses discours sont mus par une volonté démocratique et républicaine de réappropriation des terres volées par des blancs ; blancs qui sont tous morts depuis au moins un siècle. #Novlangue
Et puis j'ai aussi une question, lorsque l'on parle "des blancs" à quoi faisons-nous référence en réalité ? Aux blancs caucasiens (Grande Bretagne/ France) ? Aux blancs latins (Espagne / Italie) ? Aux blancs ariens (Germains & Saxons) ? Aux blancs slaves (Russes) ? Aux blancs asiatiques (Japonais) ? Lesquels sont les oppresseurs ? Parce que ces discours remplis d'amalgames me laissent perplexe... #TousLesMêmes #PlusBlancQueBlancAvecAriel
En vérité, des tarés il en existe partout ; et notre couleur de peau n'est ni une protection contre le racisme (les noirs peuvent aussi commettre des actes racistes), ni une obligation à être racistes (les blancs ne "sont" pas obligatoirement racistes), seuls les fous croient que notre personnalité, notre mode de pensée et nos aptitudes sont forgées uniquement à partir de la couleur de peau et que tout n'est que manichéen.
Enfin, et je tiens à le préciser car c'est de la plus haute importance : les gens ne sont pas racistes, quelqu'un n'est pas raciste. Je veux dire par là qu'il n'y a rien d'inscrit dans notre ADN et qui fasse que quelqu'un soit intrinsèquement raciste. Non, car les gens peuvent changer, la personne que j'étais il y a quinze ans n'est pas celle que je suis aujourd'hui et pour vous c'est pareil. Les gens commettent des actes racistes, ils ont des pensées racistes, mais ils ne sont pas racistes, ils sont malades et peuvent être soignés.
Quand mes compatriotes vont-ils comprendre qu'à force de créer des boîtes et à tout prix tenter de s'y classer, ils finiront par ne plus se percevoir comme une seule et même espèce et alors la dernière chose que nous partagerons devant l'éternel sera le drame absolu de notre solitude couplé à celui de notre bêtise. #TousUnisDansLaConnerie
P.S : et comment espérer développer sa pensée ou répondre à ce genre de posts avec un commentaire ridicule de 240 caractères sur Twitter ?
Vincent Lapierre a réussi son pari de lancer une chaîne youtube de journalisme d'investigation, qui soit rentable, sur des sujets considérés comme non-rentables et donc ignorés par les grands médias.
Ici, le profit de la création des carrières au détriment de l'environnement afin de permettre à des "grands groupes" de récupérer des matériaux d'une part et permettre l'enfouissement des ordures d'autre part. #Merveilleux
N.B : concernant Vincent Lapierre, je trouvais étrange que le jeune homme ait débuté chez Soral (qui n'a pas du tout sa place dans mon cœur autant vous l'avouer), puis j'ai compris que VL était employé par Égalité & Réconciliation pour effectuer des reportages et documentaires et que c'était sûrement le seul moyen que VL avait trouvé pour se faire connaître. Cela lui permit de dénoncer ce qui lui tenait à cœur contre un ou deux reportages militant en contre-partie et une rémunération (ndr. je considère que ça reste de la collaboration soyons clairs).
Il n'y a qu'à constater le changement de ligne politique de VL concernant le traitement qu'il fait de François Asselineau (en positif) et d'Alain Soral (en négatif) aujourd'hui par rapport à ce qu'il en faisait il y a un peu moins de deux ans lorsqu'il était encore payé par Égalité & Réconciliation.
Si tout ceci était son projet depuis le début, alors VL est un homme intelligent, tactique et je n'aimerais pas me retrouver face à lui dans une confrontation. Pour le reste, bravo pour ses reportages.