Edit la conclusion est fausse. Si l'on veut que le module A soit présent au runtime comme au compile-time, il faudra l'ajouter explicitement.
Les <optional>true</optional>
ne sont utiles que si l'on se sert de frameworks comme Spring qui passent leur temps à faire de la détection de chargement au runtime.
Je recherchais un moyen de reproduire avec Maven le comportement du implementation
de Gradle, j'en parlais ici. Pour ceux qui ne connaîtraient pas l'idée est la suivante :
- Un module B tire en tant que dépendance un module A.
- Si un module C tire à son tour le module B en tant que dépendance, et puisque tout est transitif par défaut dans Maven, alors les classes de C pourront importer les classes de A
Ceci est dangereux car rien ne lie explicitement C à A et il devient impossible de supprimer B en tant que dépendance dans le pom de C.
La solution, déclarer le module A en tant que dépendance optionnelle de B de cette manière :
<dependency>
<groupId>com.a</groupId>
<artifactId>module-a</artifactId>
<version>1.0.0</version>
<optional>true</optional>
</dependency>
Si C tire B, alors les classes de A ne seront plus visiblent par C dans le classpath mais elles resteront présentent au runtime.
Mes amis.. à vos pom !
Un REX intéressant sur les microservices.
Un truc qui me vient en écoutant Deleuze... Il a le même genre de voix que celle de la voix off de Dungeon Keeper. Voilà, ça m'a fait rire.
lol les Chromebooks ont une date d'expiration, déjà qu'ils ne permettaient pas d'utiliser autre chose que les produits Google mais là c'est fun !
Donnons leur une note : Apple / 20
Via Sebsauvage
Comme je ne suis pas d'accord avec @Sebsauvage et @HowTommy je me permets de recopier ci-dessous leurs posts respectifs et apporter mon commentaire en-dessous.
Commençons par celui de @Sebsauvage :
TL;DR: Le racisme anti-blanc, ça n'existe pas
Et le post de @HowTommy, plus argumenté et à l'origine de ce thread :
Depuis la sortie médiatique de Lilian Thuram sur le racisme dans le football, interview issu d’un média italien, tout le monde lui est tombé dessus le taxant de «raciste anti-blanc».
Dans les heures et les jours qui ont suivi, de nombreux «spécialistes» sont intervenus sur les plateaux TV affirmant l’existence réelle et fondée d’un racisme anti-blanc.
Je vous passe les arguments merveilleux et objectifs d’un célèbre chroniqueur d’une chaîne cryptée, affirmant que si son fils avait échoué dans le foot c’est parce que ses coéquipiers noirs ne lui faisaient pas la passe, lui le seul blanc. Conclusion, racisme anti-blanc.
Rappelons tout de même que de très nombreux spécialistes, issus du monde universitaires, comme Fabrice Dhume, Eric Fassin ou Renni Edo Lodge, donc parfaitement légitimes pour traiter du sujet, contestent l’existence même du racisme anti-blanc.
On ne peut pas mettre sur un même pied d’égalité des siècles d’asservissement des populations africaines à quelques incivilités discriminantes constatées dans notre quotidien.
Le racisme dénoncé par les blancs prend uniquement la forme d’actes interpersonnels, c’est de l’entre soi et non une généralité basée sur la race ou la couleur de peau. C’est du niveau «il m’a insulté moi parce que je suis blanc ».
Seulement, dans la réalité, les blancs ne subissent pas, au quotidien des discriminations systémiques et systématiques. Non, les blancs ne sont pas discriminés lors d’entretiens d’embauche, lors d’une recherche d’appartement ou devant un videur de boite de nuit.
Dans son enquête, l’Institut d’Etudes Démographiques conclut que le soi-disant racisme anti-blanc ne produit pas d’inégalités sociales et ne se matérialise pas par une privation de droits ou d’accès à une ressource.
De même, dans l’histoire, jamais les blancs n’ont été discriminés par les institutions ou par l’Etat, contrairement aux personnes issus des minorités. Il y a eu une institutionnalisation du racisme.
On ne peut pas comparer le quotidien subjectif à une réglementation objective et officielle.
Enfin, on ne peut pas expliquer toute agression d’une personne non-blanche sur une personne blanche par la seule couleur de peau.
Lorsque le fameux chroniqueur du #CFC justifie l’existence d’un racisme anti-blanc en racontant l’histoire de son fils, il oublie de préciser aussi que son fils ne touchait pas la balle parce qu’il était … tout simplement mauvais en football, pas parce qu’il était blanc.
En psychologie, c’est la différence entre le locus interne – je suis responsable de mes actes – et le locus externe – tout m’arrive à cause des autres.
Je terminerai par une conclusion bien pêchu : si le blanc veut vraiment être victime de racisme anti-blanc, qu’il vienne vivre juste 1 semaine la vie d’un noir, et on en reparlera 😉 (et c’est un bon blanc breton qui le dit)
En quoi je ne suis pas d'accord ?
Sur le fait de réécrire le sens du mot "racisme" pour que son nouveau sens masque complètement une partie possible de son ancien sens, un peu comme de la novlangue.
Le sens originel du racisme c'est : "la hiérarchisation des races" dit autrement, c'est considérer que untel est supérieur à untel autre à cause de leurs couleurs de peau qui sont dissemblables ou encore les orientations sexuelle, religieuse et dans une certaines mesure politique (cf. période du Maccarthysme vs Communistes au USA). Dans cette aberration qu'est le racisme il existe plusieurs formes d'agressions à travers lesquelles ce vice s'exprime et dont font notamment partie les oppressions systémiques (j'en parlais à la fin de ce post) et les agressions locales et ponctuelles.
Effectivement, lorsqu'un racisme est institutionnalisé, alors son impact est plus important qu'une "simple" agression locale, mais cela ne signifie pas pour autant que l'agression locale ne peut avoir pour origine le rejet de l'autre sur l'unique critère de sa couleur de peau ; et c'est bien là tout mon problème avec le changement du sens du mot racisme dans le discours moderniste/progressiste/SJW. En effet, dès l'instant où l'on considère que ce n'est pas possible qu'un blanc soit victime d'une forme de racisme, c'est-à-dire du rejet de sa personne à cause de l'unique critère qu'est sa couleur, ceci puisque le racisme ne peut être que systémique, alors comment qualifions-nous l'agression ? Je propose d'appeler cela "un geste malheureux" et bien évidemment, comme cela est "moins grave" qu'un vrai crime raciste, alors il faut que la peine soit moins forte puisqu'il ne s'agit pas de vrai racisme.
Les mêmes causes ayant les mêmes effets, les mêmes violences produisant les mêmes souffrances, si en fonction de la couleur de peau de l'agresseur, nous nous autorisons à qualifier différemment un même acte, ayant la même motivation profonde, alors il n'y a plus de justice et encore moins d'équité ; déjà que notre Justice est en berne.
Je vous invite à vous balader à Châtelet, à Créteil, à Nanterre ou encore à Saint-Denis entre le samedi soir et le dimanche matin. J'invite tous ceux qui ne croient pas dans le fait qu'il puisse exister une volonté tangible de "casser du babtou", je vous invite à discuter avec les agresseurs à ces endroit-là et les entendre dire "que c'est pour ça qu'il a été agressé, parce qu'il est blanc et qu'il n'a rien à faire là [et le fameux c'est chez nous maintenant]". Il faut bien me comprendre, je ne remets pas en question les souffrances subit par ceux qui vivent le racisme dans leur quotidien via le système actuel de domination (ceux que les progressistes/SJW appellent les racisés), mais ce n'est pas parce que ces personnes souffrent que ceux qui ont souffert ponctuellement n'ont en réalité pas souffert. Ce sont deux événements qui vivent en parallèle et l'existence de l'un n'efface pas et n’amoindrit pas l'existence de l'autre au contraire elles se complètent c'est la composante des deux qui permet de se représenter toutes les facettes du racisme.
Je repense à la vidéo d'AnalGénocïde sur le sujet, dessinez votre diagramme de Venn, il y a le grand cercle du racisme et à l'intérieur de ce cercle il existe tous les types de racismes possibles, dont un qui tient une place prépondérante : l'oppression systémique et à côté de lui les agressions ponctuelles. Le racisme est un problème commun, pas une chose réservée aux noirs qui se pensent racisés et qui pensent les blancs comme étant des "non-racisés".
Aparté : avez-vous remarquerez que toute la terminologie progressiste/SJW est basée sur la définition de l'autre comme étant le non-soi ? #PaieTonRejet Il y a les "blancs" et tous ceux qui ne le sont pas, les "non-blancs". Il y a les "racisés" et tous ceux qui ne le sont pas, les "non-racisés". Comment est-il possible de faire société avec une telle ségrégation des personnes dans le vocabulaire qui nous permet de nous penser ?? Mais sérieusement ! Si je vous dis que NOUS SOMMES TOUS DES HUMAINS !
Le racisme est une épidémie qui se traite collectivement et où il ne faut abandonner personne.
Maintenant, je vais quand même attaquer ce que je considère comme des faiblesses dans le concept d'oppression systémique en ce sens où je pense que ce concept nous empêche d'identifier l'origine de certains problèmes afin de les résoudre une fois pour toutes.
Si l'on pense les oppressions uniquement sous l'angle du système, alors les individus qui se comportent mal ne sont plus que des gouttes d'eau façonnées par les rouages du système environnant et oppresseur. Quelque part, ces individus ne sont plus responsables de leurs méfaits ; et je n'aime pas cette idée car tant au niveau des agresseurs que des agressés, il n'est plus possible d'identifier l'origine, la cause de ces problèmes puisque tout devient la résultante d'une multitude d'interactions irreprésentables dont la cause commune est le système.
Prenons un exemple, dans une institution aux actions racistes, ce sont ses dirigeants qui posent problèmes car ceux sont eux qui décident et la régissent, en conséquence il est possible de les identifier, de les retrouver, de les juger, de les punir et d'en changer. Dans la rue, si ce sont des citoyens qui posent problème, alors de la même façon il est possible de les identifier, de les retrouver, de les juger et de les punir également.
Mais allons un peu plus loin avec un exemple certes fictif mais plausible au regard du contexte Israélo-Palestinien qui influence les rapports entre les individus dans toute l'Europe. Si en France, trois jeunes de confession musulmane - appelons-les Abdel, Kader et Saïd - agressent Samuel parce qu'il est Juif, ce n'est pas du racisme parce que Abdel, Kader et Saïd ne constituent pas un système vous comprenez ; c'est juste une agression ponctuelle et "banale" donc pas besoin de juger cela comme crime de haine à caractère racial.
Mais cela engendre d'autres problèmes, en effet si le racisme n'est que systémique, alors un individu est-il responsable de ses propres agressions même si ces dernières sont racistes ? Je reformule pour me faire comprendre, un policier qui "ne fait qu’obéir aux ordres" est-il responsable ou s'agit-il de son chef dans un système répressif et raciste ? Qui et comment juger puisqu'en fin de compte toute l'institution est comme cela ? Alors je repense immédiatement à ce qu'écrivait Spinoza sur le fait que nous soyons le produit des éléments constitutifs de la société, mais que la société a besoin que nous soyons responsables pour se dédouaner elle-même des erreurs qu'elle génère ; cela rejoint aussi ce que décrit Frédéric Lordon : "les individus se comportent toujours comme les contraintes dans lesquelles ils sont posés les poussent à se comporter". Cependant une question se pose : qu'est-ce que cette "société", qui est cette "main invisible" qui a besoin que nous soyons responsables mais qui serait la cause de tous nos maux ?
DISCLAIMER : je ne crois pas en "la main invisible du marché", je ne crois pas non plus en "la main invisible du système".
Je pense qu'il existe des gens tordus, ayant besoin de faire souffrir les autres pour se sentir mieux, et je pense que ces gens-là ne sont pas tout puissant. Aussi, en arrêtant de voir en un noir ou un blanc "une sorte d'autre qui n'est pas nous-même", alors nous serons enfin prêts à nous allier pour tuer la source du racisme.
Je rappelle qu'en France, depuis la (première) révolution de 1789, tous les hommes naissent libres et égaux en droits et que la France considère qu'il n'existe qu'une et une seule race : la race humaine. Se focaliser sur la couleur, c'est remettre de la race au milieu de notre espèce, c'est remettre des différences là où il n'y a pas, c'est considérer qu'une petite quantité différente de mélanine change tout, y compris notre personnalité profonde : et cette idée est juste hyper-raciste.
Car soit nous considérons que la couleur de peau n'est le témoin d'aucune différence dès la naissance, et alors blancs comme noirs (comme n'importe quoi d'autre) peuvent être racistes, soit nous considérons que la couleur de peau témoigne dès la naissance d'une différence profonde et dans ce cas, c'est qu'il existe effectivement "des races" et accepter cette idée fait de nous des racistes de facto. Pour être claire, la seule façon de ne pas être raciste c'est de considérer que quelque soit la couleur de peau d'un individu, celui-ci peut être raciste : cela revient à traiter les gens de la même manière quelque soit leur origine et sans présupposition ce n'est pourtant pas dur à comprendre.
Je précise, je ne remets pas en question le fait qu'être blanc puisse apporter des avantages dans la société civile française de 2019, même si ce n'est pas du tout ce que je constate dans mon cercle sociale et professionnel de personnes éduquées et aisées. A cet instant le problème du racisme peut-il trouver ses origines dans le degré de richesse additionné (mais dans une moindre mesure) à un certain degré d'éducation ? (ndr. je dis "moindre mesure" puisque des scientifiques très éduqués Allemands avaient parfaitement cautionnés l'holocauste, donc quelque part c'est que l'éducation ne protège pas du racisme même si je crois qu'elle contribue à en freiner la propagation ou la contamination).
D'autre part, si prétendre qu’aujourd’hui le racisme anti-blancs ne peut exister, si effectivement c'est une chimère, alors que dire de l'exemple du leader politique Sud-Africain Julius Malema ? Que dire de son tristement célèbre appel au génocide : "à chaque blanc, son africain !" Mais comme il le prétend lui-même, ce n'est pas du racisme, ses discours sont mus par une volonté démocratique et républicaine de réappropriation des terres volées par des blancs ; blancs qui sont tous morts depuis au moins un siècle. #Novlangue
Et puis j'ai aussi une question, lorsque l'on parle "des blancs" à quoi faisons-nous référence en réalité ? Aux blancs caucasiens (Grande Bretagne/ France) ? Aux blancs latins (Espagne / Italie) ? Aux blancs ariens (Germains & Saxons) ? Aux blancs slaves (Russes) ? Aux blancs asiatiques (Japonais) ? Lesquels sont les oppresseurs ? Parce que ces discours remplis d'amalgames me laissent perplexe... #TousLesMêmes #PlusBlancQueBlancAvecAriel
En vérité, des tarés il en existe partout ; et notre couleur de peau n'est ni une protection contre le racisme (les noirs peuvent aussi commettre des actes racistes), ni une obligation à être racistes (les blancs ne "sont" pas obligatoirement racistes), seuls les fous croient que notre personnalité, notre mode de pensée et nos aptitudes sont forgées uniquement à partir de la couleur de peau et que tout n'est que manichéen.
Enfin, et je tiens à le préciser car c'est de la plus haute importance : les gens ne sont pas racistes, quelqu'un n'est pas raciste. Je veux dire par là qu'il n'y a rien d'inscrit dans notre ADN et qui fasse que quelqu'un soit intrinsèquement raciste. Non, car les gens peuvent changer, la personne que j'étais il y a quinze ans n'est pas celle que je suis aujourd'hui et pour vous c'est pareil. Les gens commettent des actes racistes, ils ont des pensées racistes, mais ils ne sont pas racistes, ils sont malades et peuvent être soignés.
Quand mes compatriotes vont-ils comprendre qu'à force de créer des boîtes et à tout prix tenter de s'y classer, ils finiront par ne plus se percevoir comme une seule et même espèce et alors la dernière chose que nous partagerons devant l'éternel sera le drame absolu de notre solitude couplé à celui de notre bêtise. #TousUnisDansLaConnerie
P.S : et comment espérer développer sa pensée ou répondre à ce genre de posts avec un commentaire ridicule de 240 caractères sur Twitter ?
Vincent Lapierre a réussi son pari de lancer une chaîne youtube de journalisme d'investigation, qui soit rentable, sur des sujets considérés comme non-rentables et donc ignorés par les grands médias.
Ici, le profit de la création des carrières au détriment de l'environnement afin de permettre à des "grands groupes" de récupérer des matériaux d'une part et permettre l'enfouissement des ordures d'autre part. #Merveilleux
N.B : concernant Vincent Lapierre, je trouvais étrange que le jeune homme ait débuté chez Soral (qui n'a pas du tout sa place dans mon cœur autant vous l'avouer), puis j'ai compris que VL était employé par Égalité & Réconciliation pour effectuer des reportages et documentaires et que c'était sûrement le seul moyen que VL avait trouvé pour se faire connaître. Cela lui permit de dénoncer ce qui lui tenait à cœur contre un ou deux reportages militant en contre-partie et une rémunération (ndr. je considère que ça reste de la collaboration soyons clairs).
Il n'y a qu'à constater le changement de ligne politique de VL concernant le traitement qu'il fait de François Asselineau (en positif) et d'Alain Soral (en négatif) aujourd'hui par rapport à ce qu'il en faisait il y a un peu moins de deux ans lorsqu'il était encore payé par Égalité & Réconciliation.
Si tout ceci était son projet depuis le début, alors VL est un homme intelligent, tactique et je n'aimerais pas me retrouver face à lui dans une confrontation. Pour le reste, bravo pour ses reportages.
La vidéo de Tatiana Ventôse tombe à point nommé !
Nous n'avons toujours pas atteint les 4,7 millions de votes permettant de nous protéger de la privatisation des Aéroports de Paris (ADP pour les intimes). Je rappelle que la date limite étant le 13 mars 2020 et que ces Aéroports de Paris, qui viennent enfin de rembourser les investissements publics effectués depuis 1945, rapportent 185 millions d'euros chaque année avec une croissance estimée à 20 millions d'euros par an sur la prochaine décennie.
Qui a envie de compenser cette perte par encore moins de remboursement de la sécurité sociale ? Qui a envie de compenser cette perte avec moins d'écoles publiques ? Qui a envie de compenser cette perte par encore moins d’hôpitaux gratuits ? Qui a envie de compenser cette parte par des départs à la retraite encore reculés ? Qui a envie de compenser cette perte par de nouveaux impôts ou de nouvelles taxes ?
Je vais vous le dire qui : CEUX QUI PROFITENT DE L'ÉVASION FISCALE ET QUI SONT TELLEMENT RICHES QU'ILS PROFITENT DÉJÀ DE TOUS LES BIENFAITS DES PRIVATISATIONS.
Bref, encore une fois la grande mafia socialise les investissements et les pertes et tente privatiser les profits sur notre dos !
Le lien pour signer est ici et pour connaître l'évolution du nombre de votes c'est par ici.
Vous remarquerez qu'il nous manque 4 millions de signatures mais il nous reste encore 6 mois ! C'est n'est que 750K signatures par mois. Si une fois dans votre vie vous souhaitez militer pour quelque chose qui est de l'intérêt national, alors munissez vous de votre carte d'identité, aller voter puis faites en la promotion. JE VOUS EN PRIE
IL FAUT QUE NOUS AGISSIONS ! Ce n'est pas la grande mafia qui nous protégera de ses propres agressions à l'encontre de la France.
Plein de trucs & astuces pour Ansible.
Typiquement, comment s'assurer que tous nos hosts soient up : ansible -m ping all --one-line
Je partage tout à fait l'avis de Sebsauvage sur Microsoft, mais je déteste toujours autant IBM pour ses actions politiques passées (collaboration toussa).
Je retranscris ici le fil Twitter de Benjamin Bayart (vous ai-je déjà dit que j'étais totally in luv du monsieur ?).
Je trouve ça super intéressant comme question. Parce que ça montre deux choses, distinctes mais entremêlées. D'une part, la sur-administration, la quantité surprenante de détails qu'on veut avoir sur tout et sur tous pour faire tourner la mécanique écolière.
Foucault décrit ça de manière intéressante, dans "Surveiller et punir", cette obsession de la volonté de savoir. C'est assez malsain. Mais c'est assez bien admis, à tel point qu'on grogne de devoir remplir des papiers différents avec les mêmes infos.
Pourtant, c'est le signe que nous ne sommes que partiellement mis en fiches. Quand on ne devra plus répondre tout le temps aux mêmes questions, c'est qu'on aura fini de mettre en fiche la totalité de la population, et d'interconnecter tout ça.
De mon point de vue, c'est très sain que chaque acteur du système demande les informations dont il a besoin, en ignorant ce que font les autres. La cantine a seulement besoin de savoir s'il y a intolérance à certains produits, pas si les papiers d'identité sont en règle.
Or, quand on interconnecte tout pour éviter de redemander, alors, on finit par mélanger les informations et on arrive dans une société de surveillance, où tous les organes de la société veillent à imposer des normes et à contraindre les gens à rentrer dans des cases.
Ce serait même plus sain, pour moi, que régulièrement chaque acteur du système se demande s'il peut se passer d'une information ou d'une autre. Partant de l'idée que c'est mieux d'avoir moins d'informations en fiche sur les gens.
Ce qui me fascine dans cette affaire, c'est qu'on est tellement habitués à devoir fournir une montagne d'informations, on est tellement habitués à être mis en fiches tout le temps, partout, qu'on réclame l'interconnexion des systèmes. On réclame Big Brother.
Il ne faut pas croire que la société de surveillance est quelque chose qu'on nous impose par la force. C'est une chose que nous réclamons, au nom du confort, de la simplicité, de la sécurité.
La mort de nos libertés est là : on a oublié leur existence, et on demande la fin des derniers petits morceaux de libertés qui restent, à aucun moment on n'envisage de devoir défendre des libertés. La société de contrôle, la société de surveillance, sont souhaitées.
Excellent. Marche même sous Linux ! Je teste ça ce soir et je l'intègre à ma toolbox si ça marche bien.
Via quelqu'un sur Libox River.
Déterminer la charge soutenable par votre service REST en déclarant les requêtes via une syntaxe Yaml proche de celle d'Ansible.
Via Doo.
Le concept du Test, Commit, Revert (TCR) est sympa.
Comment notre façon de programmer est-elle devenue asynchrone et bloquante ? C'est vrai que je passe mon temps à revenir sur des pull-requests qui ont eu lieu plusieurs jours auparavant ; et c'est dur à chaque fois ! J'aime coder et oublier le code que je viens de coder aussitôt que la PR part. Je n'aime pas qu'on me relance sur un sujet que j'ai fermé car c'est une charge cognitive forte et épuisante et pourtant ce modèle est devenu le modèle "standard".
=> Pour @Chlouchloutte
Via Riduidel
Cela avait le don de me frustrer qu'une feature aussi standard ne soit toujours pas implémentée dans un IDE qui sait le faire dans d'autres langages depuis des années. Et après une courte recherche, il y a une raison plus que pertinente : l'ordre des imports en Kotlin influe sur la façon dont le code sera compilé.
Dit autrement, pour une même classe, ordonnancer ses imports différemment ne produira pas le même bytecode. De ce fait, j'ai désactivé le check dans Ktlint pour éviter tout problème.
P.S : IntelliJ semble importer les éléments "dans le bon ordre par défaut".
La Deutsch Bank licencie 18 000 personnes sous le silence assourdissant des grands médias ! Et c'est sans compter les licenciements par milliers chaque année depuis 5 à 6 ans (entre 1 000 et 3 000 par an).
La banque est en faillite virtuelle depuis un an dans le sens où son action est passée d'environ 150 € l'unité en début d'année à environ 5 €. Selon certaines projections, l'action de la Deutsch Bank devrait passer en-dessous du 1 € symbolique entre novembre et décembre 2019, notamment à cause des CDS pourris qu'elle avait rachetés à Blythe Masters.
Ceci aura pour conséquence une faillite réelle avec un effet domino à la Lehman Brothers. Le cataclysme financier tant redouté ne va plus être attendu bien longtemps. Souhaitons un éclatement de la zone euro juste avant et qui protégera en partie les économies françaises de raz-de-marée s'amorçant dans l'euro-zone.
Enfin, ce n'est pas faute d'avoir prévenu, moi je me suis préparée depuis quelques années déjà, bonne chance à tous.
La documentation en Kotlin est produite à partir de Dokka et non le maven-javadoc-plugin (normal puisqu'il s'agit de parler/lexer un autre langage).
Cette page décrit les différences de syntaxe entre la JavaDoc et la KDoc.
La page est très limpide sur les Do et les Don't. Je suis en train d'intégrer le plugin à nos builds.
Je suis en train de réfléchir sérieusement à une migration définitive vers Gradle a minima pour mes projets en Kotlin.
Rien que l'explication de l'article montrant la différence entre java et java-library dévoile l'écart de conceptualisation flagrant entre un Maven vieillissant et un Gradle jeune et adaptable.
Que ça me coûte de dire cela d'un si vieil ami !
Un bon tuto sur le fonctionnement d'un perceptron. Pour tous ceux qui souhaitent se mettre à l'IA.