Une remarque que je me suis faite à la lecture de cet article. Il ne faut plus appeler les contingents de police "les forces de l'ordre" car ce n'est pas ce qu'ils sont. Il faut les appeler "la milice des oppresseurs", une variante peut-être plus pertinente serait "les sentinelles du pouvoir", une dernière pourrait être "les cerbères des oligarques".
Je m'explique, la police dans son ensemble ne vise plus à maintenir la paix, d'ailleurs l'appellation ""Gardiens de la Paix"" a disparu et cela ne s'est pas fait pas hasard. Le mandat même a changé, il faut maintenir l'ordre et pas n'importe quel ordre, celui décidé par une minorité richissime au détriment de la volonté d'une écrasante majorité dominée et ligotée. Il faut "Protéger et Servir [le pouvoir]" et non plus le peuple.
J'ai souvent lu de vives critiques face à ceux qui se disent "être anti-système". Les explications étant qu'on ne peut être anti-système car toute interaction humaine est systémique par nature. Ce qu'il faut comprendre dans ce phrasé, c'est qu'être anti-système pour l'individu qui s'en revendique, c'est être contre l'oligarchie qui se maintient tout en haut, au détriment des autres.
Aussi mon hashtag du jour sera #Antisystème
Je crois bien que Démocratie s'écrit Démocrature. Bon rien de nouveau sous le soleil mais je vais tenter de résumer ce qu'il se passe :
- Les fainéants, antisémites, chômeurs, terroristes et criminels sont en manifestation tous les samedis depuis... 6 PUTAINS DE MOIS !
- Le gouvernement se fait dessus.
- Comme tout pouvoir (qui en ce moment vacille) il tente d'abuser de sa limite.
J'entends surtout qu'encore une fois l'Union Européenne légifère à place des nations ; puisqu'elle est hiérarchiquement placée au-dessus par le TUE.
De facto, si une organisation étrangère à votre pays, décide des lois qui auront cours dans votre, en passant à côté du parlement, c'est que :
1) Votre pays n'est plus souverain (puisqu'il ne peut plus décider et s'organiser lui-même).
2) Votre pays est une colonie déguisée de cette puissance étrangère.
3) Votre pays n'est plus une démocratie puisque les quatre pouvoirs d'une nation ne sont plus en possession de la nation (ie. législatif, judicaire, exécutif et monétaire).
Quand mes
Je copie ici l'extrait fait par Neros de l'article :
" La star hollywoodienne, qui a reçu la visite du FBI, s’est retirée de la collecte de fonds pour la campagne d’Hillary Clinton. Le Fonds suisse Bruno Manser appelle l’acteur oscarisé à rendre son «argent sale» provenant de Malaisie, dont une partie aurait servi à organiser des orgies entre amis
«Le Loup de Wall Street» (2013) aurait été financé avec l’argent soustrait des caisses publiques malaisiennes.
Les enquêteurs estiment que d’autres montants issus du scandale de corruption en Malaisie auraient servi à sponsoriser des virées à Las Vegas, l’achat d’œuvres d’art, d’immobilier de luxe et de jets privés, ainsi que l’organisation d’orgies mémorables et autres convivialités arrosées.
lors des 40 ans de Leonardo DiCaprio en train «d’arroser les murs avec du champagne pour au moins 1 million de dollars, dont des bouteilles d’As de Pique à 50 000 dollars l’unité» "
Alors soit c'est vrai et le pouvoir et l'argent rendent fou, soit c'est faut (ou vrai) mais nous avons un joli scandale à ronger en attendant qu'il se passe autre chose qui passera lui inaperçu.
Dans tous les cas, les nouvelles sont grandioses en ce début de journée.
A lire. Nous glissons de la même manière que les Allemands glissèrent en 1933.
Je pense qu'il faut diffuser cette vidéo oui.
Un autre infographie sur le même sujet.
Je copie-colle :
" LORSQUE LES MOTS PERDENT LEUR SENS …
Publié le septembre 23, 2015 par 2ccr
Si les mots ont un sens, leur mauvaise utilisation peut nuire gravement à la démocratie. La manipulation du langage est une constante de tous les régimes totalitaires. Cela leur permet de changer le monde à leur avantage. Aucun mot n’est anodin, surtout utilisé par des spécialistes en communication. Il y a les classiques comme « la guerre propre » ou « la moto verte ». A l’internationale, lorsque l’armée américaine ou israélienne bombarde par exemple toute une population, il s’agit, d’une simple « incursion », ou une d’une « frappe préventive », les victimes civiles sont, elles, des « dommages collatéraux ». La résistance palestinienne ou irakienne est réduite au rang de « terrorisme », et la critique d’Israël devient un acte d’ « antisémitisme ». Mais cette nouvelle fraude des mots est utilisée quotidiennement pour nous façonner et nous faire accepter le système tel qu’il est.
Pour faire croire que dans une entreprise tout le monde est logé à la même enseigne, on ne parle plus de salariés mais de : «collaborateurs». Bien sûr parfois il arrive que l’on soit obligé de se séparer de ses collaborateurs, lorsque par exemple les actionnaires demandent plus de dividendes, pardon, lorsque que l’on veut consolider l’entreprise pour lui permettre d’affronter la concurrence. On licencie moins (bien), mais on restructure plus ! Les «restructurations» sont obligatoires pour faire face aux défis de notre temps : c’est à dire une meilleure exploitation des salariés. On se sépare donc d’une partie de ses collaborateurs, et pour ceux qui restent on négocie «la flexibilité», que l’on peut traduire par la mise à la disposition de l’employeur, ce que l’on appelait autrefois exploitation patronale. Bien sûr si une entreprise est obligé d’organiser un licenciement collectif, c’est pour le bien être des salariés, c’est pourquoi l’on parle de « plan de sauvegarde de l’emploi »!
Il faut aussi améliorer la «communication», c’est à dire intensifier la propagande du Medef via le gouvernement et les différents médias pour baisser «les charges patronales», autrefois dénommées cotisations sociales patronales. Faire comprendre aux salariés que leurs «acquis sociaux» doivent être supprimés pour faire face aux difficultés de l’entreprise et affronter la mondialisation. En clair pour rémunérer grassement les actionnaires avec des stocks options, des bonus et des parachutes dorés.
Répéter inlassablement que les caisses sont vides que «l’état providence» ne peut pas tout. Mais peut-être devrions nous plutôt parler d’état re-distributeur, ce qui sous-entend que s’il y a redistribution c’est qu’au départ il y a des inégalités. Et l’on retombe sur l’épineux problème du partage des richesses. Et comme la redistribution ne se fait que dans un sens, il faut en conclure que la providence ne se fait que pour une poignée de privilégiés proches du pouvoir, pour lesquels les caisses ne sont jamais vides !
Pour faire avancer le pays nos gouvernants parlent constamment de «réforme de l’état», que l’on peut traduire par destruction des services publics. Ceci dans le but de brader la santé, l’éducation, l’énergie … aux entreprises des amis choisis par le pouvoir. Ces entreprises auront des collaborateurs, et pour améliorer la rentabilité on effectuera des restructurations. La baisse des charges et la flexibilité ne suffisant pas, l’Etat providence, qui fonctionne très bien pour eux, viendra à leur secours, et le contribuable mettra la main à la poche. En bref, le public finance le privé, mais chut … il ne faut utiliser que le politiquement correct, aussi il est préférable de dire que ce sont les fonctionnaires qui coutent cher à l’état !
Il faut sortir le pays de «l’immobilisme», attention ne pas croire que l’on parle de ces familles qui sont aux affaires depuis des générations. Non, on parle de ces millions de travailleurs qui après de difficiles luttes ont réussi à améliorer leurs conditions. Cela n’a jamais plu à une droite revancharde. D’ailleurs attention, la police ne cogne pas sur les manifestants, elle intervient seulement de manière « musclé ». De même, les grévistes qui s’opposent aux « réformes » font preuve de « crispation », et tout le monde sait que la grève est une « prise d’otages », quant aux brèves séquestrations de patrons cela s’appelle des « violences », voire des « actes terroristes »… et bien sûr, la violence des licenciement est légitime car elle s’inscrit dans la loi voulu et voté par … le Medef, pour le bien de tous !
Après toutes ces réformes vous avez de grandes chances de vous retrouver au chômage, c’est à dire en «période d’inactivité». Et là vous risquez de culpabiliser car qui dit inactif dit un peu fainéant. Mais le bon côté de la chose, c’est que même si vous êtes au fond du trou, que vous devenez un déchet, sachez que maintenant avec le parler écologique on «valorise les déchets». Evidemment, certain « irréalistes » ou « irresponsables », vont vous dire qu’il existe des alternatives à l’orthodoxie économique ou politique, mais vous savez que ce n’est pas vrai et de vous-même vous les qualifierez de « bisounours », d' »utopistes, ou alors de … gauchistes !
«Lorsque les mots perdent leurs sens, les gens perdent leur liberté»………CONFUCIUS "
Moi je suis une imbécile mais peut-être que lorsque Stiglitz le dit, les gens vont le croire lui !
Les mathématiques et la loi sur la surveillance de masse généralisée... 337 000 français surveillés à tord car fichés comme terroriste chaque années... Bordel c'est vraiment une mafia de merde.
Je vais vous dire le fond de ma pensée : "Le gouvernement français... st'enfoiré !"