@Sebsauvage exactement, c'est pourquoi il faut un droit de voter les lois et non un droit d'élire des dirigeants. En votant les lois nous-même directement, il n'y a plus de "régime en place" puisque chacun s'exprime librement sur chaque sujet.
Et dans cette situation, un avis public est moins un problème puisque l'on peut parfaitement être contre certaines idées mais en même temps être pour d'autres idées qui n'ont rien à voir, sans être contraint d'agir en tant que ruche dont la reine est le parti pour qui l'on se prive de nos avis individuels.
Typiquement j'ai beau soutenir l'UPR, il n'empêche que je ne suis pas du tout d'accord avec tout ce que propose Asselineau et mes opinions diverges d'au moins 30% avec la politique proposée par le parti.
Redisons-le encore et toujours, avoir le droit de choisir ses dirigeants par l'élection n'est pas le critère qui fait qu'un pays est une démocratie, en ce sens ni les USA, ni la France, ni les autres ne sont des démocraties puisque les choix des peuples ne sont pas appliquées.
La seule définition acceptable est celle-ci.
@Riff écrit ceci :
Sinon, on est en avril 2024, Bayart continue à aller se faire interviewer chez les fafs de Thinkerview comme si de rien n'était. Tout. va. bien. chez les techos.
Et Sammy lui répond :
Oh merde, j'avais pas vu ! Rhâââ, purée.
Pour avoir écouté quelques Thinkerview ces dernières années, j'aurais besoin de savoir c'est quoi "être un faf" selon vous ? Je veux dire, quels sont les critères objectifs qui permettent de catégoriser quelqu'un de fasciste ?
Dans vos postes passés, j'ai pu deviner que l'un des critères, était d'accepter de parler à l'extrême droite, mais cela déporte en partie la question. Parce que selon vous, où s'arrête la droite et où commence l'extrême droite ? Et est-ce qu'on peut parler aux gens de droite finalement ? Et puis c'est quoi la séparation gauche / droite si ce n'est la base du diviser pour mieux régner ?
Pour moi, une idée nauséabonde est de penser qu'il ne faut pas parler aux extrêmes. Je m'explique, dans un couple, lorsque les gens ne se parlent plus ils divorcent et s'entre-déchirent. Des voisins qui n'échangent plus sur leurs problèmes commencent à se battre. Les nations sans diplomatie se font la guerre. Prétendre qu'il ne faut jamais parler aux extrêmes, c'est semer les graines de la guerre civile sans même y réfléchir. Et mon sentiment c'est que nous y allons à grands pas et ça fait les choux gras de l'hyper-bourgeoisie cosmopolite.
D'autant plus que le terme "faf" me donne l'impression d'être un fourre-tout. Voici les deux grands exemples :
- Vouloir fermer les frontières = faf.
- Vouloir un service militaire = faf.
Or on peut argumenter... Quand Marx suggère qu'il faut des frontières, c'est bien pour protéger le prolétariat de ce qu'on décrit aujourd'hui comme étant la mondialisation. Et il n'y a pas meilleur outil que les frontières pour ça.
Quand Soral (je fais exprès de le citer), donne en exemple les manifestants coréens, et explique que le fait d'avoir conserver le service militaire, leur a permis de mieux se défendre et de mieux s'organiser face aux charges des CRS en manif, tient-il un propos fasciste alors qu'il soutient la révolution citoyenne face aux troupes de l'état ?
Pour moi, n'argumenter qu'à partir d'une posture morale, sans vouloir débattre des idées ni avancer ensemble sur des compromis, c'est ça être fasciste. Et ça s'explique, puisque in fine, la seule conclusion possible sans dialogue est de résoudre les problèmes en exterminant ses opposants... Dans des camps où on pourrait les concentrer... Je troll à peine.
N'oublions pas, que le parti Nazi était socialiste avant de venir nationaliste... Lui était dans le "camp du bien", il voulait bien défendre les opprimés, à l'inverse des autres partis politiques qui étaient basés sur "la haine" et "l'oppression"...
Bon le parti Nazi voulait les défendre par les armes bien évidemment, mais c'était justifié pour lui ! #CaMeRappelleLesAntifas En effet, l'argument des nazis était simple : on ne peut pas dialoguer avec le monstre juif, cela reviendrait à jouer aux échecs avec un pigeon, il ne respectera aucune règle, renversera les pièces, et chiera sur l'échiquier...
Les nazis pensaient comme cela, leurs idées étaient supérieures, leur morale était juste, leurs actes étaient raffinés, les autres n'étaient que méprisables en comparaison. Leur parler n'était qu'une pure perte de temps.
Je le note parce que je l'oublie à chaque fois :
- Un paramètre d'une requête est ce que le client envoie au serveur.
- Un attribut d'une requête est ce que le serveur ajoute lui-même à la requête, le client n'intervient pas dans l'opération.
Why are there is so many terms like SR, MR, CR, XL, etc., for the same sustained release medications? Is there regulatory reasons?
La réponse :
MR (modified Release) is the general term for all the drug delivery systems that are deviating from the conventional release pattern, these include all the preparations known as SR, CR, XL. SR (Sustained Release) are those which sustain the release of drug for a specified time period or region of administration these include delivery systems that generally tries to mimics zero order but follows pseudo first order and also those which sustain the delivery in Gastric environment. XL (Extended Release) is delivery systems that extend the release rate of drug for longer period of time without or with generating constant plasma level and follows pseudo first order release mechanism. CR (Controlled Release) are ideal in achieving constant plasma level for longer period of time as these follow zero order kinetic model. So are so many factors that actually correlates with each other so these are mistakenly used in the same manner and also regulatory agencies do not have any of such definition that separates them apart.
Merci à @Riduidel pour le lien.
Je copie-colle le résumé :
What is Domain-Driven Design (DDD)
A definition of DDD as a software design discipline
By @mathiasverraes
Published on 22 September 2021Domain-Driven Design is a software design discipline centred on the principles that:
- Software for a complex domain requires all designers (engineers, testers, analysts, …) to have a deep, shared understanding of the domain, guided by domain experts
- That understanding is rooted in language: the domain language should be formalised into a Ubiquitous Language (shared, agreed upon, unambiguous)
- The understanding is expressed in a model, shared between experts and designers, which express the problem space (as opposed to the solution space)
- The model must not shy away from explicitly expressing the essential complexity of the domain
- A complex domain can not be efficiently expressed as a single universal model and language, and must therefore be separated into Bounded Contexts (ie. an internally consistent language and model) by the system designers
- The model and language should be in sync with our understanding of, and changes in the domain, through continuous refactoring towards deeper insight
As a mnemonic:
DDD is a design discipline where you
- Grasp the domain
- Agree on a language
- Express it in shared models
- Embrace complexity
- Separate models in contexts
- … and evolve them continuously
Notes
Domain-Driven Design presents an all-encompassing view on software design. It considers design from the micro-level of code and design patterns, to models and their language, to communication and relationships between models, to the large scale reasoning about systems of systems. On top of that, it aims to be pragmatic. You don’t apply DDD everywhere, you do it where it will have the most impact.DDD is not prescriptive. It doesn’t have rules of how to do it, and is open to new interpretation. It doesn’t prescribe methods, or practices, and even the patterns in the book1 are meant to be illustrative rather than a final set. Many methods that people now consider core to DDD, such as EventStorming, didn’t exist when the book was written.
That makes DDD notoriously hard to define. This definition is specifically focused on DDD as a discipline, that is, design as something you do, activities with a set of guiding principles. I’ve been using and improving this definition in my workshops for probably 6 or 7 years now, so I hope that makes it hardened enough to be useful for both newcomers to DDD and seasoned practitioners. I hope that keep it up to date with new insights.
Le mot que la personne cherche est : dénégation.
J'ai dû l'apprendre en lisant "Cinq leçons sur la psychanalyse" de Freud. L'exemple donné par mon prof de philo était (de mémoire et ça date) :
Vous prêtez une casserole à quelqu'un et cette personne vous rend cette casserole. Un mois plus tard, sans que personne ne s'en soit servi vous remarquez que la casserole parfaitement neuve au moment du prêt est à présent tout cabossée et inutilisable. Vous demandez alors des comptes à votre ami et s'en suit cette réponse :
- Ce n'est pas moi qui ait fait ça.
- Je ne t'ai pas emprunter cette casserole.
- Et puis quand je te l'ai rendu elle était intacte.
- Et de toute façon la bosse était déjà d'avant.
Chaque proposition en contredit au moins une autre, c'est la dénégation.
@Dukeart en te lisant ainsi qu'en lisant le post sur Octodon de Matiu_Bidul j'ai réalisé que ce que tu entendais par "dialogue avec l'extrême droite" et ce que Matiu_Bidul entendait par "dialogue avec l'extrême droite" n'étaient pas du tout les mêmes choses.
Je m'explique, Ron Stallworth est un policier noir américain tellement incroyable que le film BlacKkKlansman a été réalisé sur sa vie.
Mais qu'a-t-il fait de si extraordinaire ?
C'était simplement un policier noir, dans les USA des années 70-80 qui a infiltré le Klu Klux Klan et qui a accompli le tour de force de convaincre des membres du KKK de leur erreur et de les en faire sortir.
Mais comment ?
En dialoguant avec eux... Mais qu'appelle-t-on dialogue ici puisque selon ton interlocuteur ça n'est pas possible et ça ne sert à rien ? Raisonnement que cet exemple contredit et donc invalide.
Quand Matiu_Bidul parle de dialogue, il fait référence à une idée tout à fait saugrenue à ses yeux : celle d'avoir des discussions politiques tous les jours et ainsi négocier avec l'extrême droite. De surcroît, il me donne l'impression de penser qu'il n'existe pas de gradation à l'extrême droite, typiquement soutenir le FN et soutenir le parti Nazi semble deux choses identiques à ses yeux.
@Dukeart, tu as beau penser qu'il y a une marge entre vouloir l’éradication d'un peuple et vouloir le contrôle total de son immigration, vraisemblablement pas lui, mais ça n'est pas important pour mon propos.
Ce qui est important, et si je t'ai bien compris, c'est que pour toi, "dialoguer avec l'extrême droite", ce n'est pas négocier sur le devant de la scène politique, c'est au contraire demander à l'autre ce qu'il pense et point par point identifier avec lui les défaillances dans ses propos (ou en tout cas les éléments irrationnels). Le but n'est pas de négocier mais de le faire sortir, dit autrement : le désextrémiser.
Un même mot, deux sens différents.
Au regard de cette nouvelle définition et au regard de ce qui a été accompli par Ron Stallworth, ceux qui pensent qu'on ne peut dialoguer avec l'extrême droite le pensent-ils toujours ?
Je préfère le rappeler mais les extrémistes ont été des enfants comme vous et moi durant un temps, ce qu'ils pensent aujourd'hui n'est pas un inné mais un acquis, chose qui peut donc se déconstruire... Seulement si on le souhaite... Après oui, une guerre civile ouverte et leur mise à mort systématique est bien plus rapide, mais est-ce mieux ? Je ne pense pas.
Je reprends la phrase de Claude Allègre :
Est une science tout domaine qui se démontre par l'expérience.
En ce sens les Mathématiques ne se démontrant pas par expérience mais par raisonnement elles ne font pas partie des sciences.
Mais qu'en est-il des "sciences sociales" ?
Depuis quelques temps je m'interroge sur le fait que le domaine appelé "sciences sociales" ne soit pas une science tout comme le domaine des "sciences économiques" qui n'en sont pas une non plus.
Pourquoi ?
Car une expérience c'est le fait de pouvoir reproduire un phénomène à petite échelle, dans un espace maîtrisé, en faisant varier un seul paramètre à la fois pour en observer les effets. Or comment reproduire les effets à petite échelle de la macro-économie ? Comment reproduire à petite échelle les comportements sociaux d'un peuple ? Comment ne faire varier qu'un seul paramètre à la fois ? Et comment en mesurer les effets et s'assurer qu'ils soient bien dus à ce changement seul et non à autre chose ?
Bref, l'article l'explique assez bien :
Les constructions des sciences de l’homme se rapportent à des situations individuelles ; elles sont empathiques car celui qui connaît s’identifie à ce qu’il connaît. Ces sciences produisent des connaissances authentiques, mais pas des connaissances vraies puisque leurs démonstrations ne possèdent pas les propriétés des énoncés scientifiques.
En conséquence, mieux vaut ne pas ériger les énoncés des "sciences sociales" comme des vérités mais comme ce qu'elles sont : des théories servant de prisme à l'interprétation du monde.
Pensez-y la prochaine fois que quelqu'un évoquera devant vous la sociologie comme preuve et surtout comme une science.
Deuxièmement, la description du racisme systémique s'appuie sur une analyse économique du racisme. C'est sa grosse différence d'avoir l'antiracisme fainéant qui pense que le racisme se limite à des problèmes de gentillesse. [...] L'antiracisme sérieux a d'ailleurs eu de longue date des dialogues avec le marxisme et s'est complètement emparé de cette école de pensée.
Au contraire, plus je discute avec des partisans de la théorie du racisme systémique et plus je m'aperçois que la notion de classe sociale est complètement évincée au profit de quelque chose que je ne sais pas vraiment nommer mais dont la définition est l'intersection des points suivants :
- Personnes d'une même couleur (ou variation de couleur).
- Personnes issues d'une même origine ethnique ou nationale.
- Personnes partageant une même religion.
Donc je ne vois pas en quoi "l'antiracisme sérieux (sic) a d'ailleurs eu de longue date des dialogues avec le marxisme" puisqu'il en évince totalement la base, à savoir les notions de classes et de lutte des classes.
Bref, le mot fourre-tout que ces personnes emploient pour éviter le mot "race" c'est "culture" et de facto ce rassemblement uniquement entre "semblables" en excluant d'office tout ceux qui sont "dissemblables" (physiquement hein, parce que le milieu social ne compte pas), bah désolé mais je trouve cela raciste. Alors on parlera de "communautarisme" pour avoir bonne conscience ou encore "d'entre-soi" à l'image de ce que font les bourgeois mais sans se rendre compte du paradoxe d'abandonner le vivre-ensemble et intrinsèquement le "lutter ensemble" pour le "on se débrouille très bien entre-nous, entre racisés et sans vous les non-racisés".
N.B : je réponds ici uniquement au commentaire de Riff, je n'ai pas encore lu le thread Twitter qu'il propose.
Voici un exemple de biais cognitif ou d'erreur de raisonnement, ou peut-être de manque de compréhension du concept de liberté d'expression.
La liberté d'expression ne signifie pas dire "l'absence de prise de responsabilité sur ce que l'on dit !"
Je m'explique, nous sommes libres de dire ce que nous souhaitons mais en cas d'insulte, d'injure, de diffamation ou encore d'incitation à la haine, bref toutes ces choses qui peuvent blesser autrui, et bien nous devons répondre de ce que nous avons dit.
Aussi la bonne question est : quel est le motif de l'action en justice de ces suprémacistes blancs ?
Je ne cautionne aucunement les thèses de ces personnes (qui pour moi ont de gros problèmes), mais nous nous devons d'être vertueux de notre côté et ne pas sombrer dans l'injure ou l'agression.
Via Neko
Une introduction à la terminologie bullshit dans l'IT. Je reviendrai plus tard sur cet article afin d'expliquer en quoi dès que vous ne codez plus, vous êtes immédiatement obsolète.
Pour @Chlouchloutte.
Je cite la définition du capitalisme en cinq mots :
Capitalisme :
Le droit d'accumulation illimité.
Voilà
Très bon article expliquant :
- La différence entre un type et une classe.
- La variance et la covariance.
- L'invariance et la contravariance.
Ce qui permet de comprendre le fonctionnement complet des génériques en Java et Kotlin, ainsi que les mots clefs in et out de Kotlin.
Une petite introduction sympa autour de ce gestionnaire de conteneurs.
Un bien belle citation d'un PDG milliardaire sur ce qu'est, pour lui entendons-nous, la mondialisation :
Je définirais la mondialisation comme la liberté pour mon groupe d’investir où il veut, le temps qu’il veut, pour produire ce qu’il veut, en s’approvisionnant et en vendant où il veut, et en ayant à supporter le moins de contraintes possibles en matière de droit du travail et de conventions sociales.
Percy Barnevick ancien P-DG de ABB
Un site de tuto pour le chiffrement. En première page, la différence entre Chiffrer et Crypter parce que les mots sont important
La définition que donne Franck Lepage de la démocratie dans l'une des ses conférence gesticulée :
Est démocratique, une société qui se reconnaît divisée, c’est-à-dire traversée par des contradictions d’intérêts et qui se fixe comme modalité, d’associer à parts égales, chaque citoyen dans l’expression de ces contradictions, l’analyse de ces contradictions et la mise en délibération de ces contradictions, en vu d’arriver à un arbitrage.
Franck Lepage
Une brève description tirée de la Wikipédia expliquant à quoi servent chacun des modules d'Hibernate et par extension quand les utiliser dans un projet.
Hibernate se compose de plusieurs modules développés par des équipes différentes.
Core
Le module principal d'Hibernate contient les fonctionnalités clefs (principalement connues depuis la version 2 de la bibliothèque) telles que les sessions, les transactions, le cache d'objet ou le langage SQL.
Annotations
Apporte le support des Annotations tel que décrit dans JSR 175. Cette approche permet d'éviter la description de la correspondance entre les champs d'une table et les champs du POJO en XML.
Entity managerModifier
Permet le support de JSR 220 JPA par le module Core.
Shards
Ce module permet la partition horizontale du Core Hibernate.
Validator
Module de validation des contraintes d'entité de la base de données, implanté sous forme d'annotations telles que les plages de valeurs autorisées, les formats de chaine de caractères, la détection des valeurs nulles, etc.
Search
Le dernier module apporte une couche d'abstraction pour la recherche de Lucene appliquée sur les entités persistantes maintenues par Hibernate.
Tools
Ensemble d'outils pour Ant ou Eclipse facilitant le développement avec Hibernate."
Toujours sur les tutos en Java 8 je vais essayer de vous expliquer les mapper et la méthode .map de l'API Stream.
Définition 'Mapper' :
Objet ou fonction permettant de convertir un élément en un autre élément.
Exemple :
J'ai une liste de String :
List<String> list = ...;
Que je souhaite convertir en ceci :
List<Integer> sizes; // qui contient la taille de chacune des String de la liste précédente.
En vieux Java j'écrirais :
private List<Integer> convert(List<String> strList) {
List<Integer> result = new ArrayList<>(list.size());
for (String str : strList) {
result.add(str.size());
}
return result;
}
En lambda j'écrirai :
private List<Integer> convert(List<String> strList) {
return strList.stream().map(str -> str.size()).toList();
}
Et votre mapper c'est cette petite lamdba 'str -> str.size()' qui sera appliquée à chaque élément de la liste un par un.
Je continue ma série de tutos sur les technos manquées en Java 7 et 8. Ici les Callable.
Ce sont des Runnable mais qui peuvent retourner un objet (je vous renvoie aux principes de la programmation asynchrone en JavaScript).