Via cette commande :
sudo fuser -v /dev/snd/*
Je partage la pensée décrite dans tout ce qu'exprime FatAgnus dans son commentaire au sujet de brevets logiciels (et des brevets d'une manière générale), je cite :
Les brevets logiciels sont juste une vaste escroquerie qui sous couvert d'une prétendue innovation technologie permettent à certaines sociétés de racketter d'autres sociétés. On se souviendra encore il y a quelques années que Microsoft rackettait les constructeurs Android en les menaçant de de 310 brevets logiciels, qui lui ont rapporté, rien qu'en 2014, 3,4 milliards de dollars, sans avoir écrit une seule ligne de code !
Aucune idée ne devrait être verrouillée par un brevet logiciel, en plus ces idées sont souvent triviales, la navigation au clavier sur Internet, une méthode pour avoir des noms courts et longs dans un système de fichiers, interface multilingue pour un système d’exploitation...
En tant que développeur, vous devriez lire de plus 500 000 brevets logiciels états-uniens pour voir si par hasard votre code ne viole pas une des idées « géniale » couverte par un des brevets logiciels, autant dire que c'est un travail impossible. Surtout que même si vous pensez ne pas enfreindre un brevet, un juge pourrait penser le contraire.
Les brevets logiciels ne sont pas un moyen de protéger l'innovation, mais une arme utilisée par les grandes multinationales (car déposer, défendre ou se défendre un brevet logiciel coûte cher) contre d'autres sociétés.
Le concept de brevets logiciels est tellement « innovant » que certaines sociétés en ont fait leur business, les patent troll, des sociétés qui acquièrent des brevets sans les exploiter, dans le seul but de gagner de l'argent en rackettant d'autre sociétés.
Les brevets reposent sur une économie de casino faite pour servir les big-blind afin de les protéger des small-blind n'ayant pas les moyens de jouer all-in à chaque coup.
Il faut que je relise l'article. Le fait qu'il pousse à se cantonner à des opérations monadiques du type filter, map, reduce me pose problème dans le sens où si certes il est possible de tout exprimer (ou presque) avec, cela n'est en revanche pas toujours pratique ! Je vois le dogme fonctionnel partout comme s'il s'agissait d'une balle en argent or ce genre de choses n'existe pas.
Par contre, l'article fait mouche lorsqu'il parle du "N² growth problème" avec les architectures orientées services (SOA) et ça, ça me parle !
Je me sens tellement proche de ce qu'écrit le monsieur. C'est vrai que chaque langage à ses défauts et en général je ne remets pas en question le dernier langage à la mode autant que je le fais pour les frameworks !!! Car à cause d'eux, nous nous retrouvons avec ces IT qui ont oublié comment coder ne serait-ce qu'un Hello World!.
Par contre on sent que le monsieur a été CEO lorsqu'il écrit ce genre de saletés :
Est-ce que la solution est politique ? Il faut légiférer pour mieux gouverner le monde du logiciel. On le voit avec les dernières réponses législatives aux problèmes concrets : RGPD, notification des cookies… la source du problème n’est pas résolue. Peut-être parce que les politiques ne comprennent que très mal le monde du logiciel.
La dernière chose dont nous avons besoin c'est de personnalités politiques dans le logiciel.
Je découvre Pencil Projet qui est un logiciel libre permettant de fabriquer des maquettes d'applications (et de site web). À tester plus en profondeur et éventuellement à intégrer à nos toolbox.
Je viens de lire cet article et je me sens moins seule. La surveillance de masse est le premier élément du contrôle de masse. Le contrôle de masse est le premier élément de l'oppression de masse. L'oppression de masse est le premier élément de l'anéantissement des libertés en masse et de chacun.
Nouveau principe de programmation. Le jeu de mots me plaít.
Tout ceux qui connaissent mon amour du libre et ma haine d'IBM save à quel point je trouve cette nouvelle triste. Voilà
Tout sombre dans le chaos et personne ne semble s’y intéresser.
REPOST !
Le logiciel libre à besoin de vous. Si vous utilisez des logiciels libres mais sans contribuer à ces mêmes logiciels libres (ou à n'importe quel logiciel libre d'une manière générale)... Bah comment vous dire... Simplement... Sans vous offenser... En toute amitié... Connard ? C'est bien ça connard ; non ?
En vrai, lorsque vous contribuez à un logiciel libre qui est également gratuit, vous payer de votre temps ou de votre savoir-faire ce que vous ne payez pas en argent. Tout se paie, mais l'avarice de chacun tue la générosité des autres.
Parfois, proposer des traductions, écrire de la documentation, réaliser des images, des icônes, des sites web, gérer la liste des tickets (doublons, reproductibilité, features), bêta-tester, proposer des nouvelles features, modérer les chats, organiser des événements, financer directement le projet sur ses deniers, trouver des fonds (appel aux dons, démarchage) et tout à la fin de cette liste écrire du code ; c'est aussi tout ça contribuer au logiciel libre.
Et vous, que faites-vous pour rendre le monde meilleur derrière votre écran ?
Chère Union Européenne... Toi qui protège d'abord les riches, puis le business et les citoyens ensuite... Je souhaite de tout mon cœur que mon pays puisse enfin se défaire de ton emprise, tant dans ses Lois, que dans les esprits.
Je suis déjà ton adversaire, mais si tu touches au logiciel libre, une chose qui m'est très chère, alors je deviendrai ton ennemie. #UPR #Frexit
Faut essayer de récupérer le logiciel fiscal
Pour JLD.
Animal, je crois que quelqu'un a fait ton Klasseur...
A search engine designed to search for Linux applications as an alternatives to the ones used in Windows
Parce qu'un logiciel dont on a le code source, vous voyez, il est forcément moi fiable et moins sécurisé qu'un autre dont on n'a pas le code source, comme OpenSSH qui est un logiciel libre super pas sécurisé du tout...
Liste de la stack de logiciels libres de l'état français.
Un outil libre permettant de gérer ses flux kanban.
Pour Animal... Ça se rapproche...