Différents modèles économiques de l'open-source.
Pour Chlouchloutte
Lisez bien cet article, comprenez bien les conditions d'utilisation de ces deux plate-formes :
- de Windows 10 : interdiction d'implémenter un logiciel qui compile en JIT (Just In Time) ;
- de iOS : d'utiliser un autre moteur de rendu que le Webkit fournit par Apple (faut pas avoir de meilleurs perfs que le produits) ;
Et bordel, rendez service à toute l'humanité et cassez-vous de cette plate-forme de merde. Ce sont d'immenses cages dorées qui nuisent à la concurrence, amplifient l'obsolescence programmée, dégradent volontairement les performances et violent votre vie privée.
Pour vous aider : http://www.linuxmint.com/edition.php?id=186
Bon, je suis suis pas une grande fana de Cohen mais ce que j'ai pu lire dans cet article me semble être une rétrospective de bon sens.
Un cours d’ergonomie visuel, simple, rapide, en ligne et gratuit.
Un article sympa de Korben sur un outil dédié à la crypto et son apprentissage (à tester).
Comme choper les processus qui bouffent toutes vos ressources machine.
Un article sympa sur la dette technique
Je démarre ma sélection de postes autour du Craftmanship. C'est partie pour le premier : le DDD.
Les machines ou logiciels qui développent des fonctionnalités pour vous limiter. C'est juste énorme quand on y réfléchi !
Depuis plusieurs années déjà, je travaille dans le secteur informatique (enfin IT médicale, IT financière, IT de gestion et sécurité). Et s'il y a bien quelque chose que je désapprouve, c'est le paradigme de l'usine de logiciels. En effet, des gens ont employé cette métaphore de l'usine pour décrire la façon dont nous produisons nos logiciels, or ce n'est pas du tout adapté !
Prenons l'exemple d'une usine à grille-pain. Concevoir un grille-pain se fait toujours de la même façon et les mêmes pièces se placent toujours aux mêmes endroits. Il y a un plan, on le suit et on peut produire - sans réfléchir - des grille-pains. Cette activité est si peu intellectuelle que la tâche est généralement robotisée. Au contraire, l'édition logicielle est une activité tellement créative que l'on ne code jamais deux fois pareil, deux choses fonctionnellement identiques (car cela dépend du contexte d'exécution). Là où vous adapterez l'environnement de votre grille-pain avec une rallonge par exemple, un logiciel doit embarquer sa rallonge...
À cela s'ajoute autre chose, une défaillance dans la chaine de production implique le retour de milliers de grille-pains, c'est une perte colossale pour l'entreprise. Cependant un bug n'est pas toujours source de problème et peut même faire gagner du temps où de l'argent. D'où le fameux : "it's not a bug, it's a feature".
Non assurément la métaphore est très mal choisie alors pourquoi l'utiliser ? Parce que si nous disions à nos clients que notre façon de travailler est similaire à de l'artisanat ou à un niveau scolaire proche du CAP/BP (je n'ai rien contre les CAP/BP), alors les sociétés de conseil vendraient des prestations nettement moins chères ! Ce à quoi nous préférons vendre des "ingénieurs", bien souvent généralistes, c'est-à-dire n'ayant jamais approfondi les techniques de développement et le génie logiciel. Cependant, un joli Bac +5 est facturé 500 à 1200€/jours... Quid d'un CAP pour le même travail ? Et même si le résultat n'est pas là au moins le commercial aura vendu !
Donc je pense que le paradigme de l'usine n'est pas prêt de disparaître mais je continuerai de revendiquer mon statut d’artisane du code car pour moi, le beau code, c'est une forme d'art qui s'acquière avec de la pratique (immensément de pratique) et non une méthode de production qui s'apprend bêtement. [troll]Sinon ils auraient fait un Windows qui marche depuis longtemps chez Microsoft... :p [/troll]