Il faut bien au contraire traiter avec les paroles pour comprendre leur origine et éventuellement être en mesure d'y faire quelque chose. Interdire l'expression ne résout jamais rien, selon moi.
@Dukeart un grand merci ! Des bisous <3
Vouloir museler l'autre, l'empêcher de s'exprimer, quelques soient ses idées, quelques soient ses paroles, c'est déjà un acte de haine. C'est reconnaître que l'autre n'est pas un humain comme nous et donc qu'il ne doit pas avoir les mêmes droits que nous si vous voulez.
Le retrait de droits à quelqu'un sous prétexte que ses idées et orientations politiques, religieuses ou encore sexuelles ne sont pas les mêmes, c'est juste le B.A.BA de toute bonne dictature qui s'impose, la première pierre à l'édifice de la bien-pensence... Et bizarrement c'est souvent la team-progrès auto-proclamée "de gauche" qui prône le vivre ensemble à tout va qui souhaite ça. Mais il s'agit du vivre ensemble certes, mais uniquement avec ceux qui ont été choisis, sélectionnés, c'est une gauche à la Joseph Staline pas vraiment à la Ambroise Croizat voyez-vous.
Et puis les jeux vidéos violents rendent violent, donc pour sûr que les paroles violentes rendent violent elles aussi, c'est bien connu ! D'ailleurs la notion d'exutoire, c'est-à-dire de soupape permettant d'évacuer la charge mentale ça n'existe pas, assurément. #DétenteurDeLaVéritéVraieUniqueAbsolueEtVéritable
Dessiner le corp un personnage de manga pour faire passer des expressions.
Comment dessiner les expressions du visage ? En fonction que vous soyez de culture occidentale ou orientale, les expressions passeront plutôt par la bouche ou par les yeux. #Fascinant
Voici quelques exemples :
Repartir de zéro implique que l’on recommence une même tâche dans un même but. C’est une nouvelle tentative après un échec.
Son empire s’est effondré. Pour le reconstruire, il est reparti de zéro.
Repartir de zéro pour tout reconquérir est très courageux.
Il n’a pas rencontré le succès escompté et devra repartir de zéro pour y arriver.Repartir à zéro implique que l’on fait table rase du passé pour recommencer, mais dans une tout autre direction. Il n’est donc plus question de nouvelle tentative après un échec, mais de nouveau départ (après une déception, une catastrophe, par exemple).
Sa vie ne lui convient pas. Il aimerait repartir à zéro.
Oublions nos différends et repartons à zéro.
Il voudrait effacer son passé et repartir à zéro.
La Commission Nationale Consultative des Droits de l’Homme explique que la loi de lutte contre la haine en ligne loi de censure des citoyens en ligne n'est pas conforme aux Droits de l'Homme. #PasPossible #TropBluffée #RépubliqueEnMerde
L'autorité qui vise à alerter le Législateur qu'il va à l'encontre des droits les plus fondamentaux dit à ce même Législateur :
- Ton article 1 supprime-le, ça détruit la liberté d'expression.
- Une bonne partie des autres articles, réécris-les ils ne valent pas vraiment mieux que le premier.
Non seulement presque personne n'en parle (merci à Développez.com qui aborde le sujet), mais en plus le Législateur s'en tape !
C'est le pays appelé Le Pays des Droits de l'Homme qui rédige des lois allant à l'encontre des Droits de l'Homme... C'est dans ce pays des Droits de l'Homme que le gouvernement s'en donne à cœur joie et viole les principes et les valeurs les plus fondamentaux.
Vous avais-je déjà dit que faire tomber le symbole de l'universalisme français était un acte fort pour les 1% des 1% ? Vous avais-je expliqué que parvenir à faire mettre genou à terre au pays le plus résistant garantira à cette mafia cosmopolite de pouvoir faire de même avec des pays bien moins résistants ? Vous avais-je expliqué que lorsque l'on a tout pouvoir, on ne raisonne pas en années mais en dynastie, que la question que l'on se pose le matin n'est pas de savoir comment finir le mois ou comment s'enrichir un peu, mais de savoir comment garantir à sa descendance cette place de dominant, ce lot de privilèges et ce sur plusieurs générations ?
Notre Démocratie se meurt. Encore une fois, je vais tâcher d'expliquer autour de moi ce qu'il se passe, d'expliquer que l'on ne combat pas des propos injurieux ou malfaisant par de la censure mais par du dialogue, des arguments irréfutables et de l'éducation. Mais une fois encore, l'état et la plèbe préfère une mitraillette aux milliers de dommages collatéraux - façon HADOPI - que quelque chose de sain.
Voici un exemple de biais cognitif ou d'erreur de raisonnement, ou peut-être de manque de compréhension du concept de liberté d'expression.
La liberté d'expression ne signifie pas dire "l'absence de prise de responsabilité sur ce que l'on dit !"
Je m'explique, nous sommes libres de dire ce que nous souhaitons mais en cas d'insulte, d'injure, de diffamation ou encore d'incitation à la haine, bref toutes ces choses qui peuvent blesser autrui, et bien nous devons répondre de ce que nous avons dit.
Aussi la bonne question est : quel est le motif de l'action en justice de ces suprémacistes blancs ?
Je ne cautionne aucunement les thèses de ces personnes (qui pour moi ont de gros problèmes), mais nous nous devons d'être vertueux de notre côté et ne pas sombrer dans l'injure ou l'agression.
Via Neko
Je discutais du droit à la prise de parole publique des enseignants avec une proviseure de lycée il y a deux-trois mois. Celle-ci me disait qu'il était inconcevable qu'un prof puisse s'exprimer librement même en dehors de ses cours, sur des sujets politiques. Je fus profondément choquée puis je me suis rappelée cette citation :
L'école sera l'antichambre de la caserne.
Jules Ferry
Alors je me suis dite qu'elle tenait parfaitement son rôle de gardienne du pouvoir en place. Salaire élevé, capacité à accumuler les pouvoirs au sein de son établissement (législatif, judiciaire et exécutif), bref qu'elle a du sans même s'en apercevoir, subir un conditionnement.
Et arrive cet Article 1 : les enseignants n'ont plus le droit de critiquer ni leur hiérarchie, ni l'état.
En d'autres termes, ils viennent de perdent intégralement leur liberté d'expression (même après qu'ils n'exercent plus ? Je n'ai pas vérifié jusqu'où porte cet article mais l'obligation de réserve peut perdurer jusqu'à la mort).
Ce qui fait d'eux dans notre société quelque chose de particulier, mais pas des citoyens puisqu'ils ne disposent plus d'une liberté fondamentale.
Reminder Expression Language JSP
Animal, ceci est une forme d'appel pour te rappeler quels sont les enjeux de se bouger le cul...
Cette Minute Papillon est MA-GI-STRALE. Je sais que certain comme Kévin voient en lui un espèce de monstre ou de troll toujours prêt à défendre les causes injustes (un peu façon BHL m'voyez). Pour ma part, je trouve que ces personnes lui prêtent des propos qui ne sont pas les siens.
La cause est juste et le discours aussi bien pensé que tenu !
Le financement des journaux français par l'état. Ou comment on musèle la presse.
Un exemple (surement parmi tant d'autres) de la folie collective post-Charlie Hebdo.
Ou comment les "défenseurs de la liberté d'expression" auront sans le vouloir contribué à l’anéantir.
Rhooooo comment c'est bien expliqué !!! Ca faisait longtemps que je n'étais pas allée sur les potins du quotidien, ça valait le coup d'y revenir ^^.
La liberté d'expression est une notion garantie par la Déclarations des Droits de l'Homme, cependant en France, nous avons surtout le droit de nous taire. En effet chez nous, on censure, on musèle mais surtout pas on accorde le droit de s'exprimer librement sur tous les sujets.
Cette censure se cache derrière les inculpations d'incitation à la haine, à la haine raciale ou dans une moindre mesure au trouble à l'ordre public... La mécanique est simple, puisqu'une communauté proche du gouvernement ne veut surtout pas entendre ou voir quelque chose, cette même communauté va s'arranger pour faite interdire, par la loi, ce qui la dérange. Or comment est-il possible de faire la différence entre le bon et le mauvais si tout est filtré, épuré, censuré ? Comment être certain que ce que l'on censure depuis tant d'années soit bien néfaste et dangereux pour le bien-être de tous ; surtout s'il nous est impossible d'y réfléchir, de se documenter et d'en débattre ?
Sans même sombrer dans l'extrême, il y a encore 50 ans à peine (ndr : nous sommes en 2013), il aurait été impossible d'imaginer le droit de vote pour les femmes. Imaginez une seule seconde que sujet ait été placé sous le couvert de la censure... Ce que nous refusons aujourd'hui sera peut-être le normal de demain sans pour autant que cela soit un mal.
L'argument en faveur de la censure que j'entends le plus souvent est : "la liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres"... Donc si je désire évoquer un sujet qui dérange certains, ces fameux "autres" ont le droit de me faire taire ? (oÔ) En réalité, cela revient à dire que ces personnes disposent de plus de droit que moi. Si ces personnes ne veulent pas m'entendre alors qu'elles ne m'écoutent pas, si elles ne veulent pas me lire alors qu'elles ne me lisent pas !
En fait, ce qui les dérange c'est de savoir qu'il existe une autre personne ne pensant pas du tout comme elles. Non ça c'est trop, il faut la faire taire ! Ils ont pourtant la liberté de ne pas y prêter attention mais préfère ne se focaliser que sur cela. Le pire c'est que ce genre d'individus se posent hypocritement en défenseurs des droits fondamentaux et comment ? En bridant, en muselant, en censurer la "mauvaise" parole, celle qu'on ne veut surtout pas laisser dire.
Faire l'apologie du nazisme (point Godwin), de la violence ou de la pédophile c'est horrible, néfaste, à vomir ! Et oui, des personnes peuvent se laisser convaincre par ces thèses immondes comme l'a démontré un abruti moustachu qui agitait les bras très fort ; mais je me demande surtout combien de personnes se laissent convaincre parce qu'elles ont en elles, la pression considérable de vouloir dire quelque chose, la volonté de faire sortir une idée, même bénigne et que l'état le leur interdit. Ces personnes là, à terme, passent à l'acte, bien silencieusement et sans rien dire...