Je recopie :
Ces trois graphies représentent conventionnellement trois « interjections » distinctes, qui ne correspondent en réalité dans la langue orale qu'à une seule exclamation, [o], prononcée comme un o plus ou moins explosif, plus ou moins fermé et plus ou moins long. Les valeurs que l'on attribue par tradition à ces trois graphies sont les suivantes.
Ô (avec un accent circonflexe ; n'est jamais suivi immédiatement d'un point d'exclamation) sert à interpeller, à invoquer un être ou une chose, ou à souligner, dans un registre littéraire et emphatique, l'expression d'un sentiment intense (admiration, joie, douleur, etc.) : « Ô rage ! ô désespoir ! ô vieillesse ennemie ! » (Corneille). « Ô inquiétudes nouvelles ! » (A. Gide). « Ô trois fois chère solitude » (A. de Musset).
Oh (toujours immédiatement suivi d'un point d'exclamation) marque la surprise, l'admiration, la supplication, l'indignation, l'hostilité, le dégoût, etc. ; sert à souligner une affirmation, une émotion, une restriction ; sert à appeler ou à interpeller : « Oh ! C'est curieux... Je n'aurais jamais cru » (Colette). « Oh ! La bonne odeur de soupe au fromage » (A. Daudet). « Oh ! mon père, grâce ! pardonnez-moi » (P. Mérimée). « Oh ! Jouissons encore un peu, naïvement, de ces beaux actes ! » (P. Valéry). « Enfants ! Oh ! Revenez ! » (V. Hugo).
Ho (toujours immédiatement suivi d'un point d'exclamation) sert à appeler, à interpeller : ho ! qui va là ? ; ho ! hisse !
On voit que les différences qui séparent ces trois interjections sont minimes.
Je résume l'idée :
1) "Will" s'utilise pour les prédictions (il va pleuvoir), l'expression d'une caractéristique (le fer va rouiller sous la pluie) et la volonté (je ne ferai pas ça).
2) "Shall" s'utilise pour exprimer une contrainte (vous ne passerez pas) ou une suggestion (est-ce que tu veux de l'aide).
Prenons deux exemples :
-
Will we see each other again ?
- Traduction : Nous reverrons-nous ?
- Sens : c'est une simple question.
-
Shall we see each other again ?
- Traduction : Est-ce qu'on pourrait se revoir tous les deux ?
- Sens : j'aimerai que nous nous revoyons, est-ce que ce serait possible ? (c'est là qu'émerge la notion de suggestion/contrainte)
En espérant que ça puisse aider quelqu'un.
Repartir de zéro implique que l’on recommence une même tâche dans un même but. C’est une nouvelle tentative après un échec.
Son empire s’est effondré. Pour le reconstruire, il est reparti de zéro.
Repartir de zéro pour tout reconquérir est très courageux.
Il n’a pas rencontré le succès escompté et devra repartir de zéro pour y arriver.Repartir à zéro implique que l’on fait table rase du passé pour recommencer, mais dans une tout autre direction. Il n’est donc plus question de nouvelle tentative après un échec, mais de nouveau départ (après une déception, une catastrophe, par exemple).
Sa vie ne lui convient pas. Il aimerait repartir à zéro.
Oublions nos différends et repartons à zéro.
Il voudrait effacer son passé et repartir à zéro.
Cela fait bien trois ans que je recherchais ce post !!! Et je l'ai retrouvé sur 9gag, incroyable.
Exception n°4 :
Sauf si un adverbe de quantité le précède. D’abord, une petite règle qu’on connaît tous : un participe passé construit avec le verbe avoir s’accorde avec le COD s’il est placé avant le verbe : « les mensonges que j’ai prononcés ». Jusque-là, tout va bien.
Lorsque le participe est précédé du pronom personnel « en », on considère que « en » est neutre, et le participe est invariable : « les mensonges, j’en ai prononcé ». Ça se complique, mais ça reste gérable.
Mais attention : si un adverbe de quantité (autant, combien, moins, trop…) précède le « en », le participe passé s’accorde : des mensonges, combien en as-tu prononcés ? Oui, là on accepte d’entendre parler réforme de l’orthographe.
Et qui montre comment écrire une calculette en JavaCC. Je commence à comprendre. Prochaine étape, une mise en gras en markdown ! uhu
Pour faire le lien entre une grammaire du type :
S -> aA
A -> bA | ^
Il faut comprendre que les terminaux (ici 'a' et 'b') représentent les transitions alors que les non-terminaux ('ici 'S' et 'A') représentent les états de l'automate de parsing.
Je vous renvoie à la page 28 > Preuve du théorème 6 > petit (2) > Exemple.
Je suis en train de me remettre au parser / lexer. Cette article (enfin ce cours en PDF) reprendre à partir de la page 47 les techniques de réductions d'automate à état fini qui peuvent parser des grammaires hors contexte.
Je le bookmark pour mémoire.
Les éléments de la syntaxe Markdown expliqués par LinuxFR. Je fais un résumé ci-dessous pour vous permettre d'en extraire une grammaire (et pour me permettre aussi d'en extraire une grammaire).
Les caractères spéciaux
Ceux qu'il faut copier-coller (où alors se servir de la syntax HTML &xxx; :
æ Æ à À â Â ä Ä
ç Ç
€ é É è È ê Ê ë Ë
î Î ï Ï
œ Œ ô Ô ö Ö
ù Ù û Û ü Ü
ÿ Ÿ
¹ ² ³ ⁴ ⁵ ⁶ ⁷ ⁸ ⁹ ⁰
½ « » ~ # @ … ‰ € – —
L'écriture scientifique
Elle doit reposer sur la syntaxe LaTeX.
Les titres
L'entrée en Markdown :
# Titre de niveau 1
## Titre de niveau 2
### Titre de niveau 3
#### Titre de niveau 4
##### Titre de niveau 5
Titre de niveau 1
=================
Titre de niveau 2
-----------------
Fin de la section titre
=======================
La sortie en HTML :
<h1>Titre de niveau 1</h1>
<h2>Titre de niveau 2</h2>
<h3>Titre de niveau 3</h3>
<h4>Titre de niveau 4</h4>
<h5>Titre de niveau 5</h5>
<h1>Titre de niveau 1</h1>
<h2>Titre de niveau 2</h2>
<h1>Fin de la section titre</h1>
La mise en forme textuelle :
L'entrée en Markdown :
_italique_ ou *italique*
__gras__ ou **gras**
`chasse fixe`
~~barré~~
Mon texte sans \_mise\_ en \*\*forme\*\*.
La sortie en HTML :
<p><em>italique</em> ou <em>italique</em></p>
<p><strong>gras</strong> ou <strong>gras</strong></p>
<p><code>chasse fixe</code></p>
<p><del>barré</del></p>
<p>Mon texte sans _mise_ en **forme**.</p>
L'affichage de codes sources :
L'entrée en Markdown :
```java
public class Test {
public static int main(String[] args) {
System.out.println("Sa race !");
}
}
\```
La sortie en HTML :
<pre>
<code class="language-java">
public class Test {
public static int main(String[] args) {
System.out.println("Sa race !");
}
}
</code>
</pre>
L'affichage d'un texte brut :
L'entrée en Markdown :
\```
Ceci est un texte qui n'utilise pas
un langage de programmation en
particulier.
\```
La sortie en HTML :
<pre>
<code>
Ceci est un texte qui n'utilise pas
un langage de programmation en
particulier.
</code>
</pre>
Les citations :
L'entrée en Markdown :
> Itaque verae 1
> Itaque verae 2
> Itaque verae 3
La sortie en HTML :
<blockquote>
<p>Itaque verae 1 Itaque verae 2</p>
</blockquote>
<blockquote>
<p>Itaque verae 3</p>
</blockquote>
Pour Chlouchloutte et Animal.
Dès qu'il y a une notion de mouvement = > il faut dire "je suis allé(e)".
Dès qu'il n'y a pas de notion de mouvement => il faut dire "j'y ai été" ou plus simplement "j'y étais".
Je ne sais pas si j'aime le français, mais les petites astuces de notre langue m'amusent. Aujourd'hui, nous allons voir comment déterminer s'il y a un accent dans un mot et s'il doit être grave, aigüe ou circonflexe.
La règle est simple,
1) Si un E est suivit d'une consonne puis d'un autre E, alors il y a un accent.
2) Si le second E est muet, alors l'accent sera grave ; sinon il sera aigüe.
3) Si le mot possédait un S entre le premier E et la consonne, alors l'accent sera circonflexe.
Exemples :
- Cas 1 la "mer". Il n'y a pas de second E donc pas d'accent.
- Cas 2a, une "mère". Il y a un E suivit d'une consonne (un R) et un autre E qui est muet. Donc l'accent est bien grave.
- Cas 2b, "me trompé-je". Le second E n'est pas muet, l'accent est donc aigüe.
- Cas 3, la "tête". Dans notre langue cousine, l'italien, le S est toujours présent (testa), idem en latin donc il y a un accent circonflexe.
Spéciale casse-dédie à Animal :D