Pour ceux qui n'ont jamais pris le temps de s'intéresser au sujet européen, cet entretien clair et argumenté répond à de nombreuses questions.

La nouvelle idée pourrie de notre cher ministre.

Tout un tas de fichiers de données produits par le gouvernement librement accessibles. Il n'existe cependant pas d'outil de consultation standardisé.

Les forces de l'ordre en marche forcée ?

Morceau choisi :

Les syndicats de police devraient siffler la fin de cette opposition entre population et police, créée de toute pièce par ce gouvernement qui ne veut surtout pas écouter le mouvement social ni négocier, parce que ce qu’ils veulent c’est réformer, donc c’est un dialogue de sourds. Le problème avec ces gens qui doivent tout à ce gouvernement, c'est que ce sont devenus des valets aux ordres et qu'ils entraînent toute leur institution dans leur soumission. Mais il faut cesser de traiter les manifestants comme des terroristes, il faut cesser d'aiguillonner le peuple, la France est un pays de culture insurrectionnelle et on ne sait jamais jusqu'où ça peut aller. Cette dynamique est palpable actuellement. Il faudrait des démissions en masse pour arranger tout cela et la première, ce serait celle de Castaner.

Les syndicats en prennent là aussi pour leur grade, vendus qu'ils sont. Les agents des forces de l'ordre restent des être humains (si si je vous jure), et le gouvernement ne pourra pas les utiliser à son gré ad vitam æternam. Un jour, le plus tôt sera le mieux, eux aussi n'en pourront plus et jetteront casques et boucliers.

Et alors ce jour là ...

Quand la clique médiatique fait jalouser la pravda...

#LeFilDActu

C'est le gros bordel en Italie !
Le président de la république italien bloque la création du gouvernement de coalition, sous le seul prétexte que le candidat présenté pour être ministre des finances ne lui convient pas. En effet, cet ancien du MEDEF italien de 81 ans est un fervent partisan de la sortie de l'Italie de l'euro.
Hors le président ayant reçu ses ordres de Bruxelles, il ne laissera pas un gouvernement euro-critique accéder au pouvoir. Ce qui risque de mener droit à de nouvelles élections, en renforçant les partis déjà majoritaires.

De plus, Luigi Di Maio, le chef du Mouvement 5 Etoiles, envisage d'invoquer l'article 72 de la constitution italienne, afin de lancer la destitution du président de la république.

Cette histoire est ni plus ni moins qu'un déni total de démocratie, étant donné qu'une majorité absolue d'Italiens soutiennent le gouvernement. Les mauvais perdants de l'UE s'accrochent tant bien que mal à leurs chimères.

Bref. On n'a pas finit d'en entendre parler.