What is the first thing that comes to mind when you think of an evergreen tree?
Perhaps the smell of pine.
Or a wooded trail by a babbling brook.
Or maybe even Christmas.
However, for one member of the Board of Education in Portland, Oregon, the first thing that comes to mind is racism.
Je vous laisse découvrir pourquoi le Conseil d'une école de Portland (Oregon) n'a pas pu adopter l'arbre à feuilles persistantes comme logo.
L'absurdité élevée au rang d'art.
Note : pour ceux qui veulent des références sur le racisme de Woodrow Wilson, il y en a une tartine sur cette page wikipedia dédiée.
On n'arrête pas le progrès.
Je vois déjà la prochaine évolution : "Et maintenant votre vibrateur convertit la facture en code Morse pour votre plus grand plaisir."
Bon appétit.
@Antichesse Il est temps de te reconvertir. Cassoulet pour tout le monde !
Une infographie qui permet de comparer la valeur totale de différentes choses comme :
Il faut bien garder en tête que chaque petit carré représente 100 milliards de dollars américains.
Le raffinement d'internet dans toute sa profondeur.
Parce qu'il faut de tout pour faire un monde, même ZeroHedge accueille des avis Macroniens ultralibéraux, qui distillent leur propagande capitaliste eurobéate égoïste.
Tout d'abord, Facebook est un outil privé. Il ne vous doit rien du tout. Et surtout pas le droit fantasmé à la liberté de parole.
Si quelqu'un entre chez vous, il doit se conformer à vos règles de bonne conduite, au risque de se faire mettre à la porte sans autre forme de procès. Son invocation de la liberté de parole n'a aucun sens dans ce cas.
Sur Facebook non plus.
Ensuite, le fait qu'un gouvernement intervienne sur ce qu'il est admis ou non d'écrire sur une plateforme privée est-il de la censure ? Dans un sens oui. La limitation arbitraire des propos de la population par son gouvernement est une atteinte à la liberté de parole. De plus, la limitation des propos des utilisateurs d'une plateforme privée n'a que peu de sens. Quand une page Facebook "privée", c'est à dire visible par une sélection restreinte de personnes, affiche des propos controversés, ceux-ci entrent-ils dans le cadre d'une conversation privée ? Quand une page Facebook "publique" fait de même, les propos doivent-ils être contrôlés, alors même qu'ils se situent sur un site web privé ? Etant donné que Facebook fait son beurre sur les données personnelles de ses utilisateurs (conversations incluses), ne peut-on pas considérer que le seul et unique propriétaire des données et des conversations est Facebook ?
On sait depuis des décennies, sinon depuis plus longtemps encore, que seuls les systèmes distribués sont garants à la fois de la durabilité du réseau, et de l'indépendance de chacun des noeuds qui le constituent. Ce genre d'architecture est implémenté dans beaucoup de systèmes : internet, réseau électrique, GSM, ...
A l'inverse, il existe des systèmes centralisés, dont les objectifs sont tout autres (voire à l'opposée des systèmes distribués). Ils servent à concentrer les ressources en un point unique, dans un objectif de contrôle, de référencement, de comptage ou que sais-je. Télévision, Minitel, et en particulier sur internet : des sites comme google, youtube, facebook, amazon, ...
Je recommande d'ailleurs de visionner la conférence de Benjamin Bayard sur le minitel 2.0, où il explique bien les risques de la centralisation des services sur internet.
Ça me fait doucement rire de voir certains s'offusquer que Facebook ou le gouvernement s'immiscent dans leurs discussions, alors que ces gens donnent volontairement tous les détails de leur vie à des entreprises privées (GAFAM et autres).
Les solutions décentralisées de communication existent. Il faut juste prendre un peu de temps pour se créer une instance.
There are few people in this world more odious than French President Emmanuel Macron after his behavior this week. I’m sure there are child molesters who are worse. But as a man who is pivotal in the future of hundreds of millions of people, his decision to order the French military to quell the Yellow Vests protests with live ammunition is simply vile.
Encore une fois, c'est dans la presse étrangère que l'on voit les meilleurs analyses du mouvement des Gilets Jaunes.
Quand les sangsues se reproduisent avec des hyènes, on obtient Macron et son gouvernement de collabos, le tout supporté par les députés godillots LREM.
Pour ceux qui se demanderaient ce que ressentent les Millenials, je ne résiste pas à l'envie de traduire les 20 causes majeures de stress selon ceux-ci :
I am sorry, but if “slow WiFi” is one of your biggest problems in life, then you actually have it pretty good.
L'auteur se demande légitimement comment les snowflakes pourront survivre aux vrais problèmes quand ils se produiront. Je recommande la lecture de l'article.
Suite à cet article, dans lequel il était question de l'augmentation du salaire minimum en Pennsylvanie à 15$ de l'heure, le présent article évoque les représailles des entreprises envers les salariés, afin de limiter leurs pertes dues à cette augmentation du taux horaire.
Comme il n'existe pas d'équivalent de notre CDI (lui aussi en voie de disparition) aux Etats-Unis, les grandes entreprises (comme Whole Foods qui est pris comme exemple dans l'article) gèrent cette intrusion dans leur vie économique d'une façon qui révulserait n'importe quel Français ne faisant pas partie des 1%. Ou en tout cas ça devrait.
L'entreprise a décidé rien moins que de compenser la hausse du salaire minimum par une baisse du nombre d'heures travaillées dans toutes ses filiales, pour tous ses salariés :
Les salariés ne bénéficient donc pas du tout de l'augmentation du taux horaire, voire même perdent de l'argent car les heures en moins surpassent la hausse du taux. Cela vient appuyer l'argument fallacieux très répandu outre-atlantique selon lequel augmenter le salaire minimum fait perdre de l'argent aux travailleurs. Et bien sûr, les salariés doivent faire le même travail en moins de temps.
Pour instaurer un semblant de protection des travailleurs, certaines juridictions, comme les villes de Seattle et San Francisco, ont voté des lois empêchant les entreprises de diminuer le nombre d'heures suite à l'augmentation du taux horaire minimal. Comme il s'agit d'initiatives purement locales, on imagine bien la galère lorsqu'il s'agit d'aller chercher du boulot dans le comté voisin, voire un état limitrophe.
La prochaine fois que vous entendrez parler de la suppression du CDI en France, dîtes vous bien qu'il s'agirait ni plus ni moins que d'un retour à une précarité que nos grand-parents avaient combattu férocement.
Toutes les réformes sociales et professionnelles acquises de haute lutte après la guerre méritent qu'on se battent pour elles.
L'histoire humaine n'est qu'un éternel recommencement. A croire que l'humanité n'apprend jamais de ses erreurs.
L'auteur fait la comparaison de l'histoire humaine avec deux films : La journée de la marmotte et le Truman Show. Il amène très finement l'article vers le cas des gilets jaunes. Le constat est bien fait je trouve, et résume bien l'ambiance actuelle (média, gouvernement, répression policière, population).
La situation pré-insurrectionnelle est décrite comme faisant partie d'une suite logique d'événements, qui auraient pu parfaitement être évité si tant est que les zélites aient eu la moindre envie de servir le bien commun au lieu du leur propre.
Both that the police are purposely inflicting life-altering injuries andthat their President (Macron) implicitly and explicitly endorses these tactics and expresses zero concern for those injured. After several months of protests, he’s not yet visited a single injured person in the hospital or put any limits on the police's suppressive tactics.
La plupart du temps j'aime bien ZeroHedge, parce qu'ils relaient différentes news et points de vue, et souvent bien en avance par rapport aux autres médias.
Le point de vue développé ici est celui du Républicain américain typique.
Le gouverneur de Pennsylvanie souhaiterait que le salaire minimum augmente pour atteindre 12 USD en 2019, puis augmente de 50 centimes par an jusqu'en 2025 pour atteindre 15 USD. L'auteur de l'article s'emploie alors à argumenter contre cette mesure. Et les arguments valent leur pesant de cacahuètes :
Bref. Des arguments qui n'en sont pas, ou qui sont balayés très facilement par le simple bon sens :
Et je pourrais continuer longtemps.
Mais que faut-il espérer de gens nourris au rêve américain et à la théorie du self-made man ? Quand j'entends des gens en France tenir aussi ce genre de discours, je me dis qu'on devrait les faire travailler dans un fast-food à 5 euros de l'heure, juste pour voir si et en combien de temps ils changeraient d'avis.
To english speakers who want to understand what is happening in France for two month.
Theresa May aurait-elle sciemment négocié un deal foireux avec l'UE dans le cadre du Brexit à seule fin d'assurer une victoire du remain en cas de second referendum ?
Attention : pour ceux qui prévoient d'aller aux Etats Unis, je rappelle que la fouille des objets électroniques est autorisée à la douane. Elles ont lieu dans environ 1% des cas, ce qui n'est pas rien.
Aussi pour protéger sa vie privée, il faut autant que possible :
En effet, les douaniers peuvent effectuer des fouilles approfondies des appareils, en y connectant leur matériel qui aspire les données des téléphones, ordinateurs ou autres. Si l'appareil est connecté à Internet, les douanes pourront aussi accéder aux données en ligne.
Après la machine à burger, voici le robot Flippy. Celui-ci est destiné à retourner les steaks, et plus généralement à effectuer tous les gestes "mécaniques" réalisés par des êtres humains (retirer les frites de l'huile, les secouer, les mettre dans le bac prévu, assaisonner...).
Bientôt, les fast-foods n'auront plus que deux employés : la personne qui recharge les ingrédients, et la personne qui fait la maintenance des machines. Car comme il est dit, le robot fait l'objet d'un achat unique et se contente d'une maintenance minimale. Pas de sécurité sociale à payer, ni de cotisations de quelque ordre que ce soit. Pas de congés, de primes de risques, d'heures de nuit, d'assurance accident ou d'arrêt maladie.
La compétition s'annonce difficile.
#Enjoy
La commission européenne fait de plus en plus pression sur la Suisse, afin de la contraindre quant aux choix de société qu'elle effectue. C'est du chantage pure et simple.
Dernièrement, les Suisse devaient se prononcer par référendum et dire s'ils acceptaient ou non que leur constitution soit considérée comme prévalent sur le droit international. Je rappelle que c'est la situation en vigueur en Allemagne, et c'est un cas unique en Europe.
Suite à des pressions de toutes sortes, et notamment des grandes entreprises suisses, qui craignaient d'être écartées de l'accès au marché commun, les suisses ont donc voté non en majorité à cette votation.
L'article cite d'autres exemples. Et la seule raison qui fait que la Suisse n'est pas encore totalement à la merci de l'UE, c'est leur système de démocratie directe avec votations, qui fait que les parlementaires ne peuvent pas prendre de décisions contre l'avis du peuple.
Sans ça, cela ferait bien longtemps que les Suisses se seraient fait escroqués de leur souveraineté comme nous.
Pour faire suite à ce post où un DSI explique qu'il s'est fait bannir du cloud de Google par un robot, je poste ceci comme une nouvelle illustration de l'effarante stupidité des robots, et des risques que ça engendre pour notre vie quotidienne à court terme.
Car pour une info comme celle-ci qui est relayée par certain média, il existe des centaines de cas de censures dus à des robots qui ne seront jamais rendus publics.
Mais eh! Les réseaux sociaux sont nos amis qu'ils disent !
Petit à petit, l'idée fait son chemin. L'Italie sortira-t-elle de l'euro avant que la musique ne s'arrête?
Et pendant ce temps en France...