Très bon article de Slate. Je me suis amusée à remplacer le mot "touristes" par "immigrés" et l'article s'est immédiatement transformé en pamphlet pro-RN. Sauf qu'un touriste dépense de l'argent, n'exploite pas les systèmes sociaux et repart chez lui ; quid de la fameuse criminalité ? Je ne sais pas je n'ai aucune stats dans les deux cas.
Je sais par contre que le touriste ne nous menace pas lorsque nous ne sommes pas habillées ou que nous ne nous comportons pas comme dans sa culture à lui. Au contraire, il vient nous voir telles que nous sommes.
Mais peu importe car les touristes poseraient des problèmes d'infrastructures et de bio diversité par leurs "vagues" mais pas les migrants qui pourtant restent. C'est étrange puisqu'un toursite est un immigré à caractère temporaire.
De fait mon esprit est confus... Ou alors le problème est bien le même mais il est moralement interdit de vouloir défendre sa terre face à la misère comme il le serait permis face au développement économique...
Dans les deux cas, c'est profondément injuste pour les masses prolétaires dont je suis issue et qui sont mon seul combat.
J'avais lu que la richesse d'un peuple était trois choses :
- Sa culture et son peuple
- Son patrimoine matériel et économique
- La qualité de ses lois et ses traités
C'est trois choses mettent des siècles à se construire et à se développer. Des peuples n'y sont jamais parvenus en 2000 ans c'est dire !
La richesse est manifestement un phénomène aussi rare que gagner à l'Euro-millions, mais certains voudrait cramer toute la richesse accumulée avec n'importe qui et pour n'importe quelle raison parce qu'il y en a beaucoup.
Certes mais comme toute chose rare, elle n'est pas infinie et nos enfants n'en profiteront assurément pas.
Merci @nonymous pour le lien.
@Sebsauvage je ne pense pas que le problème soit la quantité mais l'intégrabilité des personnes.
Prenons deux exemples pour comprendre
1) Paris accueille du jour au lendemain 1 000 000 de Japonais. Immédiatement les rues seront plus propres mais les jeunes-filles devront faire attention aux caméras sous leurs jupes. Les ventes de manga hentaï, de baguettes et de poisson cru vont exploser mais globalement le taux de criminalité et d'incivilité aura fortement baissé.
2) Paris accueille du jour au lendemain 1 000 000 d'Afghans. Immédiatement les femmes non-voilées se feront agressées dans les lieux où les Afghans seront majoritaires. Les homosexuels devront se cacher et les athées subiront des menaces qui les pousseront à fuir ou se convertir de force (et ça n'est pas une blague les Talibans ne veulent vivre qu'entre fanatiques).
Pourtant c'est bien la même quantité de personnes qui aura été importée. La différence vient de la culture de ces personnes. En effet, l'une des deux est profondément incompatible avec l'ouverture traditionnelle française, l'autre ne l'est pas.
Pour avoir suivi quelques débats avec la droite nationaliste (à ne pas confondre avec l'extrême-droite), la question migratoire ne porte jamais sur le nombre d'immigrés mais sur le filtrage des immigrés.
Le thème de la quantité est un fantasme de gens de gauches qui "établissent que tout ce qui est à droite du centre est l'extrême droite, et qui ne débattent pas avec l'extrême droite, mais qui prétendent que l'ouverture et la tolérance aux autres sont leurs valeurs fondamentales"...
En substance voici les arguments
1) Ceux qui immigrent de manière illégale prennent la place de ceux qui respectent nos Lois et passent par la procédure normale. Il faut donc expulser les fraudeurs et privilégier les gens respectueux et honnêtes.
Il faut aussi comprendre que les vagues migratoires sont des armes de déstabilisation que les pays utilisent entre-eux dans leurs affrontements quotidiens. Cf. l'histoire de l’Île Lampedusa et où les ONG ont encore une fois servi de façades à ces offensives (offensive ici financée par l'Allemagne apparemment, car l'UE c'est la paix).
2) Il faut sélectionner les candidats. Si l'on n'invite pas n'importe qui à séjourner à son domicile personnel pourquoi le ferait-on au niveau national ? A contrario notre pays connaît ses besoins et ses lacunes et pourra prioriser ceux qui le compléteront et l'enrichiront vraiment. Ça ne sert à rien d'accepter quelqu'un qui finira sans travail et devra vivre une vie de crime pour survivre.
3) Dans la sélection, il faut avant-tout identifier les personnes dangereuses, car profondément incompatibles la structure nationale (par exemple le respect des femmes, des homosexuels, etc) et qui seraient prêts à commettre des crimes ou des attentats pour y mettre un terme.
4) La France a beau être un pays riche, elle vit à crédit d'une part et ne peux accepter toute la misère du monde d'autre part.
Donc arrive forcément un temps où il faut choisir entre nos enfants et ceux des autres. Bienvenue dans la réalité, ce monde est cruel et nous avons beau avoir l'un des plus beaux cerveaux de la création, in fine, ça reste manger ou être mangé.