Le principal défi est finalement de réussir à faire comprendre aux gens les tenants et aboutissants de notre appartenance à l'Union Européenne, sans être trop technique ni trop long.
L'avantage énorme dont disposent les eurofanatiques est de disposer de phrases simplistes et d'explications courtes et percutentes. Des choses du genre "l'union fait la force", ou "quelle chance d'avoir cet espace d'échange sans frontières ni contrôles". Ou encore "l'euro est une monnaie forte qui nous permet d'acheter des produits étrangers à bas coût".
Bien sûr, dès qu'on gratte un peu le vernis, on s'aperçoit que que tout cela n'est que de la poudre aux yeux, et que seuls les grands intérêts financiers s'y retrouvent, au détriment des citoyens des nations européennes, qui soutiennent cette construction européenne sans vraiment comprendre pourquoi.
En résumé :
Quand j'écoute tout ça, je me pose sérieusement la question de la pertinence d'acheter en ce moment ...
Cette compilation d'articles du Parisien disant que "C'est le moment d'acheter !" est savoureuse.
Par contre, pour l'outil de comparaison de la rentabilité entre l'achat et la location, j'ai l'impression que ça ne mesure que l'argent dépensé à une date donnée. Sauf que dans le cas d'un achat, à une date donnée, il y des dépenses certes, mais il y a également le patrimoine accumulé (i.e. le principal remboursé du prêt) qui devrait compter comme un actif.
J'ai peut-être regardé la vidéo un peu vite, mais je ne crois pas que cela ait été mentionné dans le calcul des courbes de l'outil.
Après le Communisme, le Capitalisme, le Catholicisme et autres "-ismes", est venu le temps du Journalisme.
Analyse de la tendance en matière immobilière. Taux d'intérêt, inflation...
Pour ceux qui n'ont jamais pris le temps de s'intéresser au sujet européen, cet entretien clair et argumenté répond à de nombreuses questions.
Jacques-Marie Bourget parle du métier oublié de journaliste, et de l'implication totale qu'il requiert.
Pour info, voici la charte de Munich, que les "journalistes" semblent avoir oublié.
Une description acerbe de l'impuissance généralisée des personnages politiques ainsi que des citoyens Français, dans le contexte européen. La démission des politiques et des hauts fonctionnaires, l'abandon de toute volonté de se battre pour les intérêts de leurs concitoyens sont très bien évoqués. On sent cette colère mêlée de frustration des gens qui voient la maison tomber en ruine dans l'indifférence la plus complète de ceux qui pourraient y remédier.
La standardisation de la pensée et la disparition de la diversité idéologique en politique sont l'un des maux évoqués.
Bon entretien et diagnostique. Malheureusement quand Berruyer demande à l'invité pourquoi il ne souhaite pas sortir de l'Euro malgré le constat d'échec avéré qu'il fait lui-même, celui-ci ne donne aucun argument.
Bref. Le dogme l'emporte encore une fois.
Inflation, chômage, pauvreté, imposition, propagande, etc
La citation de Myret Zaki que j'aime bien : "Il n'y a pas de complots. Il n'y a que des intérêts."
Entretien de Olivier Berruyer avec Jacques Sapir au sujet du protectionnisme. Une doctrine très largement méconnue et trop souvent dénoncée à tord.
Entretien de Olivier Berruyer avec Aude Lancelin au sujet du panier de crabes qu'est devenu le monde des médias.
Je souhaite vraiment que toute cette presse univoque prostituée aux milliardaires et aux GAFAM disparaisse sans laisser de traces.
Inclus dans cet entretien : un épisode de la vie de l'invitée, laquelle a osé commettre un article sur BHL, comment cet article a fait le tour du monde, et quelles ont été les conséquences pour elle.
Frédéric Farah :
La zone euro n'a jamais été une zone économiquement dynamique, et a toujours été le passager clandestin de la mondialisation parcequ'elle a toujours attendu la croissance soit des Etats-Unis soit des émergents, et jamais de chez elle.