@Sebsauvage non les parents que tu qualifies de "reac" pour certains, ne sont pas contre l'éducation sexuelle à l'école pour la grande majorité d'entre-eux.
Pour ma part et avec tout ceux à qui j'ai parlé, nous sommes contre :
- La propagande trans qui fait croire aux enfants qu'on peut être piéger dans son propre corps ou encore que le sexe et le genre seraient deux choses distinctes alors que rien ne le prouve.
- À l'exposition trop tôt au concept de sexualité, c'est-à-dire avant 13 ans soit l'âge légal de raison.
- À l'exposition à du contenu jugé pornographique aux enfants de moins de 16 ans parce que des profs sont en roues libres (je considère que 16 c'est bon, d'autres c'est 18 mais chacun évolue comme il veut avec son temps).
À l'opposé, nous sommes tous pour :
- L'explication du fonctionnement des organes reproducteurs notamment le cycle ovarien très utile pour les filles à partir de la 4e / 3e.
- L'explication des méthodes de contraception et de leur bénéfice/risque respectif.
- L'explication de la parentalité, des contraintes/problèmes que représentent un bébé/enfant surtout trop tôt dans la vie.
- L'explication du consentement.
- L'explication du viol.
- La sensibilisation aux pratiques de manipulation/abus/perversion et comment s'en sortir, aider et se faire aider.
- La sensibilisation aux violences sexuelles notamment celles à domicile, à l'école et au travail, dont la pédo-prédation.
- La mise en place de cellules dans tous les établissements ayant pour but d'aider les ados ayant une sexualité hors-norme comme l'homosexualité ou ayant d'autres problèmes comme une transsexualité. Cependant il ne s'agit pas là d'en faire un cours à tout le monde mais bien d'avertir les ados qu'on peut les accompagner et les soutenir de manière anonyme et gratuite le temps qu'ils soient majeurs ou émancipés (voire plus si besoin).
Aucun problème avec tout ça, c'est fou non ? Je dois être une grosse fasciste...
Or, en se focalisant sur le premier point, la gauche progressiste s'affolant toujours un peu plus à grands coups de pathos, insulte sans vergogne de "reac" tous ceux en désaccord avec elle.
C'est un bien bel amalgame qui est en train de tuer la vraie gauche et donc lui enlever tout ce qui compte : la lutte des classes.
Bref l'éducation sexuelle à l'école aucun problème, l'embrigadement de la jeunesse dans des théories particulièrement délétères comme la transidentité, non.
Je vais me faire l'avocate du diable mais une contradiction ressort des écrits me semble-t-il.
Le titre est :
Non, ça n'est pas plus facile pour les femmes de coucher que pour les hommes
Or la conclusion de GuiGui est :
Je trouve cet avis intéressant. Si je résume, les freins à des plans cul à l'initiative des femmes viennent d'une auto-restriction liée à la culture et à leur évaluation négative du plaisir qu'elles en retireront et de l'atteinte à leur image selon la culture en vigueur. Les freins à des plans culs à l'initiative des hommes viennent d'un refus féminin causé par l'évaluation négative féminine sus-citée.
Donc si les femmes n'ont pas de plans culs c'est parce qu'elles le choisissent, et si les hommes n'ont pas de plan cul c'est parce qu'ils ne peuvent que suivre le choix des femmes qui s’auto-restreignent ?
=> Si l'un a le choix tandis que l'autre non, alors n'est-il pas plus facile pour une femme de coucher quand elle le souhaite finalement ?
Je précise ma pensée, il n'est pas question ici de la "qualité des rapports" ou encore de considérer "la prise de risque" mais uniquement du fait d'être en capacité d'avoir des rapports aussitôt qu'on le voudrait.
Car dire "je ne peux pas faire quelque chose car je ne veux pas en prendre le risque" et dire "je ne peux pas faire parce que je n'en ai pas les moyens" ce n'est pas la même chose. Dans le premier cas il y a une capacité de décider, tandis que dans l'autre cas il n'y a aucune capacité du tout.
Les relations hommes-femmes sont asymétriques depuis que nous nous sommes redressées sur nos deux jambes (nos organes sexuels n'étant plus exposés au regard de tous et "moins facilement atteignables" pour les violeurs).
A cet instant nous avons acquis la capacité de sélectionner nos partenaires, et plus notre société se développa et plus notre capacité de les sélectionner s'accrut conséquemment. Ce fût une très bonne chose pour notre espèce, d'autant que, je le rappelle, les hommes sont biologiquement des parasites, et pouvoir choisir son parasite c'est quand même mieux :P #Troll
Je n'ai encore jamais donné mon avis sur tout ce qui était polyamour, mais sachant que je fus trompée un certain nombre de fois et avec une bonne partie de "mes partenaires", je vais quand même tenter de donner un point de vue en faveur de la monogamie en tâchant de mettre de côté les émotions..
1. Les hommes sont des parasites
Derrière ce titre putaclic se trouve une réalité biologique, les mâles humains, pour se reproduire, ont besoin de profiter du corps d'un autre être vivant (une femelle humaine) qui va apporter à leur descendance tout ce dont elle aura besoin pour se développer et vivre.
Et ce mode de reproduction est littéralement celui des parasites. Je vous passe le détail supplémentaire entre l'ovule qui fournit tout et le sperme que dalle #JeRechercheSurInternetEtJapprends
De facto, quand un parasite homme décide de vivre avec un femme, c'est qu'il fait le choix de ne plus essaimer son génome partout (ce qui est sa stratégie évolutive, d'où le milliard de spermatozoïdes produit chaque semaine) et décide de tout miser sur une seule victime compagne. Alors si celle-ci venait à le tromper, la seule chance qu'avaient les gènes du mâle de lui survivre s'est potentiellement envolée et le parasite l'homme a perdu son temps à élever l'ADN d'un autre...
Lorsque l'on sait que l'intelligence d'une personne est au moins due à 50 % à son génome (cf. les conférences de Laurent Alexandre) je n'imagine même pas ce que l'évolution a pu mettre comme déclencheurs dans la tête d'un mâle qui se fait parasiter par sa proie #ArroseurArrosé. D'où le besoin que les femmes soient monogames pour les hommes.
2. Les femmes sont des araignées
À l'inverse des mâles, les femelles humaines, en se redressant sur leurs pattes arrières jambes, ont commencé à protéger leur organe sexuel des assauts forcés des mâles. Les violes sont toujours faisables, mais plus difficiles.
Ce phénomène nous donna la capacité de sélectionner le mâle pour lequel nous accepterons de porter la progéniture / l'ADN. Sauf que nous savons bien que les mâles sont des parasites, et qu'en conséquence élever seule le bambin d'un mâle absent c'est quelque part se faire avoir. Là commença la stratégie de l’araignée qui consiste à piéger le mâle dans une structure familiale (métaphore de la toile) pour le forcer à n'élever que la progéniture que nous avons portée pour lui.
Ce faisant, s'il venait à se trouver une autre femelle, nous prendrions alors le risque de devoir s'occuper seules de nos enfants et de le voir partir. Lorsque l'on replace ce système avant l'ère où l'humanité a développé des technologies sympa comme le grenier et l'enclos, les risques de voir ses enfants mourir de faim à cause d'un père-chasseur-cueilleur absent sont énormes. D'où le besoin que les hommes soient monogames chez les femmes ou à défaut, de capturer un homme et lui faire élever la progéniture d'un autre en la faisant passer pour la sienne #StratégieDuCoucou. Ce qui peut s'avérer dangereux (cf. point (1)).
3. Coucher avec des gens avec qui l'on ne couche pas
Quand votre partenaire est polygame (oui parce que polyamour c'est très orienté sentiment et ça fait tout doux et tout mignon, mais dans les faits, c'est aussi un joli mot pour dire polygame), donc quand votre partenaire est polygame vous couchez avec toutes les personnes avec qui il/elle couche. Et cela implique l'hygiène, les MST, et voir votre partenaire évoluer seul vers de nouvelles pratiques... D'où le besoin du couple d'être monogame, le concept de couple consistant à coconstruire un foyer et parfois une famille en symbiose.
Conclusion
La monogamie, comme chez la plupart des grands singes, à l'exception de deux ou trois espèces #Bonobos est une protection culturelle face l'auto-destruction sociale. Car oui, l'humanité est une espèce sociale dont le développement (une forme de darwinisme ?) prend en compte les individualités et leurs besoins depuis son début.
Bizarrement, la plupart des personnes que je peux lire au fil du web et qui sont transgenres ou homosexuelles le cas échéant, ont mécaniquement très peu de chances de se reproduire. Du coup et de part ce comportement sexuel, on comprend que la monogamie ne soit pas quelque chose d'aussi importante puisque leur sexualité est stérile - par définition - et n'engendrerait pas de conséquences aussi grandes que celle de mettre sa propre vie de côté pour élever son enfant.
Après, peut-être est-on à l'aube d'une ère nouvelle où la reproduction ne sera plus biologique entre deux êtres mais chimique entre deux tubes à essais. Je ne suis pas fana de l'idée, mais pourquoi pas si les gens en deviennent plus heureux et que ça nous libère tous de quelque chose ? Mais j'ai pour l'instant le sentiment que non seulement ce n'est pas une excellente idée, mais qu'en plus ne nous sommes pas prêt pour cela.
Oh mon Dieu... Je ne sais pas comment le prendre. Par contre, Chlouchloutte, tu vas être morte de rire !
loool Pour les coupines quand vos chéries sont "trop insistants".