Une lib pour faire de la modélisation 3D (des cubes, des boites toussa).
Plein d'exemple de code (de convertisseurs notamment) écrit en Aurelia. Parfait pour se construire une codebase autour de ce framework.
Tout est dans le titre. Ce genre d'articles est bon apprendre.
Comment utiliser simplement le GPU à la place de CPU dans un navigateur pour exécuter plus rapidement vos calculs parallèles (facteur 5 à 15 quand même).
Bon, je dois refaire du Webpack pour mettre à jour le build d'un tool de la boite. Comme j'ai eu beaucoup de peine à retrouver comment et quoi faire, voici un bref résumé des trucs et astuces à connaître sur Webpack.
Comment concaténer des fichiers JS inter-dépendants ?
Principe : mon fichier JS (Main.js) importe d'autres fichiers JS (cf. le mot-clef require de TypeScript / ES6). Et ces fichiers JS importent également d'autres fichiers. L'idée ici est d'avoir un Webpack qui parcours le graphe des dépendances en analysant le code afin de produire un et un seul fichier JS qui n'inclut que ce dont mon application se sert.
Contenu du fichier webpack.conf.js :
module.exports = {
entry: {
Car : './src/Main.js' // Charge ce fichier ainsi que tous ceux dont il dépend via le mot-clef 'require'.
},
output: {
path: './target',
filename: 'merged-file.js'
}
};
Comment créer un bundle de fichiers JS qui n'ont aucune dépendance entre-eux ?
Principe : j'ai plein de libs écrites en JavaScript avec mes petites mimines (ou pas), ces librairies n'ont aucune dépendance entre-elles, cependant je souhaiterais les concaténer dans un gros bundle de sorte à minimiser le nombre de requêtes réseau.
Contenu du fichier webpack.conf.js :
module.exports = {
entry: [
'./src/Car.js', // La liste des fichiers à concaténer
'./src/Vehicule.js'
],
output: {
path: './target',
filename: 'merged-file.js'
}
};
Comment créer plusieurs bundles de fichiers JS qui n'ont aucune dépendance entre-eux ?
Principe : je reprends les fichiers JS du point précédent à ceci près que je souhaite créer plusieurs bundles, un pour chaque types de véhicules par exemple.
Contenu du fichier webpack.conf.js :
module.exports = {
entry: {
four-wheels : [
'./src/Car.js',
'./src/Vehicule.js'
],
two-wheels : [
'./src/Bike.js',
'./src/Vehicule.js'
]
},
output: {
path: './target',
filename: '[name].bundle.js',
chunkFilename : '[id].bundle.js'
}
};
Comment minifier mes bundles JS ?
Principe : mes fichiers JS sont gros et je souhaite supprimer le maximum d'espace, les commentaires, réduire le nom des fonctions, variables & Co de sorte à fournir le plus petit fichier possible.
Contenu du fichier webpack.conf.js :
var webpack = require("webpack");
module.exports = {
entry: [
'./src/Car.js',
'./src/Vehicule.js'
],
output: {
path: './target',
filename: 'app.minified.js'
},
plugins: [
new webpack.optimize.UglifyJsPlugin({minimize: true})
]
};
JavaScript, a cause notamment ses nombreuses erreurs de conception, permet de coder dans une syntaxe turing complète avec 6 caractères seulement : ( ) [ ] + et !
Ou comment uglifer votre code de manière extraordinaire.
Un éditeur de text "next gen" dans votre navigateur.
Outch ! Je peux vous assurer qu'entre la programmation asynchrone, les générateurs, les itérateurs, les call-backs imbriqué et le mot-clef yield (qui à mon sens est un goto déguisé), cela va être de plus en plus compliqué d'appréhender JS pour le chaland.
Il faut vraiment s'y mettre maintenant, dans deux ans il sera trop tard.
Rappel :
TypeScript est un langage libre développé Microsoft. Le but de TypeScript est de fournir un langage fortement typé, qui étende JavaScript et qui puisse être converti en JavaScript (normes ES5, ES2016 ou ES2017) afin d'éviter au développeur d'utiliser directement JavaScript et de produire un code JavaScript qui soit portable et utilisant toutes les optimisations du langage. On dit du compilateur TypeScript qu'il est un transpilateur car il converti du code source en un autre code source et non en instructions (binaire, assembleur, byte-code).
Comment qu'on install TypeScript ?
En passant par NPM ! En effet TypeScript est devenu un paquet NPM et est considéré comme une dépendance technique de votre projet JavaScript. Cette façon permet d'avoir une version du compilateur TypeScript par projet plutôt que d'une seule version unique commune à tous les développements.
Comment faire pour installer TypeScript avec Yarn ?
## Pour une installation locale à votre projet :
yarn add --dev typescript
Je recommande bien évidemment l'utilisation de Yarn en lieu et place de NPM ainsi qu'une installation locale pour éviter les conflits de version inter-projets.
Cependant, et comme je suis vraiment sympa, voici les commandes à taper pour installer TypeScript via NPM :
## Créer une installation global sur votre OS (disponible partout dans la ligne de commande) :
npm install -g typescript
## Créer une installation local à votre projet JS (accessible uniquement via la commande ./node_modules/typescript/bin/tsc) :
npm install --save-dev typescript
Comment qu'on s'en sert ?
Il y a deux méthodes pour transpiler du code TypeScript :
- Soit nous saisissons une gigantesque ligne de commande que nous écrivons dans un script shell.
- Soit nous fabriquons un fichier tsconfig.json à la racine de notre répo, qui contient tout la configuration du compilateur et que TypeScript charge automatiquement lorsque l'on tape la commande tsc.
Je rappelle que je chercher à reproduire l'architecture de dossier spécifiée par la convention Maven :
. (root folder)
|__ src/
| |__ main/
| | |__ js/
| |
| |__ test/
| |__ js/
|
|__ target/
Voici mon fichier :
{
"compilerOptions": {
// BUILD GLOBAL OPTIONS :
"module": "commonjs", // What kind of loading system should we use (CommonJS, AMD, etc).
"outDir": "./target/js", // Output directory
"sourceMap": false, // Create the source-map file help to debug TypeScript code while executing JS
"target": "ES5", // The aimed JS version (ES5, ES2016, ES2017 or ESNext
// BUILD OUTPUT :
"diagnostics": false, // Display no statistics about number of files, base code size, etc.
"pretty": true, // Display color in console for error, warning, etc.
// ENCODING
"charset": "utf8", // The targeted file encoding
"newLine": "lf", // File will use Line Feed as EOL character (Unix format)
// COMPILER BEHAVIOR :
"allowJs" : false, // Allow JS syntax
"preserveConstEnums": true, // 'const enum' are kept in generated code
"removeComments": true, // Comment removed from transpiled code
"emitDecoratorMetadata": true, // Test
"experimentalDecorators": true,
// COMPILER ENFORCING :
"noImplicitAny": true, // 'any' type is mandatory
"noImplicitThis": true, // Forbien to mix 'any' and 'this' in the same expression
"noImplicitReturns": true // Raise error is a 'return' is missing in part of a function
},
"include": [
"./src/main/js/**/*" // Pattern finding the TypeScript files
]
}
L'un de mes posts précédents montrant le différentiel entre deux tsconfig.json DEV & PROD est disponible ICI
Le petit rappel qui va bien :
NodeJS c'est quoi ?
NodeJS est une machine virtuelle capable d'exécuter des applications écrites en JavaScript côté serveur ; avec la capacité de démarrer un serveur web, de se connecter à une base de données, d'écrire sur le disque, etc. NodeJS est basé sur le moteur JavaScript développé pour WebKit et fournit sa propre implémentation du standard ECMAScript 6 (aka. ES2016), c'est-à-dire la dernière version standardisée de JavaScript en ce début 2017.
NPM c'est quoi ?
NPM est le gestionnaire de dépendances/paquets de NodeJS. Il est founi avec l'installation de NodeJS et utilisé par les développeurs pour télécharger, installer et exécuter l'ensemble des dépendances transitives de leurs projets JavaScript.
NPM peut :
- Gérer les dépendances pour les librairies s'exécutant côté client.
- Gérer les dépendances pour les librairies s'exécutant côté serveur.
- Exécuter des commandes dans la syntaxe du shell courant (et donc toutes les commandes figurant dans le path du-dit shell).
Comment qu'on setup toussa ?
1) Télécharger la dernière version (stable de préférence) de NodeJS
- La dernière version LTS (pour Long Term Support) est disponible ICI.
- Veillez à choisir la version compatible avec votre système, c'est-à-dire OS + architecture (32 ou 64 bits).
2) Installer NodeJS
Décompresser le tar.gz téléchargé dans un répertoire dédié, par exemple /tools/apps/nodejs-6.9.1.
Modifier votre fichier ~/.profile ou au choix ~/.bashrc comme suit :
- Créer la variable d'environnement $NODE_HOME
export NODE_HOME="/tools/apps/nodejs-6.9.1"
- Ajouter le sous-répertoire $NODE_HOME/bin/ dans votre path système :
export PATH="$PATH:$NODE_HOME/bin"
- Veillez à bien enregistrer les changements et redémarrer votre console si vous avez modifié le fichier ~/.bashrc et votre session pour le fichier ~/.profile.
- Hop vous avez à présent NPM et NodeJS disponible sous les commandes npm et node depuis un shell.
3) Configurer NPM
N.B : Dans la suite, le répertoire /tools/repositories peut en réalité être celui de votre choix. Moi je stocke tout dans /tools (en fait dans /opt/tools mais on s'en fiche).
- Nous allons dire à NPM où stocker les versions zippées des librairies qu'il a téléchargé, pour cela il faut ajouter/modifier la ligne suivante dans le fichier ~/.npmrc.
cache="/tools/repositories/npm/cache"
- Ensuite nous allons indiquer à NPM où décompresser les librairies télécharger au point précédent en ajoutant au fichier ~/.npmrc
prefix="/tools/repositories/npm/modules"
- Modifier votre fichier ~/.profile ou au choix ~/.bashrc comme suit :
export NPM_MODULES="/tools/repositories/npm/modules" export PATH="$PATH:$NPM_MODULES/bin"
- Et encore une fois veillez à bien enregistrer les changements et redémarrer votre console si vous avez modifié le fichier ~/.bashrc et votre session pour le fichier ~/.profile.
4) Dis-nous comment ça marche en moins de 60 secondes ?
## Télécharger un outil et l'installer dans le répertoire global contenant les modules, par exemple Gulp :
npm install -g gulp
## Exécuter Gulp en tapant
gulp --version
## Télécharger un outil et l'installer uniquement pour votre projet (i.e dans le sous-répertoire ./node_modules):
npm install --save-dev gulp
## Exécuter Gulp en tapant
./node_modules/gulp/bin/gulp --version
## NDR : des fois il faut taper ceci à la place
node ./node_modules/gulp/bin/gulp.js --version
## Installer une librairie en tant que dépendance de votre projet (elle sera mise dans le répertoire ./node_modules).
npm install -save aurelia-framework
## Installer une librairie qui ne sera pas livrée avec votre projet (par exemple un framework de test) :
npm install --save-dev jasmine
Et voilà en prime le lien vers le site officiel de NPM :D
Pourquoi ce tuto ?
Grosso-modo je dois apprendre comment reproduire un build Maven mais en JS avec les outils JS qui vont bien ; et qui soient plus ou moins les standards de facto du moment (i.e en ce début 2017).
Définitions :
À quoi sert quel outil dans ce gloubi-boulga d'outils tous plus hypes les uns que les autres ?
NodeJS :
C'est une machine virtuelle qui permet de faire tourner du JavaScript côté serveur.
NPM :
C'est le gestionnaire de paquets permettant de récupérer les dépendances transitives de vos projets (façon Maven). Certains disent que NPM signifie Node Package Manager mais l'auteur atteste que non.
Yarn :
NPM c'est top, mais ça possède trois inconvénients :
- La ligne de commande pu des fesses.
- NPM ne sait pas mettre les paquets dans un répo local (comme le fait a contrario Maven), donc NPM passe son temps à re-télécharger les dépendances qu'il a déjà téléchargé pour le projet précédent.
- NPM ne gère pas le build concurrent (il n'est pas multi-threadé) donc le build rame (enfin tout est relatif #CompilationC++).
Yarn est un outils qui réponds à ces trois problématiques avec un chat tout mimi en guise de logo.
TypeScript :
C'est à la fois un langage mais également un compilateur éponyme. En gros, les mecs de Microchiotte se sont dits que JavaScript ça ne sentait pas bon des fesses (comme la ligne de commande de NPM) et qu'il valait mieux coder avec de vraies classes, des vrais namespaces, de vraies visibilités (public, private, etc) et une fois que tout ceci était correctement codé en TypeScript, ont transpile ce code en du JavaScript ; autrement dit on convertir le code du TypeScript dans une syntaxe cohérente et fortement typée, vers du JS (incohérent et faiblement typé) ; et comme cela plus besoin de se prendre la tête à connaître tous les hacks de ce langage merdique (une référence ici sur la merdicitude de JS et une autre là sur la retard community - ces deux articles sont pour toi Lenny).
Jasmine :
C'est un framework permettant d'écrire des tests en JavaScript. Ces derniers peuvent être au niveau unitaire (façon JUnit) ou fonctionnel / intégration (façon Cucumber). En général Jasmine est considéré comme faisant partie des framework destinés au BDD (mais bon, je ne suis pas d'accord).
Karma :
Un outil permettant de charger une suite de tests écrits en Jasmine ou en tout autre chose. Le concurrent le plus sérieux est MochaJS qui est une sorte de medley entre Karma et Jasmine, mais comme je n'ai pas encore eu le temps de l'étudier,que Karma à l'avantage d'être soutenu par les développeurs Google qui bossent sur Angular 2 et que j'ai déjà utilisé Jasmine par le passé... Bah Karma & Jasmine.
PhantomJS :
NodeJS permet d'exécuter du JavaScript côté serveur, et bien PhantomJS est un navigateur sans interface graphique permettant d'exécuter du JavaScript dans une console afin de le tester (ndr. en s'appuyant sur Jasmine et Karma). Vous vous doutez bien qu'un navigateur sans IHM est un navigateur ultra-rapide pour faire tourner du JS (sous-entendu parfait pour avoir des phases de run de TU rapides durant nos builds).
Webpack :
Webpack peut quasiment tout faire à l'aide de ses plugins mais l'idée ici est de s'en servir pour trois choses :
- Packager l'ensemble du JS dans un seul fichier qui soit unique.
- Minifier au taquet ce fichier packagé.
- Ne pas inclure dans le package minifié le code mort, c'est-à-dire les classes qui ne sont jamais chargées directement ou transitivement par la classe Main.
Et donc dans tout ça ? Et bien dans tout cela vous aurez donc un build JS qui va chercher les dépendances tout seul, qui respecte le cycle de vie de Maven, qui assure la séparation du code à livrer (les sources) du code à ne pas livrer (les plugins du build et le code des tests), qui centralise la production des binaires en un seul endroit et qui soit capable de releaser votre build (i.e fabriquer des tags et incrémenter le numéro de version). Pas mal hein ?
La suite des posts à lire figure ici (en cours de complétion) :
Je précise ici que je cherche à reproduire l'architecture de dossier et le life-cycle de Maven mais pour un projet NodeJS / Aurelia. Nous allons donc avoir ce type de dossiers :
. (root folder) # La racine du répo
|__ node_modules/ # Le répertoire des éléments téléchargés par NPM
|
|__ src/ # Le répertoire contenant les sources
| |__ main/ # Les sources qui seront livrées
| | |__ js/
| |
| |__ test/ # Les sources qui ne seront jamais livrées (les tests)
| |__ js/
|
|__ target/ # Le répertoire contenant les éléments générés lors de build
|
|_ karma.conf.js # Le fichier de configuration de Karma (le générateur de suite de tests)
|_ package.js # Le fichier de configuration de Yarn (le build manager)
|_ tsconfig.json # Le fichier de configuration de TypeScript (le transpilateur)
|_ webpack.config.js # Le fichier de configuration de Webpack (le packager / minifier)
- Comment installer et configurer NodeJS & NPM
- Comment installer et configurer le transpilateur TypeScript ?
C'est partiiii #JoueLaCommeBarnabé
Un tuto pour faire du NPM + WebPack + TypeScript + React. Je ferai un résumé de la conf plus tard (si j'ai le temps).
Un descriptif de quelques modules NodeJS très sympa
Je résume ici les libs qui m'intéressent
- underscore.js ou loadash (au choix) : pour effectuer des sélections simples dans des objets JS.
- Moment : pour remplacer l'API date
- Kalendae : pour une lib de calendar qui marche bien
- Highcharts : pour faire des graphiques qui pètent
- NodeJS : qu'on ne présente plus pour faire des applis côté serveur avec du JS
Je fonce sur celui parlant de TypeScript
Tout plein d'effets en CSS pour se passer de JavaScript (inutile pour la chose depuis un moment, c'est vrai)
Voici l'une de mes bonnes résolutions de l'année : faire des articles se servant de la mise en forme Markdown de mon Shaarli. Celui-ci sera la première partie - de ce qui je l'espère - sera d'une longue lignée.
NPM C'est quoi donc ?
NPM c'est d'abord un acronyme signifiant Node Package Manager ce que l'on peut traduire par "gestionnaire de package de Node JS".
Le fichier 'package.json' c'est quoi donc ?
Tout comme il existe chez Maven, un fichier pom.xml qui décrit un projet, il existe un fichier package.json qui fait la même chose en Node JS.
Ok donc dois-je me servir de NPM comme outil de build ?
Eh bien non, désolé. En réalité vous pourriez, cependant JavaScript étant ce qu'il est, l'écosystème bouge tellement vite que la norme à adopter c'est YARN.
Ok mais qu'est-ce que YARN aurait de plus que NPM et justifiant son usage ?
Pour comprendre cela, il faut comprendre ce que fait NPM
- NPM va d'une part gérer (c'est-à-dire télécharger et mettre à jour) vos dépendances et les dépendances de vos dépendances. Nous parlerons alors de *gestion transitive des dépendances.
- NPM est également en mesure d'exécuter des commandes que vous lui aurez indiquer. Cela vous permettre par exemple de transpiler une application, de la packager ou encore de la déployer.
Parfait mais qu'est-ce que ne fait pas NPM alors ?
Eh bien deux choses :
1) Il ne met rien en cache, c'est-à-dire que NPM va retélécharger encore et toujours chacune des librairies que vous avez utilisé dans vos projets ; contrairement à Maven qui stocke dans le répertoire
$HOME/.m2/repository
l'ensemble des librairies dont vous vous êtes servi au moins une fois.
2) Il gère votre build de manière séquentielle, ce qui est dommageable en termes de performances étant donné que nos processeurs sont tous multi-cœurs voire multi-cœurs et hyper-threads à ce jour.
Et YARN est une surcouche de NPM qui répond tout simplement à ces deux besoins.
Fabriquer son propre set d'outils pour fabriquer une application JavaScript React-JS.
Transpiler du Java vers du JavaScript. Utilisable côté client et peut-être côté serveur. J'y penserai à pour ma news letter
Bordel, le JS c'est quand même balaise. Les mecs ont inventé DEUX zéros. Le -0 et le +0. Même que ça vaut la même chose mais que ce n'est pas pareil. Les valeurs ne respectent pas la commutativité des opérateurs et n'applique pas la même inversibilité sur les opérations + - * /...
Pourvu que ça dure