Je rejoins les propos des deux autrices. Il y a un phénomène de contamination sociale au niveau de la jeunesse, favorisé par les réseaux sociaux comme Tiktok, ainsi qu'une propagande organisée à coups de milliards par une communauté d'oligarques, et qui vise à promouvoir la transexualité pour une raison qu'on ignore.
L'exemple de la transition spontanée et simultanée de 5 jeunes filles dans une même classe est parlant, car vraiment improbable.
Je ne connais aucun parent sain d'esprit qui souhaite faire stériliser ses enfants, pardon il faut dire "transitionner", et pourtant, à cause de la cancel-culture, peu d'entre-nous s'élèveront contre ça.
Il faut expliquer les dangers de cette idéologie ainsi que les mécanismes d'embrigadement et de manipulation mentale que subissent nos gosses : effet de mode, remise en question à l'adolescence, pressions sociales, effets de groupe, etc.
Pour s'en convaincre, souvenons-nous des ados au style punk, puis rock, puis gothique, puis métalleux, puis de la mode des suicide girls, du style gandja, des grateux, du style street, puis urbain, etc. L'adolescence est le moment où chacun, dans sa mesure, devient la victime d'une mode comportementale sans même s'en apercevoir. Et le conflit avec les parents n'aident pas à la discussion et à la raison.
Je suis pour le soutient inconditionnel des personnes trans car je les considère comme malades, et dans ma vison, faire société c'est soigner et accompagner ses malades sans discuter. Mais je ne suis pas pour rendre malade des personnes saines en leur faisant croire que quelqu'un d'un sexe peut prétendre en être d'un autre, ça c'est lutter contre le réel et tendre vers au mieux la désillusion sinon la folie.
Par exemple, si un homme prétendait être l'empereur Napoléon, la question ne se poserait même pas et il serait suivi, alors pourquoi ne le fait-on pas pour un homme qui prétend être une femme ?
La première chose à soigner dans la transexualité (je refuse le terme transidentité, cette chose n'existe pas pour moi), c'est notre regard et notre société. Accepter un malade, ce n'est pas synonyme d'accepter tous ses désirs et toutes ses exigences. In fine, les vrais fous sont ceux qui se laissent faire, pas les trans qui les abusent.
Attention à l'amalgame.
La plupart des républicains aux USA ne disent pas qu'ils n'existent rien entre les deux sexes. Ils disent qu'il existe bien des enchevêtrements du type XXY (le plus souvent stériles) et que pour eux, il faut bien faire quelque chose qui consiste souvent à opter pour le genre le plus proche au moyen de traitements hormonaux ou d'actes chirurgicaux.
Ce qu'ils dénoncent par contre, c'est la propagande permanente des grands groupes qui pousse des enfants et des adolescents émotionnellement fragiles à se stériliser volontairement en leur suggérant qu'ils sont trans alors que pour l'immense majorité d'entre-eux ce n'est pas le cas.
En réalité, ces mômes traversent une passe compliquée de la vie où ils souhaitent des choses sans forcément en appréhender le poids terrible des conséquences et moi-même j'aurai pu me penser trans ou lesbienne à une époque si j'avais subi l'influence omniprésente des réseaux sociaux et de leurs bulles cognitives.
Finalement 15 ans plus tard, mes enfants sont tout ce qui me pousse à avancer chaque jour et il n'y a pas une seule chose au monde qui puisse me faire changer d'avis ou regretter mes choix de vie car tout m'a conduit à eux, de la moindre bouffée d'air en passant par les ex débiles et les erreurs de parcours.
Bref, le but est de protéger les enfants d'une propagande aux effets globalement néfastes sur des esprits en cours de construction.
Après, et comme dans tout groupe, il y a des extrêmes qui veulent la mort de leurs opposants par pure et simple haine. Mais réduire l'entièreté des républicains américains à ces derniers s'appuie sur le même sophisme qui consiste à penser que tous les musulmans sont des terroristes parce que certains se font péter le caisson de temps en temps...
À voir / écouter (en anglais).
En substance, l'argumentaire du chroniqueur-humoriste est que la mouvance trans suit depuis quelque temps une courbe qui relève d'une mode alors que la dysphorie de genre est censée être une maladie très peu répandue. Aux USA, les chiffres récents montrent que cela toucherait entre 20 et 60% des jeunes (le covid ce n'est rien à côté).
Le problème est que des enfants et pré-adolescents, autant perdus qu'impressionnables, pris dans le jeu toxique des réseaux sociaux qui les poussent au narcissisme et à la course aux likes, demandent à ce qu'on leur fasse l'irréparable en leur amputant leurs organes génitaux ou en les plaçant sous bloqueurs d'hormones.
Le problème c'est qu'entre 6-14 ans, personne n'a le recul nécessaire pour comprendre ce qu'une telle transformation a d’engageante et en quoi elle est irréversible ! Les pauvres se retrouvent quelques années plus tard, stériles avec un corps mutilé.
Ça m'a fait penser aux tendances émo, gothiques, métal, etc qu'on a tous plus ou moins traversées.
En écoutant le show, je me suis souvenue de mes doutes profonds fin de collège et début de lycée où justement, je me sentais attirée par les personnes qui m'impressionnaient, peu importe leur sexe et je me suis questionnée sur mon homosexualité potentielle (chose que je n'ai jamais été finalement, mais pression sociale tout ça).
J'étais juste adolescente, un peu paumée face à mon corps qui changeait et les premiers désirs qui naissaient, comme tout le monde en fait. Aujourd'hui, on m'aurait collé une étiquette LGBT++ et qui sait ce que la pression sociale m'aurait poussée à faire (déjà que les copains et les copines n'aidaient vraiment pas à l'époque).
Bref, c'est censé être drôle mais je n'ai pas ri, par contre certaines phrases m'ont touchée profondément en me rappelant de vieux souvenirs que j'avais effacés.
Nous vivons dans une société où trop jouer à Fortnite est considéré comme une maladie mentale mais faire retirer son pénis et prétendre être une fille est jugé normal.
Il s'agit d'une punch-line toute faite sur un réseau social de trolls mais l'idée sous-jacente n'en demeure pas moins intéressante. Est-ce que prendre trop de plaisir à faire quelque chose (au point de s'y perdre) est une maladie ? Et pourquoi renier ce que l'on est au point de mutiler / altérer son corps n'en serait pas une ?
D'autant que dans cet exemple, les deux ne peuvent exister que grâce à l'évolution technologique, sans elle rien de tout cela.
Finalement, ne serait-ce pas l'offre qui créée la demande de laquelle naissent nos dérives et nos perversions ?
Cette vidéo est incroyable !
ALERTE SPOILER
En fait, une novlangue est en train d'émerger et celle-ci ne vient pas d'un gouvernement totalitaire d'une part, et fait complètement abstraction de la réalité que nos nos sens, via nos organes, nous rend tangible d'autre part. C'est terrible et édifiant ! Ni blanc, ni homme et pourtant doté de chromosomes XY et d'une morphologie caucasienne.
Je me demande ce qui a pu arriver à ce genre d'individus pour renier ce qu'ils sont, ie. la structure profonde de leur être (j'évoque leur ADN là). Je veux dire que je comprends parfaitement la notion de genre et la nécessité pour certains d'exprimer ouvertement un comportement qui diffère de la majorité (ou tout du moins du stéréotype porté par la majorité), mais de là à refuser d'admettre le réel, je reste... bloquée.
L'expression de sa sexualité et de ses attirances n'a rien à voir avec le fait d'être doté d'un pénis ou d'un vagin. Un homme peut aimer un autre homme - ou tout autre chose - sans que ce soit bien ou mal. Pas besoin de se dire ne pas être un homme pour se sentir légitime d'aimer un autre homme. Et j'ai l'impression que le drame est là.
L'homophobie tue ! Fréquemment et violemment. Elle est si dangereuse que la seule échappatoire trouvée par cette communauté opprimée, pour ne pas se heurter à la violence qui en découle, bien qu'ils en aient tous les attributs, c'est de ne pas admettre qu'ils soient des hommes. De ce fait, si un homme revendique qu'il est une femme, alors s'il aime un autre homme il n'est plus homo, donc ne risque plus rien.
Enfin, c'est ce que j'imagine de ce qui a pu conduire à cette négation du réel. Pour moi, le monsieur est un homme, et à tous les autres je souhaite leur dire, je vous aime tels que vous êtes, peu importe votre orientation sexuelle, vos goûts personnels, "la passion" de vos relations intimes et le sexe des personnes avec qui vous les partagées.
Il est grand temps d'assumer que ce que font les autres dans leur intimité les regarde eux et eux seuls.