@Mydjey vraiment très bien dit !
@LHV : certes l'aérodynamisme d'un véhicule prime sur son poids dans sa consommation, mais c'est uniquement sur du plat ! Or les routes ne sont pas plates. Il ne devrait pas avoir de débat.
Dit autrement, on est à un moment de rupture technologique et plutôt que de s'en servir pour changer de modèle et faire un truc génial, on se compare volontairement au monde merdique du thermique pour justifier des choix tout aussi merdiques... En sachant que le truc pourri était déjà à deux doigts de s'écraser sur nos têtes. #Moron
Il faut militer pour des véhicules légers et réparables, privilégier les transports en commun et interdire les véhicules de luxe pour pharaons (super-sports, jet privés, yachts, etc). Les voitures électriques actuelles sont une immondice en l'état, que la technologie sous-jacente fasse rêver les nerds, ça ne rentre pas dans l'équation et ça n'est pas un argument.
Un avis argumenté qui compare les différents types de pollution émis via moteur thermique vs moteur électrique.
Je pense y avoiri vu quelques biais/oublis, mais dans l'ensemble c'est intéressant.
Je savais pour stocker l'énergie dans du béton à l'aide d'un volant (ie. un gros cylindre de béton qui tourne sous vide et dont la rotation permet de stocker l'énergie électrique excédentaire sous la forme d'énergie cinétique).
Je savais aussi pour les horloges à gravité, où il faut remonter un petit poids tous les deux jours et où l'énergie est stockée sous la forme d'énergie potentielle de pesanteur.
L'idée présentée ici est une sorte de medley des deux : faire remonter du béton sur plusieurs centaines de mètres pour convertir cette énergie potentielle de pesanteur en énergie électrique. L'astuce ? À l'image des volants, un moteur électrique monte le poids lorsque l'énergie est excédentaire et se transforme en dynamo lorsqu'elle est déficitaire.
Produire son électricité soi-même.
Je ne me plaindrai plus jamais des miens !