Le soleil disparaîtra un jour. Et ensuite ?
Dans le royaume d’inversion où nous vivons, les meilleurs quittent la table de jeu et les pires prospèrent. Nous nous demandons, parfois depuis l’enfance, la raison de cet état de fait. Eh bien, elle réside principalement dans ce que les individus bons et candides ne présagent que trop rarement des desseins de ceux rompus à l’exercice de truander.
Il ne faut pas se tromper d'ennemi. Certes Macron est absolument détestable et mériterait de se faire envoyer en asile/prison/camp de redressement dès que possible. Mais il joue actuellement plutôt le rôle de bouc émissaire et de marionnette, exécutant les quatre volontés des banquiers et hommes d'affaires l'ayant mis à son poste. Quand il aura cessé d'avoir une quelconque valeur pour eux, il se dirigera naturellement vers la sortie, pour profiter des remerciements en or massifs de ceux à qui il aura fait gagner des milliards.
Il nous faut mettre en place un mode de gouvernement qui nous protège (nous, le peuple) des abus que TOUT LE MONDE constate depuis des décennies :
Bref. Il est temps de voir la réalité en face. Même si l'article emploi un ton cynique et désabusé, je le trouve tout à fait pertinent et je recommande sa lecture.
Une analyse comparée de la situation économique et de la viabilité des puissances américaine et chinoise.
D'un côté, la machine américaine fonctionne à plein régime pour tenter de maintenir sa domination mondiale, tout en oubliant totalement le bien-être de sa propre population (ou des autres), et en passant pour le principal pourvoyeur de chaos sur la planète.
De l'autre côté, la Chine (qui n'est certes pas sans défaut), poursuit une politique de coopérations, de commerce international, et de développement interne scientifique et technique telle que sa prééminence et son rayonnement grandiront dans les années à venir jusqu'à évincer totalement la bête immonde américaine (dans un horizon de 10 à 20 ans, c'est à dire demain).
La situation est tellement mauvaise pour les Etats-Unis, et les stratégies d'avenir si mal avisées, que, comme dit l'auteur:
"Washington semble s’être engagée dans la planification étatique de sa régression".