L'illustration parfaite de la stratégie du choc utilisée par les gouvernements pour imposer la destruction des acquis des citoyens. A mettre en relation avec mon post d'hier au sujet du passage en catimini de lois de casse du droit du travail et des conquis sociaux.
Cet article parle de la décision de Roosevelt de confisquer l'or détenu par les citoyens américains en 1933. Il est court et mérite d'être lu avec attention, car la méthode consistant à profiter d'une crise majeure pour faire passer des lois défavorables au peuple est brûlante d'actualité.
Extraits :
Notice something important about FDR’s action: The Constitution, which provided for a gold-coin, silver-coin monetary system, can only be amended through the process outlined in the Constitution. Roosevelt did not go through that process. Instead, he simply used the emergency to justify his nullification of the Constitution by executive decree. His action is a perfect example of how crises and emergencies can result in tyranny and oppression.
[...]
With his gold-confiscation scheme, FDR taught Americans a valuable lesson: Emergencies and crises are the time-honored way that people are induced to sacrifice their rights and liberties at the hands of their own government.
Macron et sa bande de parasites utilisent en ce moment même la même méthode que Roosevelt pour détruire les conquis sociaux, en justifiant leurs actions grâce au danger du coronavirus.
Il ne faut surtout pas leur laisser carte blanche dans ce conditions, car nous risquons de nous réveiller de cette crise dans une France totalement soumise aux intérêt du MEDEF et des ultra-riches.
Quoi qu’il en soit, «la seule menace constante est la France, ce qui reflète la confrontation entre Bolsonaro et le Président Emmanuel Macron au second semestre 2019, lorsque le Français a suggéré l'internationalisation de l'Amazonie face à la crise des incendies dans la région», écrit Folha de São Paulo.
Bien joué Macron. Devenir une menace pour un autre pays, c'est pas tous les jours que ça arrive. Ce mec détruit tout ce qu'il touche.
Dans le royaume d’inversion où nous vivons, les meilleurs quittent la table de jeu et les pires prospèrent. Nous nous demandons, parfois depuis l’enfance, la raison de cet état de fait. Eh bien, elle réside principalement dans ce que les individus bons et candides ne présagent que trop rarement des desseins de ceux rompus à l’exercice de truander.
Il ne faut pas se tromper d'ennemi. Certes Macron est absolument détestable et mériterait de se faire envoyer en asile/prison/camp de redressement dès que possible. Mais il joue actuellement plutôt le rôle de bouc émissaire et de marionnette, exécutant les quatre volontés des banquiers et hommes d'affaires l'ayant mis à son poste. Quand il aura cessé d'avoir une quelconque valeur pour eux, il se dirigera naturellement vers la sortie, pour profiter des remerciements en or massifs de ceux à qui il aura fait gagner des milliards.
Il nous faut mettre en place un mode de gouvernement qui nous protège (nous, le peuple) des abus que TOUT LE MONDE constate depuis des décennies :
Bref. Il est temps de voir la réalité en face. Même si l'article emploi un ton cynique et désabusé, je le trouve tout à fait pertinent et je recommande sa lecture.
Une analyse comparée de la situation économique et de la viabilité des puissances américaine et chinoise.
D'un côté, la machine américaine fonctionne à plein régime pour tenter de maintenir sa domination mondiale, tout en oubliant totalement le bien-être de sa propre population (ou des autres), et en passant pour le principal pourvoyeur de chaos sur la planète.
De l'autre côté, la Chine (qui n'est certes pas sans défaut), poursuit une politique de coopérations, de commerce international, et de développement interne scientifique et technique telle que sa prééminence et son rayonnement grandiront dans les années à venir jusqu'à évincer totalement la bête immonde américaine (dans un horizon de 10 à 20 ans, c'est à dire demain).
La situation est tellement mauvaise pour les Etats-Unis, et les stratégies d'avenir si mal avisées, que, comme dit l'auteur:
"Washington semble s’être engagée dans la planification étatique de sa régression".