Je suis tombée sur ce site par hasard. L'auteur qualifie les Data classes de code smell, dit autrement, les DTO et Entity seraient des code smells.
Je ne pouvais qu'être d'accord ! Quant au reste des propositions, elles collent plutôt bien à ce que mon expérience me fait penser aujourd'hui.
Merci à @Philou qui associe cette hypothèse tirée de la sociologie à la façon tristement commune de gérer les problèmes dans du code.
Il y a plein de posts incroyables sur internet, mais moi c'est ça que j'ai envie de partager :D
Twitter: "A former Tesla employee, who worked on their IT infrastructure, is posting in a subforum of a subforum, a little-known place for funy computer forgotten by time. His NDA has expired. He has such sights to show us. Join me and I will be your silent guide into a world of horror.… https://t.co/74TTfRNqJT" - @jeekajoo links
Connaître la qualité de l'eau de votre commune.
Merci à Nicouf pour le lien :
"A paper first published in the Empirical Software Engineering journal reports: "TDD seems to be applicable in various domains and can significantly reduce the defect density of developed software without significant productivity reduction of the development team." The study compared 4 projects, at Microsoft and IBM that used TDD with similar projects that did not use TDD.
Ou pourquoi les développements sont de mauvaise qualité et pourquoi il y a beaucoup de non-compétence chez les développeurs.
Chlouchloutte, c'est pour ta Maman.
En résumé, les diamants sont en général taillés en "princesse" c'est-à-dire avec la forme d'une pyramide inversée, mais pas que. Rentre en considération quatre axes pour établir la qualité :
1) Le poids
Il est exprimé en carats, donc plus c'est lourd, plus c'est gros, plus c'est rare et donc plus c'est cher à qualité égale. 1 carat = 0,2 gramme.
2) La teinte
Variant de blanche à dorée. Plus c'est vers le blanc, plus c'est cher. Les notes varient de 'D' pour le plus blanc à 'Z' pour le plus doré.
3) La pureté
C'est le nombre d'imperfections visibles, à l'oeil nu et jusqu'à une loupe grossissante x10 (voire x100 pour les pièces uniques). Moins il y a d'imperfections et plus c'est cher. Les notes sont classées comme suit FL > IF > VVS1 > VVS2 > VS1 > VS2 > Sl1-2-3 > l1-2-3
4) La taille (découpe)
C'est l'exactitude avec laquelle le joaillier a découper le diamant en respectant les bons angles et la bonne forme. Ce faisant, un maximum de lumière sera reflétée par le diamant sur sa face visible. Par exemple, le dessus pour un diamant en princesse montée sur une bague sur ultra-brillante (on parle alors de feu du diamant). L'échelle d'estimation est la suivante : excellent > très bon > bon > correct > médiocre.
Voilà
La qualité en SSII... Un true business !
Et pendant ce temps-là, entre deux attentats en France...
Move Fast and Break Things. Je ne connaissais pas cette méthodologie qui vraisemblablement est contre-productive.
Un projet que vient de me montrer Aurélien et qui permet d'ajouter des annotations plus parlantes et dédiées au développeur dans le code du type : @WTF, @BossMadeMeDoIt, @IAmAwesome, @LegacySucks...
Il semble même que l'on puisse générer une JavaDoc à partir de ces annotations histoire de documenter techniquement la qualité interne et ressentie du code.
Autant utile que drôle !
Et vous, à quel type de développeurs appartenez-vous ?