Idée qui m'est venue à la lecture de cet article. J'ai ouïe dire que la bureaucratie de l'UE rêve d'une taxe carbone afin de résoudre les problèmes de pollution.
Oui parce que tout le monde sait bien qu'il vaut mieux taxer des pratiques polluantes plutôt que de les interdire par la loi et de lourdes peines...
Bref, ok pour la taxe carbone faute de mieux, mais dans ce cas, que le bilan carbone des allers-retours sur site imposés aux salariés, soit intégré au bilan carbone de l'entreprise qui aurait pu autoriser le télétravail, mais qui ne l'a pas fait, et non au bilan carbone des salariés...
Les retours sur site sont à présent motivés pour maintenir le contrôle et la soumission dans l'esprit des salariés, pas pour la productivité.
La grande bourgeoisie déteste savoir que le peuple, y compris la petite bourgeoisie, fasse ce qui lui plaît alors qu'on vient de leur interdire quelque chose.
Puisse IBM crever sous les refus.