Cela avait le don de me frustrer qu'une feature aussi standard ne soit toujours pas implémentée dans un IDE qui sait le faire dans d'autres langages depuis des années. Et après une courte recherche, il y a une raison plus que pertinente : l'ordre des imports en Kotlin influe sur la façon dont le code sera compilé.
Dit autrement, pour une même classe, ordonnancer ses imports différemment ne produira pas le même bytecode. De ce fait, j'ai désactivé le check dans Ktlint pour éviter tout problème.
P.S : IntelliJ semble importer les éléments "dans le bon ordre par défaut".
Vous souhaitez vous regardez les films Marvel, cependant leurs histoires étant construites à partir de chassés-croisés il faut les regarder dans le bon ordre pour ne pas se spoiler !
Cette infographie vous indique comment faire :D
Le NOM (Nouvel Ordre Mondial) ou NWO (New World Order) en anglais existe bel et bien. Et cette la prochaine étape consiste en le traité transatlantique.
Coudification.
Et ce lien aussi : http://novusordoseclorum.discutforum.com/t7551p45-actualites-russie#87316
Le commentaire de Kévin représente à mes yeux la meilleure réflexion que l'on puisse avoir sur le meurtre de Rémi Fraisse par les "forces de l'ordre".
Je le colle ici :
"Pourquoi ne pas assumer ses responsabilités et dire : nous l’avons tué. Notre politique l’a tué. Nous n’avons pas voulu choisir la voie du dialogue, nous avons voulu montrer que nous sommes forts aux yeux des Français, et cela passe par des démonstrations de violences contre ces militants majoritairement pacifistes. Nous les avons harcelés, frappés, nous avons brulé leurs effets personnels, les avons délogés sans autorisations judiciaires, puis nous avons fait usage de Flash balls, de grenades fumigènes et de désencerclement. Et comme ils ne partaient toujours pas, nous avons fait lancer des grenades contenant des explosifs, en les jetant sans sommations, sans respecter les règles élémentaires d’usage de ces grenades, en l’air directement sur les manifestants, ou même dans des lieux clos, comme dans une caravane occupée. Nous les avons blessés, alors qu'ils tentaient simplement de sauver notre patrimoine naturel, eux qui ont cette conscience que nous n’avons plus, à force de vouloir produire et gagner toujours plus.
Je suis désolé de dire cela, je ne suis qu’avocat. Je ne devrais pas parler de ce qui me dépasse, de ce qui dépasse mon champ d’action, le droit. Mais c’est plus fort que moi. Je me dois aujourd’hui de défendre Rémi Fraisse, ou plutôt ce qu’il en reste. Un corps dans une morgue. Un corps au centre d’un conflit de pouvoir. De tous les pouvoirs, politiques, judiciaires, militaires, médicaux, médiatiques. Un corps autopsié, malmené, disséqué par la France entière qui se le déchire, comme Damien supplicié en place publique, objet de la toute-puissance de la souveraineté. Un corps auquel le pouvoir refuse de redonner un nom, une dignité. Un corps que le pouvoir refuse de rendre à ses parents qui à ce jour n’ont toujours pas pu voir leur enfant, auquel ils ont donné naissance, qu’ils ont vu faire ses premiers pas, dire ses premiers mots, crier ses premières révoltes, et qu’ils ne pensaient pas devoir inhumer, envers et contre toute logique générationnelle."