Kotiln, Rust et Python progressent et de plus en plus de développeurs les adoptent (et c'est très bien).
J'ai été une grande utilisatrice de Python il y a un peu plus d'une quinzaine d'années lorsque je travaillais en labo sur du Data-Mining (l'ancêtre du Machine Learning). J'avais laissé de côté Python pour trois raisons à l'époque :
- Les problèmes de performance.
- Les problèmes d'outillage autour du build.
- Le fait que les programmes écrits en Python, pour être rapides, doivent utiliser des libs écrites en C, et donc avec un code orienté procédure.
Aujourd'hui, si je devais produire un système temps-réel et très peu énergivore, je partirais sur Rust.
Dans tous les autres cas de figure, je prendrais Kotlin sur OpenJDK ou Kotlin native (via le compilateur Kotlin-native ou GraalVM).
Par contre Python n'est plus du tout dans ma liste car pour moi à présent, si l'exécution d'un langage n'est pas prouvée à la compilation, c'est un stop immédiat. La majorité des développeurs n'écrivant pas de tests et maîtrisant mal le code (en tout cas en industrie) c'est indispensable.