L'auteur parle dans le contexte etats-unien, d'où la prépondérance d'exemples pris dans ce pays. Mais l'analyse mérite de figurer à côté de celle portée par la pravda, histoire de ne pas s'enfermer dans une bulle cognitive et de constater que d'autres points de vue existent.
Dans l'un de mes posts, je parlais de la différence entre solidarité publique et charité privée. On est en plein dedans.
Les "En Marche" proposent un système de charité privée : seuls ceux qui le souhaitent et qui peuvent se le permettre auront l'opportunité de faire don d'un RTT à la personne qui vient de perdre un enfant.
Les autres proposent un système de solidarité publique : c'est l'état qui prend en charge 12 jours d'arrêt (au lieu de 5 actuellement) dans le même cas.
Le premier système repose entièrement sur la bonne volonté des donateurs (qui se transforment aussitôt en philanthropes), auprès desquels les bénéficiaires auront une dette morale à vie. Le second système instaure un droit, qui s'active automatiquement sans rien demander.
Je ne parle même pas du malaise occasionné chez ceux qui auraient voulu donner mais qui ne peuvent pas (plus de RTT dispo, pas les moyens, ...).
Bref. La solidarité publique aurait été, là encore, le meilleur choix.
Je cite :
Notre étude a montré que les enfants qui étaient exposés aux écrans le matin avant l’école, et qui discutaient rarement ou jamais du contenu de ces écrans avec leurs parents, étaient environ six fois
plus à risque de développer des troubles primaires du langage que les enfants qui n’avaient aucune de ces deux caractéristiques.L’exposition aux écrans chez les jeunes enfants est un problème de santé publique et les professionnels de santé de la petite enfance ont un rôle important à jouer dans la prévention en informant les parents sur les risques encourus
Je n'ai pas de télévision non plus depuis plus de 15 ans, et ça ne m'a jamais manqué.
Oui, il y a encore de l'espoir pour les jeunes générations...
Pour toi Antichesse.
La théorie du ruissellement vue depuis chez les Arnault. Enjoy.