Comme chacun sait, les guerres révèlent des intérêts économiques très concrets, au delà des fables pour enfants exhortant à protéger les gentils contre les méchants. La guerre en Ukraine, qui mijote depuis 2012 et le Maïdan, ne fait pas exception.
Zelensky avait promis en 2022 au Forum Économique Mondial, à Davos, que les différentes entités alliées de l'Ukraine (pays, villes, entreprises) pourraient avoir leur part du gâteau Ukrainien, dans le secteur de leur choix.
C'est désormais chose faite en ce qui concerne l'agriculture. Car en effet, la plupart des terres agricoles du pays sont maintenant contrôlées directement ou indirectement par des sociétés occidentales. Lesquelles, comme toute entreprise sérieuse, cherchent à faire du profit. Pour cela, elles forcent leur passage dans l'UE en y envoyant les produits cultivés à bas coût. D'où la colère des agriculteurs polonais d'il y a quelques semaines (les tracteurs qui bloquaient la frontière polono-ukrainienne).
Et une fois entrés dans le marché commun, rien n'empêchera ces produits, qui par ailleurs sont de piètre qualité, d'envahir les rayons en France.
Quoi qu'en pensent les medias univoques, ainsi que les excités qui s'en inspirent, la guerre en Ukraine n'est pas une histoire de solidarité. Elle ne l'a jamais été.
Chronologie de la sédentarisation, mise en parallèle de l'agriculture et de la domestication des animaux. Les preuves archéologiques remettent en question, depuis quelques années, l'ordre d'apparition généralement évoqué : sédentarisation > agriculture > domestication animale.
La question posée concerne la consommation du lait d'origine animale. Où, quand, pourquoi, comment ?