J'avais déjà expliqué mon désamour pour Kafka ici mais comme toujours, le client est roi et des architectes poussent cet outil même si leurs besoins en terme de charge et de volume ne sont pas suffisamment élevés pour justifier Kafka.
Ici, un bon article expliquant les stratégies de partitionnement des topics Kafka. Merci à son auteur, ça m'aide.
P.S : au regard de ma critique vive de Kafka, cet outil possède un avantage qui est extrêmement intéressant : le découplage temporel, c'est-à-dire qu'en forçant l'asynchronisme des messages, Kafka retire du SI les problèmes d'indisponibilités des services appelés, et ça c'est une très bonne chose (que l'on peut toujours compenser par un cluster de micro-services + Kubernetes mais bon).
Sinon, tu pouvais :
- lancer gparted
- choisir le bon disque en haut à droite
- puis aller dans Périphérique > Créer une table de partition
Et voilà. Faut penser à GParted, c'est notre ami.
Sinon merci pour le tuto en ligne de commandes.
Je recherchais un tuto sur cryptmount depuis des mois (j'avais perdu le nom de l'outil). Je vais m'amuser cette semaine avec :D
Comment définir la taille des blocs de vos partitions EXT4.
je cite :
Si vous utilisez la plupart du temps de gros fichiers, il sera probablement très profitable de formatter vos partitions avec des blocs de taille plus importante. En effet, Linux utilise par défaut des taille de blocs de 1024 octets. Vous pouvez changer avec des tailles de 4096 avec la commande mke2fs -b 4096 /dev/..., qui utilise des blocs de 4k au lieu de 1k. Cela va notamment réduire la fragmentation et réduire le temps de vérification lors d'un fsck.
Le lien propose toute une tripoté d'autres optimisations.
Ci-dessous se trouve mon /etc/fstab
$ cat /etc/fstab
# /etc/fstab: static file system information.
#
# Use 'blkid' to print the universally unique identifier for a
# device; this may be used with UUID= as a more robust way to name devices
# that works even if disks are added and removed. See fstab(5).
#
# <file system> <mount point> <type> <options> <dump> <pass>
# / was on /dev/sdc1 during installation
UUID=0b59763b-4454-4705-aa57-761039f56cb0 / ext4 errors=remount-ro,discard,noatime,nodiratime 0 1
## Fichier tmp dans la RAM
tmpfs /tmp tmpfs defaults,noatime,nodiratime,mode=1777 0 0
tmpfs /var/tmp tmpfs defaults,noatime,nodiratime,mode=1777 0 0
## Pour les logs
tmpfs /var/log tmpfs defaults,noatime,nodiratime,mode=0755 0 0
Rappel : BitLocker = outil Microsoft pour chiffrer une partition NTFS.
Il vous faudra au préalable :
1) La "BitLocker Recovery Key" de votre partition (Dislocker n'est pas un outil de hacking)
2) Avoir installé Dislocker
- sudo add-apt-repository ppa:hermlnx/dislocker
- sudo aptitude update
- sudo aptitude install dislocker
Et la command à taper pour un disque chiffré sur /dev/sda2 :
Créer le répertorie qui accueillera le descripteur de la partition BitLocker
mkdir -p /media/Drive1/
Créer le répertoire qui accueillera le point de montage de la partition BitLocker
mkdir -p /media/Mount1/
Générer le descripteur
dislocker -r -V /dev/sda2 -p -- /media/Drive1/
Monter la partition
mount -o loop /media/Driver1/dislocker-file /media/Mount1
Chiffrer ses partitions sous Linux.
Vous souhaitez cloner votre boot secteur ou votre partition d'installation Linux, ce petit tuto est pour vous
Quelques détails assez important sur la commande dd sont disponibles ici : http://doc.ubuntu-fr.org/dd
Dans la suite du post précédent pour celles et ceux qui n'ont pas de partition /tmp dédiée mais un simple répertoire dans leur partition /.