C'est ce que je me dis aussi mais le contre-coup post-noël et post-nouvel an qu'aura le COVID peut constituer une formidable opération psychologique (cf. La Stratégie du Choc, de Naomie Klein).
Une recherche rapide permet de trouver cet article du Huffington Post où il est clairement fait mention que :
Rendez-vous compte. Et si l'État choisissait du jour au lendemain de vous prélever 10% sur votre épargne? Un dixième de ce qui est inscrit sur votre relevé bancaire annuel. L'idée fait sens pour le FMI, qui y voit une bonne alternative à la résolution de la crise de la dette. Avec une ponction de cet ordre, les pays "avancés" (Europe, Etats-Unis, Japon) pourraient retrouver le niveau de dette qu'ils présentaient avant 2007. En France, ça représenterait la somme de 700 milliards d'euros à prélever.
Et l'article mentionne aussi que la chose a déjà été expérimentée sans heurt en Italie en 1992 pour une ponction de 0,6% des épargnes...
Depuis bientôt trois ans la France a démontré deux choses :
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Sa capacité à contenir sa population par l'intermédiaire de tous ses régiments qui assurent l'ordre par la force (CRS, BAC, police, etc).
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Sa maîtrise de la propagande qui a permis d'accuser les victimes Gilets Jaunes des violences en lieu et place des agents de police dangereux et violents.
À cela j'ajouterai qu'une "toute petite prime" de 7000€ ou 8000€ - petite au regard du montant préempté à l'échelle du pays - et qui serait offerte à chaque agent de l'ordre par la force annulerait le prélèvement fait sur leur épargne et garantirait leur entière et docile coopération...
Pour l'instant je te l'accorde, tout ceci reste du fantasme mais en tout franchise, du point de vue d'un mégalo qui vise la présidence de l'UE depuis le début, que représente la France ?
Mieux encore, le schisme fabriqué dans les grands médias à base de islam vs anti-islam n'aiderait-il pas à détourner les colères en cas de guerre civile ?
À la place du président, j'acterai la suppression de l'argent liquide juste avant le grand reset au motif que "les pièces et les billets propageraient le virus" ceci me permettant d'éviter tout bank-run et protéger mes amis banquiers d'un effondrement de leur business.
L'avenir nous dira si je dois me reconvertir dans l'écriture de dystopies ou dans l'astrologie.