Le coup de gueule de Tatiana Ventôse au sujet des violences gratuites et de l'impunité généralisée dont bénéficient les parasites de la société.
Pour ma part, je soutiens la réouverture des bagnes. Il doit bien exister une île française inhabitée dans le Pacifique ou l'océan Indien, qui puisse accueillir ces individus. Ils pourraient dire bonjour aux baleines et aux phoques, et on pourrait même imaginer un Koh Lanta perpétuel, dans lequel Balkani devrait faire une alliance de fortune (sans mauvais jeu de mots) avec les sous-éduqués qui s'amusent à tabasser les chauffeurs de bus et à caillasser les pompiers.
Rien que pour ça, je serais prêt à acheter une télé (après 20 ans passés sans).
Vous voulez voir à quoi ressemble un éborgnage gratuit au LBD ?
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Les forces de l'ordre en marche forcée ?
Morceau choisi :
Les syndicats de police devraient siffler la fin de cette opposition entre population et police, créée de toute pièce par ce gouvernement qui ne veut surtout pas écouter le mouvement social ni négocier, parce que ce qu’ils veulent c’est réformer, donc c’est un dialogue de sourds. Le problème avec ces gens qui doivent tout à ce gouvernement, c'est que ce sont devenus des valets aux ordres et qu'ils entraînent toute leur institution dans leur soumission. Mais il faut cesser de traiter les manifestants comme des terroristes, il faut cesser d'aiguillonner le peuple, la France est un pays de culture insurrectionnelle et on ne sait jamais jusqu'où ça peut aller. Cette dynamique est palpable actuellement. Il faudrait des démissions en masse pour arranger tout cela et la première, ce serait celle de Castaner.
Les syndicats en prennent là aussi pour leur grade, vendus qu'ils sont. Les agents des forces de l'ordre restent des être humains (si si je vous jure), et le gouvernement ne pourra pas les utiliser à son gré ad vitam æternam. Un jour, le plus tôt sera le mieux, eux aussi n'en pourront plus et jetteront casques et boucliers.
Et alors ce jour là ...
Allez, un dernier pour la route.
Contrairement à la légende véhiculée par les medias en France, Benalla n'est pas un quelconque chargé de mission "proche de Macron". C'est son chef de la sécurité ! Le gars s'est pris une tape sur la main, un blâme vite fait, et c'est tout.
Je rappelle que pour être licenciés, d'autres ont simplement arrachés une chemise.
Les pourris se soutiennent entre eux.