Plus de 30% de chômage, un niveau de vie au plus bas depuis des années, une pauvreté généralisée, et aucun espoir que ça s'améliore (merci l'Union Européenne). Je suis étonné que l'armée grecque ne soit pas déjà en train de tirer à vue sur tout ce qui approche de sa frontière (y compris les militaires Turcs).
Notre cher Président jupitérien fait parler de lui à l'internationale. Comme d'habitude, il passe (et avec lui le peuple français), pour le larbin des Etats-Unis. Quand Trump décide qu'il va bientôt retirer ses troupes de Syrie, c'est Macron qui se charge de passer le balai. Et comme le rappel l'article, il n'a absolument aucune légitimité à envoyer l'armée au regard du droit international (pas plus que les Etats-Unis).
La justification est d'ailleurs assez savoureuse puisqu'il s'agirait de soutenir des groupes armés tels que le PKK kurde (considéré comme terroriste par la Turquie) et les "rebelles syriens" (qui font du bon boulot, à l'image l'as nosra), contre l'avancée de la Turquie. Et comme le titre de l'article l'indique, nous risquons donc de nous retrouver dans un conflit armé avec ... un membre de l'OTAN!
Elle est pas belle la vie?
Je connais un certain président russe qui doit bien rigoler, assis confortablement avec le pop-corn.
Erdogan mets en ligne un entretien téléphonique avec Trump, pour s'assurer que celui-ci tiendra parole, prenant au dépourvu les instances guerrières américaines (CIA, département d'état...).
A noter que c'est Trump qui a passé le coup de fil, et qu'il a promis à Erdogan de ne plus armer le YPK (les kurdes de Turquie, alliés aux terroristes).
Ou quand Trump joue à cache-cache avec les va-t-en guerre.