Vous avez sûrement vu passer cette info selon laquelle les Etats-Unis allaient dorénavant considérer Nicolas Maduro comme un narco-terroriste.
Bizarre hein ? Du jour au lendemain, PAF !
Et bien cette nouvelle s'inscrit pourtant dans un cheminement logique, pourvu qu'on ait prêté l'oreille aux déclarations de la Maison-Blanche il y a quelques mois. En effet, les Etats-Unis envisagent de classer les cartels de la drogues comme des organisations terroristes.
Qui dit organisation terroriste, dit opérations de contre-terrorisme, et donc interventions militaires "justifiées".
En clair, les Etats-Unis sont en train de se fabriquer un bon vieil alibi des familles comme ils en ont le secret, afin de se donner la légitimité juridique d'intervenir dans toute la sphère latino-américaine.
Quoi ? Ils le font déjà ? Oui je sais. Mais là ça laissera le champ libre à des troupes régulières (les marines, l'armée de terre, etc), et non plus seulement aux services secrets.
Plus d'explications dans l'article.
Cet article est monstreux. Hopkins se paie la tête des démocrates, qui n'ont de cesse de trouver des complots sans queue ni tête, dans le seul but de nuire à Trump. Car non, ils n'ont toujours pas digéré leur défaite aux dernières présidentielles, malgré les sommes scandaleusement élevées ayant servi à financer leur propagande.
Bref. J'ai bien ri en lisant ceci, et même si Trump reste un personnage unique dans ses propos et son comportement, les démocrates (avec Hillary Clinton en tête) semblent arriver à cours de manoeuvres et d'idées absurdes.
Je citerai simplement le début de l'article :
So, it looks like that’s it for America, folks. Putin has gone and done it again. He and his conspiracy of Putin-Nazis have “hacked,” or “influenced,” or “meddled in” our democracy. Unless Admiral Bill McRaven and his special ops cronies can ginny up a last-minute military coup, it’s four more years of the Trumpian Reich, Russian soldiers patrolling the streets, martial law, concentration camps, gigantic banners with the faces of Trump and Putin hanging in the football stadiums, mandatory Sieg-heiling in the public schools, National Vodka-for-Breakfast Day, death’s heads, babushkas, the whole nine yards.
Et oui. A force de s'aplatir, ça finit par se voir...
Je rappelle que depuis l'administration Clinton (il y a plus de vingt ans), le gouvernement des Etats-Unis doit se prononcer tous les 6 mois sur sa reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël. Or tous les six mois depuis vingt ans, le gouvernement reporte sa décision de six mois.
Trump ne prend donc pas beaucoup de risques ici, puisqu'il est très probable que rien ne change ni ne déménage avant la fin de son mandat. Sa reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël était donc une annonce choc et une provocation plus qu'autre chose.
#PavéDansLaMarre
Erdogan mets en ligne un entretien téléphonique avec Trump, pour s'assurer que celui-ci tiendra parole, prenant au dépourvu les instances guerrières américaines (CIA, département d'état...).
A noter que c'est Trump qui a passé le coup de fil, et qu'il a promis à Erdogan de ne plus armer le YPK (les kurdes de Turquie, alliés aux terroristes).
Ou quand Trump joue à cache-cache avec les va-t-en guerre.