Je cite l'article :
Seulement voilà, les tweets mettant en cause l’agence n’ont pas été du goût de la Société générale. Au point que le directeur de l’agence finira par contacter la libraire pour convenir d'un rendez-vous qui se révélera infructueux. "Trois semaines après, dans son bureau, l’actuel directeur, lors d’un entretien agressif et ubuesque, nous expliquait que la banque nous mettait dehors, à cause de ces tweets. Pas de raisons bancaires", se souvient Julie Goislard.
Depuis, elle a reçu plusieurs lettres recommandées l’informant de la fermeture de ses comptes personnels et professionnels sous 60 jours. Le compte de son compagnon et associé a subi le même sort. "Drôle de cadeau de Noël", écrit-elle sur Facebook.
Contactée par Le Parisien, la Société générale se refuse à tout commentaire, invoquant "la confidentialité" et le "secret bancaire". Elle indique cependant que "la banque peut fermer un compte bancaire à tout moment en respectant un préavis de 60 jours" sans qu'il soit nécessaire de "motiver sa décision".
Une raison de plus pour rester anonyme sur internet et sinon la Société Générale connaît-elle l'effet #Streisand ?