Origine et propagation de la peste noire entre 1420 et 1453.
Un historique de toutes les décisions prises ces dernières semaines par les pays du continent européen en rapport avec le COVID-19, qui montre de façon claire qu'en cas de crise, c'est bien au niveau des états nations que les décisions sont prises. Et personne ne s'occupe plus de la prétendue "construction européenne", ni de l'espace Schengen.
Même s'il s'agit de déclarations éminemment électoralistes de la part de Martin Schultz dans un contexte de crise gouvernementale en Allemagne, son annonce fait malgré tout partie d'un processus visant à faire accepter à la population (Allemande mais aussi des autres pays de l'UE) l'inéluctabilité de:
Il est vraiment temps de fournir des pilules rouges par camions.
#UPR
#Frexit
Robert Parry nous parle de la bétise crasse autour du "Russia-Gate".
Les arguments de Michel Collon au sujet de l'OTAN.
Un article court mais qui résume bien la situation à la veille des élections présidentielles françaises.
Court extrait:
"En période électorale, il est souvent question de « réorienter » l’Union européenne. Le dessein est louable, mais autant être instruit par... l’expérience. Elle permet d’identifier ceux sur qui mieux vaudrait ne pas compter. Afin de s’épargner une nouvelle désillusion sur un front dont pourtant presque tout le reste dépend."
Tout est là.
Je rappelle que pour "réorienter" l'UE (ou "changer" l'UE), il faut l'unanimité des 28 pays membres afin de modifier les traités (TFUE et TUE). Sans compter la ratification de ces changements par les 28 gouvernements.
Je rappelle qu'une grosse partie du droit applicable en France vient directement des bureaux de la commission européenne.
C'est à ça que fait référence Halimi. Si un candidat vous parle de son programme, il faut en premier lieu regarder sa stratégie par rapport à l'UE. S'il veut y rester (Hamon, Fillon, Le Pen), la changer, la modifier, la scinder en deux (façon Mélenchon), ou même la renforcer (Macron), alors rien ne changera.
RIEN!