Parceque ça ne fait jamais de mal d'en remettre une couche, je rappelle que Google est une entreprise privée, dont le but est de faire des bénéfices.
Par ailleurs, même si je comprends la revendication des éditeurs de presse qui exigent que le contenu qu'ils produisent génère des royalties, je trouve que le combat de leur survie consistant à attaquer Google sonne comme une dernière carte à jouer afin d'éviter la banqueroute. Je veux dire que si leurs articles étaient de qualité, et pas simplement chiés par les stagiaires et passés au crible de la doxa dominante, leurs canards se vendraient suffisamment pour que le journal perdure. Quand on sait que la majorité des journaux sont déficitaires et touchent des subventions (votre argent et le mien) pour survivre, je me dis qu'elle a bon dos la concurrence. Dans n'importe quel autre secteur, le dogme néolibéral laisserait mourir ces entreprises. Mais pas là.
Bref.
En lisant cet article, je me suis dit que si j'étais Google et que je me faisais enquiquiner par ces éditeurs de presse, j'aurais une solution toute trouvée pour les calmer un bon coup : je pourrais ... arrêter de référencer leurs articles.
Ça nous ferait de l'air.
Macron n'a pas dû être mis au courant. Il est occupé à éviter de se faire lyncher.
sudo -u www-data stat /mon/repertoire
La réponse du berger à la bergère. Ca fait du bien de voir qu'il reste quelques pays ayant gardés leur indépendance.
Je remet ici le contenu de la dépêche :
<< Le rapport, intitulé "L'état des droits de l'homme aux Etats-Unis en 2017", a été publié par le Bureau de l'Information du Conseil des Affaires d'Etat (gouvernement central chinois), en réponse aux "Rapports sur les pratiques des pays en matière de droits de l'homme en 2017" publié le 20 avril (heure locale) par le Département d'Etat américain.
Selon le rapport chinois, les Etats-Unis se présentent encore une fois comme "les gardiens des droits de l'homme" et les soi-disant "juges des droits de l'homme", alors que l'état des droits de l'homme dans ce pays reste terni et manifeste une tendance à la détérioration continue. >>