Afin d'éviter de créer des scripts troués, une bonne pratique est d'utiliser le double-tiret -- pour marquer la fin des options d'une commande bash.
En effet, supposons que je veuille lister les fichiers d'un répertoires. Rien n'empêche qu'un répertoire s'appelle -o et active donc l'option associée. Pour signifier à la commande ls d'ignorer ce qui suit mes options je procède ainsi :
# Mon répertoire s'appelle "-o -a"
var="-o -a"
# J'ajoute un double-tiret pour signifier la fin des options
ls -l -- "$var"
# Une fois la variable évaluée, la commande ressemblera à ceci
ls -l -- -o -a
# Et seule l'option -l sera prise en compte
Cette convention est reprise par toutes les commandes built-in de bash (+ d'autres shells comme csh et sh) sauf une poignée (true, false, echo et eval).
J'avais fais quelques tests il y a quelques mois, pour voir ce qu'on pouvait faire en "hackant" les options des commandes. Pour ls c'est ennuyeux. Mais il suffit d'imaginer les conséquences avec rm par exemple ...
Note à moi-même : il faudra que j'essaie getopt pour créer un parseur d'options en bash.
Asselineau en parle depuis plusieurs années dans ses conférences : ça y est, c'est fait! La proposition est faîte publiquement de faire en sorte que la France partage son siège de membre permanent au conseil de sécurité de l'ONU. Et puis d'ici quelques années, on officialisera le fait que ce siège n'appartient plus à la France, mais à l'Union Européenne, donc de facto à l'Allemagne (pays ayant l'économie la plus forte de la zone euro).
Et notre larbin de président va encore vendre les bijoux de famille pour une misère, afin d'appuyer ses rêves chimériques d'Union Européenne.
Quelques mesures concrètes à prendre par les employeurs.
Il manquait plus que ça. J'espère qu'ils ne vont pas trop tarder à sortir un patch.
Une compilation de bonnes pratiques en sécurité sous Linux.
Merci Antichesse.
Documentaire "La Sociale" de Gilles Perret.
Histoire de la sécurité sociale et du rôle déterminant de Ambroise Croizat dans sa mise en place.