Pour mémoire.
Compresser avec 7z :
a
: option pour créer l'archive.-v123m
: [facultatif] l'archive sera découpée en parties de 123 Mo. Il y a aussi b (byte), k (kilo) et g (giga).-mx=9
: [facultatif] 7z utilisera le plus fort taux de compression (par défaut c'est 5). Pour l'archivage simple sans compression c'est 0. Il y a aussi 1, 3 et 7.archive.7z
: le nom de l'archive (les parties auront un suffixe 001, 002, ..., le cas échéant. Par exemple archive.7z.023
). L'archive sera créée dans le répertoire courant. Pour la créer ailleurs, il suffit de spécifier le chemin de l'archive : /mon/repertoire/archive.7z
.répertoire_à_compresser/
: comme son nom l'indique ...7z a -v123m -mx=9 archive.7z répertoire_à_compresser/
Décompresser avec 7z :
x
: pour extraire l'archive.archive.7z
: le nom de l'archive à décompresser. S'il s'agit d'une archive coupée en parties, il faut utiliser la partie 001.-o/target/directory/
: pas d'espace entre l'option et le chemin. Indique l'endroit où l'archive sera décompressée. Si cette option est absente, l'archive est décompressée dans le répertoire courant (celui où la commande est lancée).7z x /source/directory/archive.7z -o/target/directory/
La commande ss
remplace netstat
.
Elle dispose globalement des mêmes options et permet de lancer un fameux :
ss -lapute
mediainfo, l'outil en CLI à mettre dans les utilitaires indispensables !
Pour les avoir rencontrées plusieurs fois récemment, les commandes "pushd" et "popd" sous linux peuvent faire des adeptes (ou pas).
Pour faire court, ces deux commandes, en lien avec la commande "dirs", permettent de mémoriser une suite de répertoires sous la forme d'une pile.
On peut alors naviguer entre ces répertoires numérotés (cf "dirs -v"), comme on utiliserait des alias classiques.
La navigation se fait par exemple ainsi: "cd ~3" pour entrer dans le 4eme répertoire de la pile.
Cela peut être intéressant pour naviguer dans un shell. Mais dans un script je préfère encore créer des variables.