En résumé.
Pour une consommation régulière (boisson chocolatée), il faut privilégier le cacao :
Les mentions de qualité telles que "extra" impliquent une augmentation de la quantité minimale requise de cacao. Par exemple, pour le chocolat au lait :
Pour le chocolat noir :
Pour le chocolat blanc :
Les mentions telles que "chocolat pur beurre de cacao" ou "chocolat traditionnel" ne contiennent pas d'autre matière grasse végétale que le beurre de cacao. En effet, depuis 2003, grâce à l'Union Européenne, les fabriquants peuvent ajouter d'autres matières grasses comme l'huile de palme ou autres saloperies du même genre dans le chocolat sans mention particulière.
C'est le président du directoire de Südzucker, propriétaire de Saint-Louis Sucre, qui l'a déclaré : "Saint Louis Sucre ne vendra pas ses sites de production. Nous n'arrêtons pas la production de sucre pour la proposer à d'autres acteurs, mais bien pour retirer des capacités du marché".
Le plus gros producteur de sucre en Europe décide donc unilatéralement de manipuler artificiellement les cours du sucre en réduisant la production. Quitte à supprimer 130 emplois (et à payer au prix fort).
L'être humain n'a décidément aucune valeur autre que celle d'une ressource. On l'acquiert, on l'utilise, et on le jette. Comme un mouchoir ou un préservatif.
Attention cependant. Pour ce qui est du sucre en tant que tel, je considère qu'il devrait être taxé au moins autant que l'alcool ou le tabac, car étant hautement addictif et facteur de problèmes de santé.
Pour ceux qui voudraient se la péter auprès des amis (et qui n'ont rien d'autre à faire de leur vie), il est possible de postuler pour être figurant dans des films, clip, publicités et autres produits télévisuels. Certaines productions rémunèrent la journée à 105 euros brut.
Et qui sait, les chanceux pourront peut-être apparaître avec Alexandre Astier dans le nouveau Kaamelott.