Ma compréhension de l'argument sous-entendu dans cette BD est ceci (mais je peux me tromper bien sûr) :
Parce que les inégalités existent ailleurs dans la société, alors autant ne pas essayer de réduire leur impact, en commençant dès l'enfance, en imposant l'uniforme à l'école.
Je pense que l'avis derrière cette BD est proche du stupide et s'articule autour du navrant. Dans la vraie vie, tenter l'uniforme à l'école, ça s'appelle essayer quelque chose en commençant quelque part. Ensuite on observe, on mesure et enfin on conclut sur l'intérêt de poursuivre ou non l'initiative.
A ma connaissance, l'uniforme total - c'est-à-dire celui qui inclus sacs et chaussures - n'a jamais été testé à grande échelle dans les écoles de notre république. Tentons le coup quelques années et récoltons les retours d'expérience des enfants, des profs et des familles avant de jeter le bébé avec l'eau du bain.
Pour avoir travaillé une fois dans la fonction publique, cette mentalité (de merde) est ce qui grève tout capacité d'entreprendre et d'avancer dans ces milieux où l'immobilisme structurel est le maître absolu. Pire que cela, permettre à certains de vivre mieux attiserait les jalousies, alors mieux vaut ne rien faire quitte à tirer tout le monde vers le bas... Une démarche Franco-Française en somme, donc tout va bien.
]]>Pas "un cowboy" @Animal... Un meurtrier, un assassin. À mon sens, tuer quelqu'un n'est pas un acte suffisamment anodin pour qu'on puisse l'imputer à un problème de formation.
Quand sa propre vie n'est pas en danger, il faut avoir ça dans le sang pour tuer quelqu'un. Tant que la police ne sera pas passée au karcher, les choses perdureront.
Et l'oligarchie a besoin de psychopathes dans la police pour contrôler et soumettre le peuple par la terreur. Et collectivement, nous maintenons cette oligarchie au pouvoir.
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Comme je compte monter une SCI (Société Civile Immobilière) dans les prochains mois, je vais rassembler ici l'ensemble des informations à ma disposition (pour ceux que ça intéresse).
Il y a :
Pour les SCI soumises à l'IS :
Pour les SCI soumises à l'IR :
Fraction du revenu imposable (pour une part) |
Taux d'imposition à appliquer sur la tranche correspondante |
Jusqu'à 10 084 € |
0 % |
De 10 085 € à 25 710 € |
11 % |
De 25 711 € à 73 516 € |
30 % |
De 73 517 € à 158 122 € |
41 % |
À partir de 158 123 € |
45 % |
Pour les SCI soumises à l'IS :
Pour les SCI soumises à l'IR :
Pour les SCI soumises à l'IS :
Pour les SCI soumises à l'IR :
Sources :
]]>@Chlouchloutte à ma connaissance non, le français ne reconnaît que "auteur" dans sa forme neutre, qui est la même que la forme masculine d'ailleurs ; est-ce un coup du hasard, est-ce un coup du patriarcat, noooon c'est sûrement un coup des illuminati-réptiliens car seuls eux en sont capables.
Blague à part, j'ai relu ton post et si je comprends bien ton point consiste à dire :
Du coup et pour reprendre tes mots de tout à l'heure, il n'y a pas de "privilège cissexuel" mais un "diktat cissexuel", c'est-à-dire que la société nous impose quelque chose, et quelque soit notre sexe, notre genre intérieur ou notre genre extérieur, nous nous y sommes tous soumis, à différents niveaux et sur différentes dimensions/échelles.
Par exemple :
Bref, la société ne serait pas un ensemble de privilèges détenus par certains et refusés à d'autre mais un ensemble de contraintes acceptées par certains et refusés par d'autre dont la conséquence d'une acceptation sont des facilités et où la conséquence d'un refus sont des difficultés.
Franchement ma @Chlouchloutte c'est assez renversant comme perspective et je ne sais pas si tu en mesure la portée !
Ce qui m'embête avec ça c'est ma vision marxiste de la société structurée en classes. Être en dehors de la classe bourgeoise implique d'être pénalisé quoiqu'il advienne, hors un pauvre ne refuse pas forcément les règles, il n'a juste pas choisi d'être né pauvre.
Ce que sous-tendrait ta pensée lorsque j'essaie de la lier à celle de Marx c'est que les conditions de la naissance définissent les conditions initiales du succès, que les conditions matérielles d'existence définissent les consciences mais l'adaptabilité des individus aux normes et aux règles va quant à elle conditionner l'apparition ou l'effacement de difficultés supplémentaires.
C'est un paradigme incroyablement efficace pour balayer des thèses comme l'oppression systémique tu sais ?
Même si je ne suis pas encore convaincue de la chose, j'aurai aimé avoir eu l'idée à ta place, rien que pour me la péter :P Décidément tu m'épateras toujours !
]]>Toutes celles et tous ceux qui ont vécu une relation toxique sauront de quoi je m'apprête à vous parler. Peut-être connaissez vous quelqu'un qui laisse toute place à ses émotions, qui ne met en avant que son ressenti et à côté duquel vous ne pouvez rien dire, vous n'osez plus parler de peur de vous faire sauter à la gorge. Chacun de vos mots peut devenir un prétexte, une arme utilisée par cet interlocuteur pour vous piéger et ensuite vous punir.
À ce stade, surtout lorsque c'est votre conjoint, vous préparez vos paroles dans votre tête avant de prononcer quoi que ce soit et pendant que vous vous exprimez, vous faites attention à ses expressions, à ses gestes, à la moindre de ses crispassions afin de vous dédire juste à temps et vous éviter la punition pour ne pas dire le cataclysme.
Cette torture je l'ai vécu trèèès longtemps, je l'aimais pourtant et de tout mon cœur mais j'étais piégée et j'avais peur de ses réactions en per-ma-nence, vraiment la crainte était omniprésente, toujours là et tout le temps. C'était une relation hautement toxique et même ses propres amis venaient me voir pour me dire que j'avais beaucoup changée, que je m'effaçais plus qu'avant, que je riais beaucoup moins et surtout que j'acceptais des choses "pas normales" selon eux (mais ils ne voulaient pas êtres pris pour cible, alors ils se limitaient à ça et ne lui disait rien).
Aujourd'hui dès années ont passé, nous nous sommes séparés et je me suis reconstruite, alors quand je vois les dérives du progressisme qui met en avant le ressenti des gens avant le signifiant des mots (cf. le couple master-slave), qui pousse à l'auto-censure parce que certaines choses seraient intrinsèquement "mauvaises" (comme si la morale était une valeur universelle et absolue) au point où des universités s'effondrent (cf. Evergreen) et bien je suis terrifiée par cette mouvance qui se généralise.
Et je pèse mes mots, car vivre ça au niveau du couple a été l'une des plus horribles expériences de toute ma vie, alors vivre ça au niveau de toute la société française je n'imagine même pas le cauchemar ! Parce qu'à l'époque, en dehors de mon couple, j'avais le travail où je pouvais souffler, même le RER était une phase de répit c'est vous dire ! Mais c'était tout.
En ce sens, maintenant que je suis bien plus forte et bien plus avertie, je compte me battre bec et ongle contre les problèmes tout droit venus des USA, engendrés à cause du passé tordu de cette nation et qui ne sont pas les nôtres, afin qu'ils ne s'importent pas dans notre pays. Il faut dire non au progressisme autoproclamé "inclusif", il ne l'est pas, c'est un buzzword, un mot de novlangue qui exclus ceux qui "pensent mal". C'est un obscurantisme qui ne dit pas son nom et il s’immisce facilement car il touche à nos émotions et non à notre raison. Pour lutter contre lui il faut lutter contre notre pire ennemi : nous-même.
L'anti-racisme fait la même chose (enfin un pan de la mouvance antiraciste), qui prône l'agression, la destruction de l'ennemi sans ouverture, sans dialogue ni pardon. Tout ce qui n'est pas antifa doit être détruit, tout ce qui n'est pas inclusif est méprisable, tout ce qui n'est pas comme nous est contre-nous. Je n'arrive même pas à comprendre comment des gens qui pensent lutter contre les extrêmes ne fassent pas le rapprochement entre leur mode de fonctionnement et celui de ce qui a été des milices, puis des partis politiques radicaux et qui nous ont conduit vers les deux grandes guerres. La démarche intellectuelle était la même : on ne peut pas discuter avec eux les XXX (remplacez par la motion la plus efficace, "raciste, extrémiste, masculiniste, fasciste, pianiste" ? Ah non pas encore pour celui-là).
Bref, le monsieur en vidéo explique bien le point de vue et cela m'a donné envie de poster tout ça car j'ai vu beaucoup de choses passer sur différentes rivers et sur les réseaux asociaux ces derniers temps et quasiment tout n'est qu’émotionnel et se contredit entre mise en œuvre et idéologie.
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Traduction :
Ok on oublie la dette étudiante et puis quoi après ? On supprime les emprunts personnels pour les soins médicaux ?? On interdit les agios ??? On réorganise notre économie pour favoriser l'intérêt du plus grand nombre au détriment des privilégiés ???? C'est ça que vous voulez ????? Une société où la vie humaine a de la valeur ?????????.
Ce Tweet est juste énorme !
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Un article très intéressant sur la notion de corruption dans l'informatique et son parallèle avec la société civile et la biologie.
Via Riduidel.
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Un truc qui me vient en écoutant Deleuze... Il a le même genre de voix que celle de la voix off de Dungeon Keeper. Voilà, ça m'a fait rire.
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Nous vivons dans une société où trop jouer à Fortnite est considéré comme une maladie mentale mais faire retirer son pénis et prétendre être une fille est jugé normal.
Il s'agit d'une punch-line toute faite sur un réseau social de trolls mais l'idée sous-jacente n'en demeure pas moins intéressante. Est-ce que prendre trop de plaisir à faire quelque chose (au point de s'y perdre) est une maladie ? Et pourquoi renier ce que l'on est au point de mutiler / altérer son corps n'en serait pas une ?
D'autant que dans cet exemple, les deux ne peuvent exister que grâce à l'évolution technologique, sans elle rien de tout cela.
Finalement, ne serait-ce pas l'offre qui créée la demande de laquelle naissent nos dérives et nos perversions ?
]]>Le jeu de la corbeille est un jeu de société à caractère pédagogique, à fabriquer soi-même et à base de cartes classiques (paquet de 32 cartes) et de post-it. Il permet de comparer en une heure les impacts de notre monnaie actuelle (à savoir l'argent-dette en quantité volontairement limitée) à la TRM (Théorie Relative de la Monnaie) mais également à bien d'autres système d'échanges (crédit mutuel, troc, etc).
En conséquence mes amis, je vous propose une soirée crêpes + jeu de La Corbeille courant février pour le tester. Deal ?
Un lien vers une partie en vidéo et le lien vers un site détaillant les règles.
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Imaginez un jeu de société n'ayant qu'une seule partie en cours et dans lequel chaque joueur intégrant cette partie, doit affronter les autres joueurs qui y jouent depuis des années déjà. Imaginez que ces autres joueurs aient déjà pris toute l'avance qui était à leur portée et s’entre-tuent sans scrupule ni vergogne.
Imaginez un jeu de société où le maître du jeu puisse changer les règles comme bon lui semble alors qu'il est lui-aussi un joueur. Imaginez que le jeu s'appuie sur les fondements du Monopoly que l'on connaît si bien.
Non vraiment à un tel jeu, personne n'accepterait d'y jouer... Non vraiment pour sûr que c'est im-pos-sible !
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1) PV AGE de dissolution
2) Clôture de la société
Je rappelle que l'élément indispensable pour vous retrouver : c'est votre numéro de mobile. Ne le donnez jamais !
]]>Le verdict est clair :
Je ferai mon changement de status d'ici à la fin d'année.
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Oh mon Dieu ! Le regard perçant de l'auteur !!! 4 min de film à voir ABSOLUMENT !
Et vous, vous reprendrez bien un peu de bonheur ?
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Tout est dans le titre. La société panoptique a fait surface depuis plusieurs années déjà et la route sera longue et ardue pour s'en sortir.
]]>J'adore la phrase de fin :
]]>Dans tous les cas, nous sommes baisés. Ce sera soit Idiocracy, soit Demolition Man.
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Woaaa. Anne ce post est pour toi !
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Le traitement des problèmes de société par les politiques en une BD
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Cela permettra aussi à certains de savoir s'ils sont actuellement des trou-du-culs !
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Telle... Tellement vrai... (T__T)
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