Sortons-en !
]]>Un tour d'horizon de tout ce qui cloche sévèrement dans l'Union Européenne, pourquoi il s'agit d'une arnaque destinée à enrichir les entreprises et les milliardaires, et comment le reste du monde se rit de nous, tout en nous considérant comme les larbins des États-Unis.
]]>Pour ceux qui n'ont jamais pris le temps de s'intéresser au sujet européen, cet entretien clair et argumenté répond à de nombreuses questions.
]]>Une description acerbe de l'impuissance généralisée des personnages politiques ainsi que des citoyens Français, dans le contexte européen. La démission des politiques et des hauts fonctionnaires, l'abandon de toute volonté de se battre pour les intérêts de leurs concitoyens sont très bien évoqués. On sent cette colère mêlée de frustration des gens qui voient la maison tomber en ruine dans l'indifférence la plus complète de ceux qui pourraient y remédier.
La standardisation de la pensée et la disparition de la diversité idéologique en politique sont l'un des maux évoqués.
]]>Historique des pipelines Nord Stream, les raisons de leurs mises en place, les conséquences de leurs destructions.
En bref, outre la Russie, le grand gagnant de cette histoire est encore une fois les Etats-Unis, qui ont parfaitement joué leur partition. En effet, la vente de leur GNL à prix d'or aux pays d'Europe (afin de remplacer le gaz russe), leur assure des rentrées d'argent considérables pour de nombreuses années. Sans parler du fait qu'ils ont réussi à transformer la dépendance des pays d'Europe au gaz russe, en une dépendance au GNL américain.
Je leur tire mon chapeau.
Même si on ne m'enlèvera pas de l'idée de les américains sont des parasites de l'humanité à plus d'un titre, force est de constater qu'ils ont, encore une fois, préservé les intérêts de leur pays. Quand je vois la nullité pathologique avec laquelle les euro-fanatiques prennent des décisions systématiquement défavorables aux peuples des pays d'Europe, je ne peux qu'espérer un réveil des consciences, avant que la situation, déjà peu reluisante, ne se transforme en cauchemar permanent.
]]>Entretien de Olivier Berruyer avec Jacques Sapir au sujet du protectionnisme. Une doctrine très largement méconnue et trop souvent dénoncée à tord.
]]>Je l'avais laissé passé celui-là ^^
Le cru 2022 des "recommandations" faites par la Commission Européenne à la France (les GOPE) est disponible.
Voici le point qui, normalement, devrait faire les gros titres depuis la publication (le 17 juin 2022) :
RECOMMANDE que la France s’attache, en 2022 et 2023 :
- à mener une politique budgétaire prudente en 2023, (…) pour la période postérieure à 2023, à mener une politique budgétaire qui vise à parvenir à des positions budgétaires prudentes à moyen terme et à assurer une réduction de la dette progressive et crédible ainsi que la soutenabilité budgétaire à moyen terme grâce à un assainissement progressif, à l’investissement et aux réformes; à réformer le système de retraite pour uniformiser progressivement les règles des différents régimes de retraite afin de renforcer l’équité du système tout soutenant sa durabilité; (…)
Les euro-fanatiques devraient être contents ...
]]>Frédéric Farah :
]]>La zone euro n'a jamais été une zone économiquement dynamique, et a toujours été le passager clandestin de la mondialisation parcequ'elle a toujours attendu la croissance soit des Etats-Unis soit des émergents, et jamais de chez elle.
Parce que le gaz naturel ne sert pas qu'à se chauffer!
Il est utilisé de façon intensive par l'industrie dans des processus de fabrication (voir dans l'article).
Mais le plus triste dans tout ça, c'est qu'il faut des mois pour restaurer les réserves européennes en gaz, et que la saison de remplissage devrait démarrer à la mi-avril (on y est). Il faut savoir que la quantité importée à flux constant ne suffit pas à répondre à la demande pour passer l'hiver. Cela signifie que plus les pays de l'UE attendent pour payer leur gaz russe en roubles, plus on retarde la constitution des stocks, et plus on risque de se retrouver en pénurie de gaz en plein hiver.
A suivre les consignes de sanctions des américains comme des abrutis, on se retrouve en position de devoir peut-être faire un choix entre fournir la population en gaz cet hiver, ou fournir l'industrie. Si l'industrie est dépourvue de gaz, elle meurt, les travailleurs tombent au chomage, la pauvreté augmente, etc, etc ...
Au vu des événements récents, j'aimerais adresser un prix spécial aux eurofanatiques qui croient toujours que l'Europe est là pour faire le poids. On a tous pu constater le rôle tout à fait prépondérant joué par l'UE sur la scène internationale dans le règlement de la crise Ukrainienne. On a tous pu constater l'extraordinaire utilité des sanctions destinées à faire plier la Russie, et comment, depuis, celle-ci se morfond de chagrin et laisse éclater sa douleur face aux coups assénés par le camp du bien, qui entrainent ce pays misérable dans l'isolement planétaire et la décadence inéluctable.
]]>La Commission Européenne a demandé à la France de mettre un terme à l'affreux monopole qu'EDF détenait sur la vente d'électricité, afin de faire baisser les factures des consommateurs. Pour cela, EDF vend une partie de sa production (100 TWh) à prix coûtant à des sociétés tierces. Celles-ci revendent à leur tour l'énergie aux consommateurs, et empochent les bénéfices.
Sauf que depuis 2019, la demande des revendeurs auprès d'EDF dépasse le plafond autorisé de 100 TWh. Ils sont donc contraints de se fournir ailleurs en Europe, à des prix bien plus élevés. Comme cela leur coûte plus cher, ils se voient obligés de répercuter les hausses sur les factures des consommateurs.
Les consommateurs partent. Les revendeurs coulent.
Horreur !
On (i.e. la Commission Européenne) oblige donc EDF à s'aligner sur les hausses de tarifs, afin de ne pas voir tous les revendeurs mettre la clef sous la porte (sinon il n'y aurait plus de concurrence, ce qui est totalement insupportable).
Résultat des courses : on se retrouve avec une hausse monstrueuse des factures d'électricité, alors que les centrales nucléaires et les barrages (pricipales sources productrices) nous assurent un prix de l'électricité parmi les plus faibles sur le continent.
Autrement dit, la concurrence des entreprises qui parasitent EDF entraine la société toute entière à payer plus cher lorsque le prix de l'électricité augmente.
L'Union Européenne : tous égaux pour l'avoir dans l'os.
]]>Être indépendant et souverain, ou faire partie de l'Union Européenne. Il faut choisir.
]]>On découvre, grâce à ces vidéos d'une minute, les grands principes qui animent l'Union Européenne. C'est une chance de faire partie d'un si grand projet :
]]>Un historique de toutes les décisions prises ces dernières semaines par les pays du continent européen en rapport avec le COVID-19, qui montre de façon claire qu'en cas de crise, c'est bien au niveau des états nations que les décisions sont prises. Et personne ne s'occupe plus de la prétendue "construction européenne", ni de l'espace Schengen.
]]>l'Europe c'est la paix hein ...
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Vous remplacez Grèce par France, et ça coïncide parfaitement.
]]>Alors, vous n'êtes toujours pas convaincu ?
L'intérêt géostratégique de l'Allemagne passera toujours avant celui de la France, tant que nous resterons dans l'Union Européenne. Macron va sans doute, encore une fois, se mettre à genoux devant l'Allemagne, et vendre les intérêts du pays au plus offrant (qui en l'occurrence n'offre rien du tout).
Et pendant ce temps-là, la Grande-Bretagne retrouve la capacité de décider de son propre avenir.
]]>C'est aujourd'hui que ça se passe !
]]>Ou comment l'Union Européenne, avec Michel Barnier comme négociateur en chef, va encore tout faire pour emmerder le Royaume-Uni dans les négociations d'un accord de commerce.
]]>]]>Mais, si les relations entre les deux entités resteront vraisemblablement cordiales, le problème se situe ailleurs pour les partisans du projet européen : un pays qui quitte le bloc est une première qui va marquer un précédent indélébile dans son histoire.
La ministre en plein exercice de provocation. No comment.
Non, ce qu'il fallait retenir de cet article, c'est ceci :
"Si l'âge pivot reste dans la loi, c'est non, c'est clair", a déclaré ce 9 janvier à l’AFP le chef de la CFDT, Laurent Berger.
D'abord, rien à battre que l'âge pivot soit abandonné. C'est la réforme au complet qu'il faut dénoncer et arrêter. Il s'agit en réalité d'une subtilité de langage : cette simple phrase fait passer Laurent Berger pour un opposant à la réforme, alors qu'il cible un point spécifique de cette réforme. Mais pourquoi cette ambiguïté ?
Je suis désolé d'en remettre une couche, mais il semble que cela soit nécessaire pour les durs de la feuille (et autres légumes contemplatifs) :
La Confédération Européenne des Syndicats finance ces syndicats. Autrement dit, l'Union Européenne finance ces syndicats. La même Union Européenne qui demande instamment à la France de poursuivre la réforme des retraites.
Laurent Berger est une ordure à la tête d'un syndicat qui n'oppose qu'une résistance de façade à la réforme des retraites. Il a tout intérêt à pourrir le mouvement social, afin de continuer à toucher ses subventions. Et même s'il s'agit de lui ici, les quatre autres sont à mettre dans le même panier.
Vous voulez vous opposer à cette réforme ? C'est très bien. Mais ne vous laissez pas manipuler par des corrompus et des menteurs.
Les informations sont disponibles publiquement sur des sites officiels. Il suffit d'être curieux et d'avoir un esprit critique.
]]>La SNCF, nouvelle victime des eurobéats.
Mais j'en vois qui en doutent (encore!). Pour ceux-là, rien de tel qu'un peu de lecture. Le rapport COM(2012) 313 final dit ceci :
LE CONSEIL DE L’UNION EUROPÉENNE,
[...]
RECOMMANDE que la France s'attache, au cours de la période 2012-2013 :
[...]
- à poursuivre les efforts pour supprimer les restrictions injustifiées dans les professions et secteurs réglementés, notamment dans le secteur des services et du commerce de détail; à prendre de nouvelles mesures pour libéraliser les industries de réseau, notamment sur le marché de gros de l’électricité, pour développer les capacités d’interconnexion dans le domaine de l’énergie et pour faciliter l’arrivée de nouveaux opérateurs dans les secteurs du transport ferroviaire de marchandises et du transport international de voyageurs.
Voilà. C'est marqué noir sur blanc :
faciliter l’arrivée de nouveaux opérateurs dans les secteurs du transport ferroviaire de marchandises et du transport international de voyageurs.
Et au cas où vous n'auriez pas compris que la SNCF allait cesser d'être un service public, il suffit de voir qui a été choisie pour s'assurer de la rentabilité des gares en France.
PS: cet article de fond vous dira tout sur la privatisation du rail français.
]]>Je déterre ce post de mai 2018, car dans le contexte actuel de grogne au sujet de la réforme des retraites, connaître la cause des causes est FONDAMENTAL.
Pour comprendre pourquoi cette réforme nous est imposée, il faut connaître ses commanditaires.
L'article 120 du TFUE dit ceci en préambule :
Les États membres conduisent leurs politiques économiques en vue de contribuer à la réalisation des objectifs de l'Union, tels que définis à l'article 3 du traité sur l'Union européenne, et dans le contexte des grandes orientations visées à l'article 121, paragraphe 2. [...]
Mais que sont donc ces "grandes orientations" ? Regardons cet article 121.
L'article 2 dit ceci :
- Le Conseil, sur recommandation de la Commission, élabore un projet pour les grandes orientations des politiques économiques des États membres et de l'Union et en fait rapport au Conseil européen.
Le Conseil européen, sur la base du rapport du Conseil, débat d'une conclusion sur les grandes orientations des politiques économiques des États membres et de l'Union.
Sur la base de cette conclusion, le Conseil adopte une recommandation fixant ces grandes orientations. Le Conseil informe le Parlement européen de sa recommandation.
Mais c'est quoi le Conseil Européen ?
Le site officiel nous dit qu'il s'agit d'un organisme dont le rôle est de "définir les grandes orientations et priorités politiques de l'Union européenne". En sont membres les chefs d'Etat et de gouvernement des pays de l'UE, le président du Conseil européen et le président de la Commission européenne.
En clair, ce sont ces personnes qui décident de l'avenir politique des pays membres de l'UE et de leurs 500 millions d'habitants. Votre avenir politique.
Avec l'article 3, la pensée européenne se précise :
- Afin d'assurer une coordination plus étroite des politiques économiques et une convergence soutenue des performances économiques des États membres, le Conseil, sur la base de rapports présentés par la Commission, surveille l'évolution économique dans chacun des États membres et dans l'Union, ainsi que la conformité des politiques économiques avec les grandes orientations visées au paragraphe 2, et procède régulièrement à une évaluation d'ensemble.
Ici, on apprends que le Conseil "surveille la conformité des politiques économiques avec les grandes orientations" qu'il a édictées. Les pays sont donc contraints de se soumettre, à la longue, aux desiderata du Conseil (composé, je le rappelle, d'une trentaine de personnes).
Chaque année, un rapport des Grandes Orientations des Politiques Economiques (GOPE) est donc publié pour chaque pays membre de l'UE, y compris la France.
Dans le millésime 2018, dont je parle dans le post en titre, on apprend dans les considérants que :
Actuellement, 37 régimes de retraite coexistent en France. Ils concernent des catégories de travailleurs différentes et fonctionnent selon des règles qui leur sont propres. Une uniformisation progressive de ces règles améliorerait la transparence du système, renforcerait l’équité entre les générations et faciliterait la mobilité de la main-d'œuvre. Une harmonisation des règles de calcul contribuerait également à une meilleure maîtrise des dépenses publiques. Si les réformes des retraites déjà adoptées devraient réduire le ratio des dépenses publiques de retraite à long terme, un système des retraites plus simple et plus efficient générerait des économies plus importantes et contribuerait à atténuer les risques qui pèsent sur la soutenabilité des finances publiques à moyen terme. Selon une étude récente, l’alignement de différents régimes de retraite des secteurs public et privé réduirait de plus de 5 milliards d’EUR les dépenses publiques à l’horizon 2022.
On sent bien ce qui dérange ces braves gens : le système de retraite "à la Française" est trop compliqué, trop onéreux, trop dispendieux. Il faut arrêter cette folie. Pourquoi s'entêter à laisser l'Etat gérer de façon calamiteuse ce système, alors que le secteur privé pourrait le faire aussi bien et pour moins cher ?
Mais le plus croustillant est encore à venir. Il s'agit des fameuses recommandations per se :
LE CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE,
[...]
RECOMMANDE que la France s’attache, sur la période 2018-2019 :
- à veiller à ce que le taux de croissance nominale des dépenses publiques primaires nettes ne dépasse pas 1,4% en 2019, ce qui correspondrait à un ajustement structurel annuel de 0,6% du PIB; à utiliser les recettes exceptionnelles pour accélérer la réduction du ratio d’endettement public; à réduire les dépenses en 2018 et à pleinement préciser les objectifs et les nouvelles mesures nécessaires dans le contexte de l’Action publique 2022, afin qu'ils se traduisent en mesures concrètes de réduction des dépenses et de gain d’efficience dans le budget 2019; à uniformiser progressivement les règles des différents régimes de retraite pour renforcer l’équité et la soutenabilité de ces régimes;
Vous noterez qu'il est question essentiellement de réduire les dépenses ... et ... ? Oui ? Comment ? Non ?! Et si : l'uniformisation des régimes de retraites !
Vous avez compris maintenant. La décision n'est pas issue de notre gouvernement (même si l'idée ne lui déplaît pas hein).
Non ? Toujours pas ?
Parce que les fêtes de fin d'année approchent, voici les autres "recommandations" émises par le Conseil :
- à poursuivre les réformes du système d’enseignement et de formation professionnels, à renforcer son adéquation aux besoins du marché du travail et à améliorer l’accès à la formation, en particulier des travailleurs peu qualifiés et des demandeurs d’emploi; à favoriser l’égalité des chances et l’accès au marché du travail, notamment pour les personnes issues de l’immigration et les habitants des quartiers défavorisés; à garantir la compatibilité des évolutions du salaire minimal avec la création d'emplois et la compétitivité;
Traduction :
- à simplifier le système fiscal, en limitant le recours aux dépenses fiscales, en supprimant les impôts inefficaces et en réduisant les impôts sur la production prélevés sur les entreprises; à réduire la charge réglementaire et administrative afin de renforcer la concurrence dans le secteur des services et de favoriser la croissance des entreprises; à intensifier les efforts déployés pour accroître les performances du système d'innovation, notamment en améliorant l’efficience des dispositifs de soutien public et en renforçant le transfert des connaissances entre les instituts publics de recherche et les entreprises.
Traduction :
Oui, l'Union Européenne décide à votre place. Ne pas le reconnaitre est une preuve d'un manque cruel de bon sens et d'une propension délirante à croire en ses rêves.
Ne pas savoir est une chose qui peut se résoudre facilement. Il suffit d'apprendre, questionner, se renseigner, utiliser son esprit critique (si tant est qu'on en ait un).
Mais savoir tout en refusant de voir la réalité en face, c'est impardonnable. Car sachez-le : les futures générations souffriront de la destruction des conquis sociaux que vous n'aurez pas défendus.
Quant aux soit disant "leaders" d'opinion (syndicats pourris financés par la Confédération Européenne des Syndicats, députés vendus ou carriéristes) qui savent parfaitement ce qui se passe mais focalisent l'attention du peuple vers le gouvernement (qui ne fait qu'exécuter les ordres venus de l'UE), je les conchie bien cordialement.
Sur ce, je vous laisse allumer votre télé et regarder le traitement de l'information concernant les manifestations.
Joyeux Noël.
]]>Les collabos se soutiennent mutuellement. Il s'agit d'un exemple frappant de trahison et d'entente avec une puissance étrangère au détriment de la population française.
Les choix de réformes ne viennent pas du gouvernement. Ils viennent de l'Union Européenne. L'UNION EUROPÉENNE !!!
]]>Boris Johnson a réussi à obtenir que des élections législatives soient tenues le 12 décembre 2019. Les travaillistes vont les sentir passer, tels les misérables traîtres qu'ils sont, pour avoir tout fait et tout tenté afin de repousser voire annuler carrément le Brexit.
Dernière ligne droite avant la sortie !
]]>A propos de la trahison des parlementaires britanniques sur le Brexit. (En anglais). Les eurofascistes contraignent tous les autres à rester dans l'UE, qui tend décidément un peu plus vers la dictature chaque jour qui passe.
Ou pour citer l'article :
]]>Europe is a sinking ship the rats in Parliament refuse to leave.
Dernières nouvelles du Brexit : un amendement voté in extremis prévoit de reporter le Brexit après que l'ensemble du cadre législatif aura été modifié et ajusté pour y parvenir.
En clair : les députés britanniques se foutent du monde. Toutes les méthodes sont bonnes pour retarder voire empêcher le Brexit. Le Royaume-Uni entre dans une crise de régime inédite, par le simple caprice puéril d'élus vendus à la cause eurofasciste.
Si le Royaume-Uni devait en effet rester dans l'UE après le 31 octobre, il devrait nommer un commissaire européen (pour la nouvelle commission démarrant le 1 novembre). Boris Johnson a dit que si une telle chose devait arriver, il nommerait un commissaire européen qui aurait pour tâche de bloquer toutes les décisions en cours, afin de stopper le système le plus possible.
Wait and see ...
]]>Une bonne description des fondamentaux civilisationnels de l'Allemagne, la France et la Grande-Bretagne, expliquant l'impossibilité structurelle et historique de constituer un ensemble cohérent européen.
]]>Un exemple des conséquences des privatisations des services publics, avec ici la SNCF. On vole le citoyen en privatisant le service, on découpe le service en multiples entités, et on donne le tout au privé en prétextant que le public ne fonctionne pas.
Tout cela pour être en règle avec l'article 121 du TFUE qui fixe les GOPE, lesquelles demandes de privatiser les services publics.
]]>Un accord de plus à dénoncer lorsque l'on sortira de l'UE !
]]>Abandonner le franc CFA, c'est très bien. Le remplacer par une nouvelle monnaie commune, c'est idiot. Dans ce scénario, le Nigeria jouera le même rôle que celui de l'Allemagne dans l'UE. Avec les conséquences que l'on connait.
Les pays sont différents, les peuples sont différents, les économies sont différentes. Les mêmes causes produisant les mêmes conséquences, on peut s'attendre à ce que cette union monétaire tourne aussi mal que l'Union Européenne avec l'Euro.
C'est la définition de la bêtise selon Einstein : répéter encore et toujours les mêmes actions, et en attendre un résultat différent.
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Je n'ai pas lu l'étude en entier, mais pour mettre l'eau à la bouche, il faut savoir que l'Union Européenne coûte en moyenne 632 euros à chaque contribuable payant l'impôt sur le revenu.
Vous trouvez ça normal ? Ne venez pas vous plaindre de l'état des routes, des hopitaux, des chemins de fer, des écoles, etc.
]]>Demandez le programme pour 2019-2020 !
PS: à partir de maintenant, j'arrête de m'énerver. Dorénavant je considère que toutes les personnes qui savaient et qui n'ont pas voté pour quitter l'union européenne, méritent leur sort.
Qui ne résiste pas collabore.
A bon entendeur.
]]>Je rappelle que la Suisse ne fait pas partie de l'Union Européenne. Et pourtant l'UE continue de lui faire du chantage.
Cette fois, sous prétexte d'harmonisation du contrôle des armes à feu, les Suisses ont été contraints de voter un texte dont ils ne sont pas à l'origine, sous peine d'être exclu de l'espace Schengen (même si juridiquement l'UE et Schengen sont deux accords différents). Cela aurait eu des répercussions au niveau économique que le pays ne pouvait se permettre.
L'UE, cet espace de paix et d'échanges, où même les voisins doivent s'aligner sur une politique qu'ils n'ont pas choisi.
]]>L'interview est bien menée. #Thinkerview
Mais je suis déçu par le discours ambigü de Coralie Delaume, qui préfère "mettre la pression" sur l'Allemagne pour l'obliger in fine à sortir de l'UE, plutôt que de militer pour la sortie de l'UE de la France. Elle rejoint les chimères de la France Insoumise (qui ne veut pas sortir de l'UE).
Bref. Elle entretient des flous artistiques de la même trempe que Jacques Sapir, et contribue donc à tromper les gens en les dirigeant vers des partis leurres.
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Des remarques pertinentes quant à l'impossible changement de l'Union Européenne.
]]>Toutes les conneries qu'on a pu entendre (et qu'on entend encore pour certaines) sur le Brexit.
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Indeed !
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Beaucoup de choses intéressantes, notamment dans l'intervention du sociologue en deuxième partie.
Par contre gros carton rouge sur le rôle de l'Union Européenne, et sur le flou artistique voire la tentative de manipulation quant au rôle supposément neutre de l'UE dans les privatisations. Les privatisations des services publics sont bien demandées par la Commission Européenne via les Grandes Orientations de Politique Economique chaque années. Et les pays doivent s'y tenir (Cf art 121 du TFUE).
Donc dire que l'UE reste neutre sur la forme que prennent les entreprises, c'est vraiment limite. Quand on est habitué aux recherches poussées effectuées par DATAGUEULE lors des autres épisodes, on peut légitimement se demander s'il n'y a pas eu cette fois une volonté délibérée de passer sous silence le rôle déterminant de l'UE dans les privatisations.
Le Brexit est repoussé au 31 octobre 2019.
]]>Pourtant, si les rebondissements et surprises donnent l’apparence d’une insondable complexité, le fond de l’histoire peut se résumer très simplement : les électeurs anglais se sont majoritairement exprimés pour sortir, mais une majorité de leurs députés était d’avis inverse. Et une partie de ceux-là ne rêvent que de remettre en cause le verdict populaire.
En tout cas, la priorité des chefs d’Etat et de gouvernement, comme de Bruxelles, a d’emblée été de tout faire pour « pourrir la vie » des Britanniques afin de dissuader d’autres peuples d’emprunter la même voie. Un peu comme quand un membre veut sortir de la secte : celle-ci n’hésite pas à employer tous les moyens pour le « punir » (menaces, chantage, attaques…) et dissuader ainsi d’autres velléités.
Ça donne vraiment des frissons d'entendre Ulrike Beate parler de la nécessité de "déconstruire les peuples" afin de rendre l'Union Européenne plus démocratique et républicaine. Et elle dit ça tout à fait naturellement.
L'idée européenne est un dogme dont il faut se libérer au plus vite.
]]>Très bon article dénonçant la main-mise allemande sur l'Union Euroméenne, et les conséquences directes en termes de conditions de travail et de vie pour les travailleurs. La collaboration éhontée et la stratégie de la défaite de la grande bourgeoisie française est aussi évoquée.
Tous ensemble, sortons de cet euro-merdier !
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Bruno Le Maire tient tellement à donner Alstom à Siemens, qu'il plaide pour un changement des règles de la concurrence dans l'UE. Ce n'est pas encore assez. Il faut aller encore plus loin.
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Intermarché et E.Leclerc se sont entendus pour mettre en place un prix plancher pour l'achat du kilo de porc aux éleveurs. Bien mal leur a pris ! Bruxelles considère en effet qu'il s'agit d'une entente malhonnête qui lèse les pays tiers.
Autrement dit, Bruxelles considère que :
Bref. L'Union Européenne dans sa grande oeuvre.
]]>Un point de vue intéressant.
Quand la France aura décidé de sortir de l'Union Européenne, il est peu probable que les autres pays s'y opposent.
Cependant ce sont les instances de l'UE qui risquent probablement de faire tout ce qu'elles peuvent en mettant tous ses affidés à contribution pour empêcher que la France sorte de l'Union Européenne. L'UE n'a aucun intérêt à ce que les négociations de sortie se passent bien. Au contraire, les partisans de l'intégration supra-nationale et du transfert des souveraineté vers l'UE feront tout pour empêcher les sorties concertées.
L'auteur évoque notamment l'UPR en parlant d'un "Frexit heureux par la magie du droit". Le calvaire des négociations du Brexit est un exemple de la mauvaise foi de l'UE et de son manque de volonté d'aboutir à un consensus acceptable pour les deux parties.
Cependant, outre la solution juridique, il n'est fait mention d'aucune alternative. On pourrait, par exemple, sortir du jour au lendemain sans demander l'avis de personne. Les négociations relatives aux traités passés dans le cadre de l'UE se feraient alors de façon bilatérales ou multilatérales avec les Etats concernés, au cas par cas.
A l'heure actuelle, le seul parti politique en France qui propose le frexit est l'UPR (alors que tous les autres proposent de "changer l'europe", ce qui est impossible). La solution de l'article 50 n'est peut-être pas la meilleure, et l'UPR n'est pas parfait à 100%. Mais vu la difficulté qu'à l'UPR à se faire entendre et à passer dans les média en proposant une solution juridique, je mets au défi quiconque de proposer une sortie dure (sans négociation) et de rassembler autant de gens.
Le principal étant, à mon avis, que la sortie de l'Union Européenne (d'une façon ou d'une autre) fasse son chemin dans les esprits et parvienne à convaincre le plus grand nombre de son absolue nécessité.
]]>Il serait question de la mise en place d'une exemption de taxes pour les PME sur le droit d'auteur. Mais les ayants droit s'y opposent. Ils craignent que des grosses plateformes s'engouffrent dans la brèche et "éclatent" leur activité en de multiples structures.
Voici le commentaire d'un internaute qui replace les choses comme il faut :
craignant un scénario « [d]’éclatement des plateformes en petites structures capables d’optimiser la distribution des contenus protégés ».Ca existe déjà. Ca s'appelle la presse régionale (ou pas d'ailleurs) et ça consiste à paraphraser la dépêche AFP pour s'approprier et monétiser le contenu. En France, la pratique est connue sous le nom de journalisme. Ailleurs on appellerait ça du plagiat.
J'adore !
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La commission européenne fait de plus en plus pression sur la Suisse, afin de la contraindre quant aux choix de société qu'elle effectue. C'est du chantage pure et simple.
Dernièrement, les Suisse devaient se prononcer par référendum et dire s'ils acceptaient ou non que leur constitution soit considérée comme prévalent sur le droit international. Je rappelle que c'est la situation en vigueur en Allemagne, et c'est un cas unique en Europe.
Suite à des pressions de toutes sortes, et notamment des grandes entreprises suisses, qui craignaient d'être écartées de l'accès au marché commun, les suisses ont donc voté non en majorité à cette votation.
L'article cite d'autres exemples. Et la seule raison qui fait que la Suisse n'est pas encore totalement à la merci de l'UE, c'est leur système de démocratie directe avec votations, qui fait que les parlementaires ne peuvent pas prendre de décisions contre l'avis du peuple.
Sans ça, cela ferait bien longtemps que les Suisses se seraient fait escroqués de leur souveraineté comme nous.
]]>L'Allemagne revient à la charge en redemandant à la France de donner son siège permanent à l'ONU à l'Union Européenne. Quand l'Allemagne possédera toute l'Europe, elle aura réussi avec un petit délai et de façon subreptice, là où elle avait échouée avec Hitler par la force. Et tous ça avec l'aide active des traîtres qui sont aux commandes en France.
]]>Un débat animé au sujet du Brexit et de l'Union Européenne plus généralement. Les européistes sont vite dépassés par les arguments de poids avancés par les eurolucides.
J'ai regardé quelques uns des débats de Taddeï, et ils sont d'une qualité introuvable sur les autres chaînes.
]]>Après la taxe sur les GAFA, voici un nouvel exemple qui illustre l'impossibilité structurelle de changer quoi que ce soit au sein de l'Union Européenne.
Alors que Macron tente désespérément d'obtenir une victoire quelle qu'elle soit, ses propositions concernant l'Union Européenne font systématiquement un flop. Il s'agit ici de sa proposition d'armée européenne :
Ils ne seront sûrement pas les seuls. En effet, on peut s'attendre à ce que la Pologne et plus généralement les pays d'Europe de l'est marquent également leur attachement à l'OTAN.
Bref. Des histoires différentes, des intérêts différents. Et dire qu'il y en a qui s'étonnent encore que l'UE marche de travers.
]]>La France veut mettre en place une taxe européenne sur les GAFA (Google, Amazon ...), qui se monterait à 3% du chiffre d'affaires, et toucherait les entreprises réalisant un chiffre d'affaires mondial supérieur à 750 millions d'euros et un chiffre d'affaires européen supérieur à 50 millions d'euros.
cette taxe a été conçue pour les grandes entreprises très rentables, mais elle «aura un impact disproportionné sur les entreprises européennes» et qu’elle «priverait ces mêmes entreprises d'une source essentielle de capital à réinvestir dans leur croissance».
Ça ne choque personne que Le Maire parle d'une taxe européenne ? Européenne ! Une taxe qu'aucune représentation nationale n'aurait voté, et qui donc ne représenterait personne ? Je ne cherche pas à défendre les intérêts des GAFA (ils n'ont pas besoin de moi pour ça). Mais comment pourrais-je cautionner l'établissement d'un impôt qui n'a pas été voté par la représentation nationale ? Comment m'assurer que l'argent de cet impôt va être utilisé à bon escient ?
Cette taxe ne passera jamais car :
Un pays va tirer (encore) son épingle du jeu. Il s'agit du Royaume-Uni. En effet, étant donné son imminente sortie de l'Union Européenne, le Royaume-Uni n'a plus a subir les intérêts divergents des autres pays. Il va donc pouvoir mettre en place sa propre taxe sur les GAFA sans demander l'avis de personne, juste parce que cela sert ses intérêts nationaux.
Le deuxième effet kiss kool ? Cette taxe ne sera pas de 3% comme le souhaite la France au niveau européen, mais de 2%. Ce qui leur permettra de conserver les entreprises sur leur sol, et d'attirer les autres par la même occasion, même si la taxe européenne venait miraculeusement à passer.
Oui, être une nation souveraine, ça a des avantages tangibles. Le Royaume-Uni peut se réjouir se s'être libéré du carcan européen, et peut maintenant tirer avantage de l'impossibilité structurelle de changer l'Europe.
A bon entendeur.
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